M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

L’Espagne oblige une région à supprimer l’offre d’échographies avant l’avortement

Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Une région d’Espagne qui avait mis en place des politiques de consentement éclairé* avant tout avortement ne pourra plus le faire.

La région de Castille et Léon, située au nord de Madrid, avait récemment annoncé que les femmes enceintes qui demandent un avortement doivent avoir eu auparavant la possibilité d’écouter les battements de cœur de leur enfant à naître ou de visionner une échographie. Pourtant, le ministre de la Présidence et des relations avec les tribunaux, Félix Bolaños, a rapidement répondu que ces politiques ne seront pas autorisées, déclarant que la région devait « cesser immédiatement tout recul des droits des femmes » et affirmant que ces politiques constituaient une « violation des droits et des libertés des femmes ».

Alfonso Fernández Mañueco, le président de la région, a ensuite déclaré cela ne serait pas obligatoire. « Les médecins ne seront pas obligés de faire quoi que ce soit, les femmes enceintes ne seront pas obligées de faire quoi que ce soit », a-t-il déclaré. « Il est clair pour moi que la modification de l’ordre des facteurs pourrait se transformer en coercition directe et indirecte ».

Le premier ministre Pedro Sánchez a réaffirmé l’engagement de l’Espagne en faveur de l’avortement dans un communiqué, déclarant : « Le gouvernement espagnol utilisera toutes les ressources de la loi pour défendre la liberté des femmes et leur droit à interrompre leur grossesse dans les conditions appliquées dans la législation existante ». Actuellement, l’avortement est légal jusqu’à 14 semaines de grossesse en Espagne.

L'article continue ci-dessous...

Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !

Malgré l’hystérie des défenseurs de l’avortement, ces politiques auraient simplement donné aux femmes la possibilité de faire un choix pleinement informé avant de subir un avortement (consentement éclairé). Entendre le battement de cœur peut aider les femmes à comprendre l’humanité de leur enfant à naître, ce qui est particulièrement important compte tenu de la quantité d’informations erronées qui entourent cette question, les partisans de l’avortement affirmant à tort que les enfants à naître n’ont pas de battements de cœur.

Les employés des centres de ressources pour femmes enceintes ont également parlé de la différence que peuvent faire les échographies, attestant que jusqu’à 90 % des femmes refusent d’avorter après avoir vu leur bébé. C’est probablement la raison pour laquelle les militants de l’avortement se battent contre le consentement éclairé ; le véritable problème est que ces mesures donnant aux femmes toutes les informations pertinentes au préalable pourraient les convaincre de choisir plutôt la vie.


*Si on parle de « consentement éclairé » de la part de la femme qui consent à l’avortement, on ne peut que comprendre par là qu’elle comprend qu’elle fait tuer son bébé, ou alors l’on comprend par là que l’on a mis les moyens nécessaires pour que la femme comprenne la vraie nature de ce qu’elle porte. — A.H.



Laissez un commentaire