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La Fédération internationale de force athlétique menace de suspendre un Canadien qui a concouru contre des femmes

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Charchnai saeheng/Adobe Stock

24 août 2023 (LifeSiteNews) — La Fédération internationale de force athlétique a déclaré qu’un dynamophile canadien « transgenre » devait être interdit de compétitionner contre les femmes.

Le 18 août, la Fédération internationale de force athlétique (IPF) a lancé un ultimatum à l’Union canadienne de force athlétique (CPU) après que celle-ci ait autorisé « Anne » Andres, un homme biologique*, à concourir contre des femmes.

« Ils risquent d’être suspendus s’ils ne respectent pas cette politique », a déclaré Gaston Parage, président de la FIP, au Daily Mail, qui a été le premier à faire état de cet avertissement.

Cet avertissement est intervenu environ une semaine après qu’un homme confus quant au sexe, nommé « Anne » Andres, a établi un record canadien de dynamophilie.

Il a établi le record national lors d’un championnat à Brandon, au Manitoba, lors du Championnat canadien de l’Ouest 2023 de l’Union canadienne de force athlétique, après avoir soulevé plus de 200 kilos de plus que les femmes de sa catégorie. Il a remporté la première place dans la catégorie Female Masters Unequipped, comme l’a récemment rapporté LifeSiteNews.

L’IPF a récemment modifié ses règles pour protéger les haltérophiles féminines en définissant quels hommes biologiques seraient autorisés à concourir contre des femmes.

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L’organisation de dynamophilie a annoncé que les athlètes « transgenres » devaient présenter une pièce d’identité prouvant qu’ils s’identifient au sexe opposé depuis au moins quatre ans avant de concourir contre des femmes. L’homme confus quant au sexe doit également prouver qu’il a un taux de testostérone abaissé.

La dynamophile canadienne April Hutchinson s’est réjouie de cette décision, qualifiant les nouveaux règlements de l’IPF de « GRANDE victoire ».

« Ce n’est pas une politique parfaite, mais c’est un pas dans la bonne direction », a écrit Mme Hutchinson sur X (ex-Twitter). « Finie la politique d’inclusion. Voyez ce que la prise de parole peut apporter ».

En mars, Kristine Bayntum, qui pratique la dynamophilie, a décrit au National Review ce que cela lui a fait de concourir contre Andres lors d’un événement en 2019.

« Je ne le savais pas à l’époque, mais je me doutais que je concourais contre un homme trans-identifié », a-t-elle déclaré.

« Lorsque je suis montée sur le podium, j’ai obtenu la deuxième place, puis cette personne est montée et a pris la parole, et c’était essentiellement une voix d’homme. »

Mme Bayntum a indiqué qu’elle avait été « choquée » d’apprendre, en 2023, que M. Andres était un homme biologique, alors qu’elle pensait qu’il s’agissait d’une femme sous testostérone.

Andres lui-même a même admis que les hommes biologiques avaient un avantage sur les femmes en dynamophilie, déclarant : « Bien que la science semble assez claire sur le fait que les athlètes féminines transgenres semblent avoir un avantage durable en passant par la puberté masculine, même après avoir subi une chirurgie bloquant la testostérone, ce n’est pas une chose dont nous discutons ici ».

Riley Gaines, une militante conservatrice, ancienne nageuse américaine de l’université du Kentucky, connue pour avoir dénoncé la concurrence entre les hommes et les femmes dans le sport en raison de l’idéologie transgenre, a reproché à Anne Andres de s’être moquée des dynamophiles féminines parce qu’elles n’étaient pas aussi fortes que les hommes.

« Anne Andres (homme qui s’identifie et concourt en tant que femme) ne comprend pas pourquoi les dynamophiles féminines sont si “mauvaises” au développé couché... Eh bien, je ne sais pas Anne, mais peut-être que c’est parce que vous avez 20 fois plus de testostérone qu’elles. C’est juste une idée », a posté Gaines sur X.

La recherche scientifique continue de réaffirmer que les hommes ont un avantage sur les femmes dans la plupart des sports en ce qui concerne leurs capacités physiques, qui ne sont pas éliminées par les hormones du sexe opposé.

Alors que les hommes biologiques continuent de se frayer un chemin dans les compétitions féminines en volant leurs récompenses et en établissant de nouveaux records, certaines institutions ont mis en place des lois pour protéger les femmes.

En août, British Rowing a annoncé qu’elle interdirait aux hommes biologiques qui prétendent être des femmes de participer à des compétitions féminines et de s’emparer de leurs prix.

Plus tard dans le mois, World Aquatics, l’organe directeur international des sports aquatiques, a annoncé la création d’une « catégorie ouverte » pour les nageurs qui se disent « transgenres » et qui ne satisfont pas aux règlements en vigueur pour concourir contre les femmes.

De même, le World Track and Field a interdit aux athlètes de participer à des compétitions dans des catégories qui ne correspondent pas à leur sexe biologique.


*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » (ou de personnes biologiquement masculines) quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.



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