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Une ville canadienne ne veut pas que ses habitants sachent ce qu’est une « femme »

Par Pete Baklinski (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Il semble que la ville ontarienne de Hamilton ne veuille pas que ses résidents sachent ce qu’est une « femme ».

Le mois dernier, la ville a voté pour l’interdiction d’une publicité dans les abribus de Hamilton qui montrait une jeune femme modestement vêtue et une légende disant : « Femme : personne adulte de sexe féminin ». Sous la légende figuraient les mots « apporter le respect de la vie et la vérité à la politique canadienne » ainsi que le logo du créateur de l’annonce, le Parti de l’Héritage Chrétien (PHC), un parti fédéral canadien. Cette publicité fait suite au documentaire à succès de Matt Walsh, du Daily Wire, qui traite de ce sujet et qui a été visionné près de 200 millions de fois sur Twitter.

Le chef du PHC, Rod Taylor, a expliqué sur Twitter ce que signifie l’interdiction. « La ville de Hamilton prive les Canadiens de leur droit au dialogue politique. La ville de Hamilton a décrété que le PHC ne peut pas promouvoir la définition de FEMME sur ses abribus publics. »

La ville a expliqué dans une décision de 17 pages rendue le 6 juillet qu’elle a interdit l’annonce parce qu’elle craignait de causer un « préjudice » aux hommes biologiques qui utilisent le système de transport en commun habillés en femmes et s’identifiant comme telles.

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« Imaginez une femme transgenre qui s’apprête à monter dans un autobus et qui est confrontée à un message qui nie son identité et dévalorise son expérience. Comme le suggèrent les preuves précédentes, le préjudice psychologique causé par un rejet public aussi explicite de son identité pourrait être important, suscitant potentiellement des sentiments d’exclusion, de honte, voire de crainte pour sa sécurité personnelle. Un tel environnement hostile pourrait la décourager d’utiliser notre système de transport en commun, ce qui perturberait sa vie quotidienne et l’accès aux services de notre ville », a expliqué la ville, en utilisant des pronoms qui ne correspondent pas à la réalité biologique d’une telle personne.

Le fait est que l’idéologie du genre, qui soutient à tort que les hommes peuvent devenir des femmes et que les femmes peuvent devenir des hommes, est à l’origine de graves préjudices pour les femmes réelles et pour toutes les nations qui ont adhéré à cette illusion.

Les hommes biologiques qui se prennent pour des femmes et qui sont puissamment soutenus par les lois sur l’identité et l’expression de genre, ont pris possession des espaces féminins partout dans le monde. Ils ont dominé les femmes dans les sports féminins. Ils les ont battues dans les concours de beauté féminins. Ils ont violé des femmes dans des prisons réservées aux femmes. Ils les ont agressées dans les refuges pour femmes. Ils ont fait du tort à des femmes dans les vestiaires, les salles de bains et les salles de douche. Ils ont réussi à convaincre de nombreuses personnes, par la logique la plus perverse et la plus insensée, que les hommes sont de meilleures femmes que les femmes elles-mêmes. Et beaucoup hochent la tête en signe d’approbation, qualifiant cela de « progrès », « d’avant-gardisme » et de « droits de l’homme ».

Les nations qui ont adhéré à cette folie, en inscrivant cette illusion dans leurs lois, sont coupables non seulement d’essayer d’effacer les différences biologiques et sociologiques entre les hommes et les femmes, différences sur lesquelles les civilisations ont été fondées et se sont épanouies pendant des millénaires, mais aussi d’essayer d’effacer les femmes elles-mêmes. Le transgenrisme est une attaque en règle contre les femmes. Certaines, comme l’auteur de Harry Potter, JK Rowling, en sont conscientes et se défendent, mais de nombreuses femmes ne semblent pas réaliser que leur sexe, leur identité et leur place même dans la société sont en jeu. La ville de Hamilton s’est jointe à tant d’autres pour donner un coup de hache en interdisant cette publicité magnifiquement simple qui déclare la vérité biologique qu’une femme est une personne adulte de sexe féminin.

Et remarquez ce qui est également sur le billot lorsqu’une nation s’enfonce dans ce trou de lapin délirant : la liberté d’expression. En interdisant cette publicité, la ville enfreint certainement le droit des citoyens à s’exprimer sur des questions cruciales telles que la binarité humaine. Il n’y a rien de plus fondamental que le fait biologique que les êtres humains sont créés en tant que mâle et femelle. Les tyrans et les despotes peuvent essayer de museler les citoyens qui expriment cette vérité, mais cela n’effacera jamais la vérité elle-même. Et la vérité finit toujours par l’emporter, car elle libère les gens.

Le PHC a annoncé cette semaine qu’il avait entamé une procédure judiciaire contre la ville de Hamilton, en déposant un avis de demande de révision judiciaire auprès de la Cour supérieure de justice de l’Ontario (Cour divisionnaire). PHC Canada a retenu le cabinet d’avocats Acacia Group comme conseiller juridique pour cette affaire. Le PHC a déjà des antécédents de succès lorsqu’il s’agit de défendre le droit de s’exprimer sur la place publique. En 2016, le PHC a contesté avec succès l’interdiction par la ville de Hamilton d’une publicité qui montrait un homme poussant une porte sur laquelle on pouvait lire « LADIES SHOWERS » (douches pour dames) et dont la légende se lisait « Droits de la personne contradictoires... Où est la justice ? » Alors que la ville considérait l’annonce comme discriminatoire et transphobe, un panel de 3 juges lors de la procédure de révision judiciaire s’est unanimement rangé du côté du PHC et contre la ville.

Il est temps que nous prenions tous position pour les vraies femmes, les personnes adultes de sexe féminin absolument nécessaires dans notre société, qui sont agressées de toutes parts.



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