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La réalité brutale de l’origine des vaccins covid : dissection de bébés avortés vivants

Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie

29 mars 2022 (LifeSiteNews) — Dans cet épisode du John-Henry Westen Show, je vais dévoiler la vérité horrifiante et brutale qui se cache derrière les lignées de cellules fœtales utilisées dans la production des vaccins.

Il y a quelque temps, j’ai fait une émission avec Pamela Acker, une chercheuse dans le domaine des vaccins qui a renoncé à son doctorat en refusant — selon sa conscience — de travailler avec des lignées de cellules souches créées au détriment de bébés avortés. Elle est probablement la chercheuse la plus cultivée de la planète en matière de vaccins, et pourtant, beaucoup ont pris sur eux de salir sa réputation après notre entretien. Principalement parce qu’elle a fait remarquer que pour obtenir les lignées de cellules souches les plus couramment utilisées aujourd’hui, il a fallu non seulement sacrifier la vie de centaines de fœtus, mais surtout que ces fœtus soient vivants au moment de l’extraction des organes fœtaux dont sont issues les lignées de cellules souches. Ainsi, c’est par la vivisection de bébés à naître, et pas seulement par l’avortement, que nous avons obtenu les lignées de cellules souches humaines d’où proviennent tous les vaccins COVID aux États-Unis.

Pour la totalité des vaccins COVID-19 actuellement disponibles et dont l’utilisation est approuvée aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni, on a utilisé des lignées de cellules souches fœtales, en particulier HEK-293, de la manière suivante :

  1. Au cours de la phase initiale de développement du vaccin, les cellules souches fœtales ont été utilisées, avec d’autres lignées cellulaires humaines, pour développer une protéine de pointe génétiquement modifiée (« spike » pour laquelle l’ARNm du vaccin code)
  2. Le vaccin Pfizer à ARNm et le vaccin Moderna ont été testés sur des HEK 293 avant le début des essais sur l’homme. Ces tests sont en cours pour tous les nouveaux lots.
  3. Pour les vaccins Johnson & Johnson et AstraZeneca de « vieille technologie » (utilisés au Canada et au Royaume-Uni seulement), on a cultivé une souche virale affaiblie dans une culture cellulaire HEK 293, qui a ensuite été tamisée et raffinée avant d’être utilisée — laissant malgré tout de minuscules composants cellulaires et des débris d’ADN du bébé avorté.

Melissa Strickler, la dénonciatrice de Pfizer, a pu partager des courriels qui ont révélé l’utilisation de HEK-293 dans les tests pour le vaccin Pfizer. Moderna et Novavax utilisent des lignées cellulaires HEK-293 pour leurs tests, tandis que les vaccins de Johnson & Johnson et d’AstraZeneca utilisent des lignées cellulaires de fœtus avortés à la fois pour la production et les tests. L’Institut Charlotte Lozier dispose d’une liste complète de vaccins avec des détails sur leur nature éthique, et je vous encourage à la consulter.

HEK-293 est une lignée cellulaire humaine créée à partir d’un rein d’une fillette à naître néerlandaise disséquée aux Pays-Bas par l’équipe de l’Université de Leiden entre 1972 et 1973. Il s’agit de la deuxième lignée cellulaire la plus courante et elle est largement utilisée dans la « recherche pharmaceutique et biomédicale ». Elle est également utilisée pour la création de vaccins et la recherche sur le cancer. HEK est l’abréviation de « Human Embryonic Kidney » (rein embryonnaire humain) et le chiffre 293 correspond au nombre d’expériences que le chercheur canadien Frank Graham a dû mener pour modifier génétiquement les cellules afin qu’elles puissent se développer indéfiniment dans un environnement artificiel.

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Ce qu’il faut noter, cependant, c’est que bien que HEK-293 utilise le terme « embryonnaire », la petite fille dont le rein a été extrait à cette fin n’était pas du tout au stade embryonnaire, qui se termine à huit semaines. Son âge gestationnel était beaucoup plus avancé pour qu’elle puisse être disséquée afin d’obtenir des cellules rénales fonctionnelles. L’homme responsable de la recherche était le Dr Alex Jan Van der Eb qui, interrogé par la FDA en 2001 sur l’origine des HEK-293, a déclaré :

Le matériel rénal, le matériel rénal fœtal était le suivant : le rein du fœtus a été obtenu, avec une histoire familiale inconnue, en 1972 probablement. La date précise n’est plus connue. Le fœtus, pour autant que je m’en souvienne, était tout à fait normal. Rien n’était anormal. Les raisons de l’avortement m’étaient inconnues. Je le savais probablement à l’époque, mais toutes ces informations se sont perdues.

Vous avez remarqué qu’il parle du matériel rénal « fœtal » et non du matériel rénal « embryonnaire » ? L’avortement a été pratiqué sur un bébé qui était parfaitement sain et normal.

Le but de cette émission est de mettre à nu devant vous la vérité sur les lignées de cellules fœtales utilisées dans les vaccins et la recherche.

Un argument courant en faveur des vaccins utilisant des lignées cellulaires fœtales est l’affirmation erronée selon laquelle il s’agit de lignées cellulaires provenant de fausses couches et que, par conséquent, les pro-vie ne doivent pas s’en inquiéter. Children of God for Life ont un brillant article à ce sujet, et je vais y puiser quelques éléments pour expliquer que cet argument ne mérite aucune place dans le dialogue.

Il est important de comprendre le processus biologique de la fausse-couche et de la mortinaissance et les changements post-mortem au niveau cellulaire afin de comprendre l’impossibilité de prélever des lignées cellulaires à partir d’une fausse-couche. Une fausse couche en début de grossesse est généralement causée par une variété d’anomalies chromosomiques, auquel cas un embryon ne se forme pas et les tissus expulsés ne seraient d’aucune utilité pour celui qui tenterait d’établir une lignée cellulaire. Les autres causes de fausse-couche et de mortinatalité entraînent la mort de l’embryon ou du fœtus, et cette mort précède l’expulsion des tissus de plusieurs jours à quelques semaines. La température du fœtus décédé dans l’utérus est d’environ 37 degrés Celsius, et au moment où le fœtus est expulsé, il n’y a plus aucune fonction métabolique dans le corps et la décomposition des cellules est déjà avancée. Il n’est pas possible d’établir une lignée cellulaire vivante à partir d’un tissu mort et, par conséquent, nous pouvons exclure la possibilité de créer des lignées cellulaires à partir de fœtus morts lors de fausses-couches. De telles considérations sont une ruse, indigne d’un débat scientifique.

En outre, il faut également comprendre comment se déroule exactement le prélèvement de ces organes pour voir clairement qu’il doit se faire par le biais d’un certain type d’avortement plutôt que par une quelconque fausse-couche.

Le Dr C. Ward Kischer, embryologiste et professeur émérite d’anatomie, écrivait dans le Linacre Quarterly, la plus ancienne revue de bioéthique des États-Unis :

La vérité est que des tissus morts ne feraient rien. La greffe doit contenir des cellules vivantes, et la seule façon de s’en assurer est de les obtenir de fœtus vivants.

Et dans un entretien avec Debra Vinnedge, de Children of God for Life, il a parlé spécifiquement du prélèvement de cellules sur des bébés avortés pour la création de lignées de cellules souches pour les vaccins :

Pour maintenir 95 % des cellules, il faudrait conserver le tissu vivant dans les cinq minutes suivant l’avortement. Dans l’heure qui suit, les cellules continuent à se détériorer, rendant les spécimens inutiles.

Non seulement il est important de conserver le tissu vivant dans les cinq minutes qui suivent l’avortement, mais les chercheurs prennent également soin de choisir le fœtus pour la recherche. Cela devient très clair lorsque l’on évalue la lignée cellulaire WI-38. Répondant aux questions sur la lignée WI-38, le chercheur principal aux États-Unis, Leonard Hayflick, a confirmé que son collègue en Suède, le Dr Sven Gard, avait soigneusement choisi le bébé à naître en fonction de sa santé. Dans un document de questions-réponses médical, il a déclaré :

Ce fœtus a été choisi par le Dr Sven Gard, spécifiquement dans ce but. Les deux parents sont connus, et malheureusement pour l’histoire, ils sont mariés l’un à l’autre, toujours en vie et en bonne santé, et vivent à Stockholm, vraisemblablement. L’avortement a été pratiqué parce qu’ils estimaient avoir trop d’enfants. Il n’y avait aucune maladie familiale dans les antécédents des deux parents et, spécifiquement, aucun antécédent de cancer dans les familles.

Ces bébés soigneusement sélectionnés sont ensuite disséqués dans des conditions spécifiques. Pour que les organes soient à « viabilité optimale », l’enfant doit être disséqué et les organes extraits dans les 5 minutes suivant l’avortement. Et ce n’est pas tout.

Un document de recherche de l’Université de Toronto daté de juin 1952 indique : « Aucun spécimen macéré n’a été utilisé et, dans de nombreux embryons, le cœur battait encore au moment de la réception dans le laboratoire de virus. »

Le Dr Ian Donald, le pionnier de l’échographie, affirme avoir été témoin des dissections du WI-38 réalisées à l’Institut Karolinska. Il les a décrites de la manière suivante :

Des expériences ont été menées sur des bébés avortés vivants, proches du terme, qui n’ont même pas eu droit à l’anesthésie alors qu’ils se tordaient et pleuraient à l’agonie, et lorsque leur utilité a expiré, ils ont été exécutés et jetés comme des déchets.

Tout cela se fait sans anesthésie pour ne pas modifier l’activité cellulaire des organes que le chercheur veut obtenir. Sans anesthésie sur ces petits bébés ! Ce qui signifie que le bébé peut ressentir l’atroce douleur. En fait, non seulement ils ressentent la douleur, mais la recherche suggère que les mécanismes neuronaux qui inhibent les sensations de douleur ne commencent pas à se développer avant 34-36 semaines de la gestation, et ne sont pas complets avant une période significative après la naissance, ce qui signifie que le fœtus est « hypersensible » à la douleur. C’est cruel, inhumain et totalement inimaginable, et pourtant les faits montrent que c’est malheureusement vrai.

Et ce n’est pas seulement une chose du passé. Au début du mois de mars de cette année, des militants anti-avortement appartenant à des groupes tels que Progressive Anti-Abortion Uprising (PAAU), Survivors of the Abortion Holocaust, Pro-Life San Francisco et Rehumanize International ont eu accès à la banque d’organes fœtaux la plus importante et la plus active du pays, située à l’Université de Washington à Seattle. Cette photo du congélateur, prise le 9 mars 2022, montre les rangées de corps et de parties étiquetés et conservés dans des sacs. L’Université de Washington continue de distribuer et de faire le trafic de parties de corps et de cadavres entiers d’enfants à naître [avortés] à un rythme qui dépasse celui de toute autre institution connue aux États-Unis.

David Daleiden, fondateur et président du Center for Medical Progress, a déclaré dans un communiqué de presse daté du 20 août 2021 :

La demande de subvention du NIH pour une seule des nombreuses expériences de l’Université de Pitt avec des nourrissons avortés se lit comme un épisode d’American Horror Story. Des enfants dans l’utérus, dont certains sont assez âgés pour être viables, sont avortés vivants et tués pour le prélèvement d’organes, afin de rapporter des millions de dollars de fonds publics à Pitt et à l’entreprise d’avortement Planned Parenthood qu’elle soutient.

L’université de Pittsburgh (« Pitt ») fait de la publicité auprès du NIH pour expliquer pourquoi Pitt serait le meilleur endroit pour une « plateforme de distribution » destinée à fournir un grand nombre de parties de corps de fœtus avortés aux chercheurs du NIH, en mettant l’accent sur les « plus de 18 ans d’expérience » de Pitt dans la collecte de parties de corps de bébés avortés. De façon effrayante, Pitt annonce que « le temps d’ischémie est minimisé ». Qu’est-ce que le temps d’ischémie, vous demandez-vous ? Eh bien, selon le NIH, le temps d’ischémie chaude est « le temps pendant lequel un tissu, un organe ou une partie du corps reste à la température du corps après que son alimentation en sang a été réduite ou coupée, mais avant qu’il ne soit refroidi ou reconnecté à une alimentation en sang ». Si les battements de cœur et la circulation sanguine du fœtus se poursuivent lors d’un avortement par induction du travail pour le prélèvement d’organes, cela signifie que le fœtus est mis au monde alors qu’il est encore vivant et que la cause du décès est le prélèvement des organes.

Pouvez-vous croire cela ? Ce ne sont pas des affirmations que nous faisons. Chaque élément de preuve horrible que je viens de vous présenter a été admis par les chercheurs eux-mêmes. Aucune de ces lignées cellulaires n’est obtenue par le biais de fausses-couches — il s’agit plutôt d’avortements, de vivisections où l’enfant à naître est choisi en fonction de son état de santé et des antécédents familiaux en matière de maladies, il est vivant lorsque ses organes sont déchirés, son cœur bat lorsqu’il est disséqué, il ne reçoit pas d’anesthésie et la cause de sa mort est le prélèvement inhumain de ses organes.

L’extraction de l’enfant à naître par césarienne ou par hystérectomie [ablation de l’utérus] constitue l’avortement « par excellence » pour le prélèvement de tissus fœtaux. Une étude de 1982 sur l’histoire du don de tissus l’affirme :

Le tissu fœtal destiné à la transplantation doit être « prélevé » dans les quelques minutes qui suivent l’accouchement. Idéalement, cela se fait par hystérectomie, le fœtus étant livré in utero. Les médicaments qui réduisent l’activité physiologique du fœtus doivent être évités. Le fœtus est donc dans un état aussi vivant et éveillé que possible au moment où il est disséqué.

Des méthodes plus modernes, comme lors de la création de la lignée cellulaire WalVax 2 en 2015 en Chine, ont consisté à provoquer un accouchement et à garder le bébé dans son propre sac amniotique ou « sac d’eau » jusqu’au moment de la dissection. La création du WalVax 2 a été possible grâce à l’avortement d’un fœtus féminin de 3 mois issu d’un lot de 9 fœtus avortés en 2015 en Chine. Oui, cela a nécessité le meurtre de 9 bébés — et cela s’est passé en 2015, pas dans les années 1970 !

Enfin, pour ce qui est de l’argument selon lequel il ne s’agissait que d’un seul bébé dans les années 1970, où est le problème de toute façon ?

Il est vrai que la seule information disponible concernant la lignée cellulaire HEK-293 est qu’elle a été prélevée sur une petite fille en bonne santé avortée aux Pays-Bas dans les années 1970. Toutefois, cela ne signifie pas qu’un seul bébé a été avorté au cours du processus de création de la lignée cellulaire HEK-293. Pourquoi est-ce que je dis cela ?

Eh bien, Christian Hacking du Centre pour la réforme bioéthique du Royaume-Uni déclare dans son article :

Nous savons que pour la création du WI-38, 32 bébés ont été tués et disséqués. Si l’on ajoute les expériences supplémentaires pour obtenir le virus de la rubéole et les expériences ultérieures pour le tester, le total s’élève à 99 bébés à naître tués. Nous savons également qu’au moins 5 bébés ont été tués lors de la production du MRC-5 en 1970 et 9 bébés lors de la production du WalVax 2 en 2015.

Par conséquent, s’il est peu probable que 293 bébés à naître aient été disséqués lors de la production de HEK 293, des experts tels que Pamela Acker suggèrent qu’ils étaient plus de 100.

La vivisection et l’avortement de ces bébés innocents sont un crime inhumain qui ne vient que du démon. Notre Seigneur Jésus nous a appris que le voleur ne vient que pour voler, tuer et détruire. Ce sacrifice de bébés sur les autels de faux dieux n’est pas nouveau. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil, et le sacrifice et le meurtre de bébés étaient également présents à l’époque de l’Ancien Testament.

Tout au long de la Bible, nous voyons Yahvé condamner les Israélites pour leur sacrifice de bébés à de faux dieux. Choice 42 propose une vidéo brillante sur le sacrifice d’enfants et l’avortement, et je vous encourage à la regarder. Nous n’avons jamais entendu les cris des bébés qui étaient sacrifiés autrefois aux différents dieux païens de la pluie, de la richesse, etc. Même aujourd’hui, nous n’entendons pas les cris des bébés lorsqu’ils sont massacrés pour nos faux dieux de la richesse, de l’honneur, du pouvoir et du plaisir. Lorsque la Vierge est apparue pour la première fois à Juan Diego en 1531, la culture aztèque était encore imprégnée d’un paganisme sanguinaire. Selon les spécialistes aztèques, à l’apogée de leur empire, les Aztèques sacrifiaient des dizaines de milliers de victimes chaque année. Les enfants faisaient couramment partie de ces victimes. C’est grâce à Notre-Dame de Guadalupe que le Mexique a été reconquis pour le Christ-Roi. Notre Dame est à la fois Vierge et Mère. Satan déteste la Vierge et s’attaque donc à ce qu’elle représente : la pureté et la maternité.

Écouter tout ce récit est horrifiant et pourrait nous conduire au désespoir en nous demandant ce que nous pourrions faire. Il existe une belle pratique initiée par le vénérable Mgr Fulton Sheen. Il nous a donné une simple prière à réciter lorsque nous adoptons spirituellement un bébé en danger d’être avorté. J’invite chacun d’entre vous qui regardez cette émission à commencer cette pratique. C’est très simple. Dieu sait quels bébés sont en danger d’être avortés et cruellement assassinés pour la recherche. Nous pouvons adopter spirituellement un bébé en danger de vivisection et d’avortement, lui donner un nom et prier pour lui chaque jour pendant 9 mois avec cette petite prière : « Jésus, Marie et Joseph, je vous aime de tout mon cœur. Je vous prie d’épargner la vie du bébé à naître que j’ai adopté spirituellement, qui est en danger d’être avorté. »

Dans la foi, nous croyons que Dieu sauvera les bébés que nous avons adoptés spirituellement. Cela n’est-il pas magnifique ?

https://www.youtube.com/watch?v=xcKim1sUUrw



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