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Une vidéo compare la «Marche pour la Vie» et la «Marche des femmes» révélant des visions du monde étonnamment opposées


Lors de cette Marche des femmes, il n'y avait pas que des représentantes de la féminité, mais aussi des « transgenres »...

Par Dorothy Cummings McLean — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :

Washington DC., 28 janvier 2020 (LifeSiteNews) — Une vidéo virale comparant la Marche pour la vie du 24 janvier à la Marche des femmes pro-avortement souligne des visions du monde complètement différentes qui y sont tenues.

Dans la vidéo, qui a été visionnée plus de 74 000 fois au moment de sa publication, un porte-parole de l’Action étudiante TFP (Tradition, famille et propriété) note que le contraste des deux marches qui se sont tenues à Washington ce mois-ci « révèle un choc de deux Amériques ».

« Portant des pancartes vulgaires, obscènes et même blasphématoires, la Marche des femmes réclame l’avortement sans restriction, clame l’alarmisme climatique et proclame l’anarchie tribale », poursuit-il.

Le narrateur observe que la Marche des femmes « diminue en effectifs » tandis que la Marche pour la Vie « bouillonne de vitalité, de détermination et d’espoir ».

Une différence cruciale entre ces deux groupes : leur compréhension de ce qu’est « la question prééminente de notre temps ». Les participants interrogés de la Marche pour la Vie sont unanimes pour dire qu’il s’agit de l’avortement et du respect de la vie humaine. Les participants de la Marche des femmes nomment plutôt les « droits », la « liberté pour tous », le « contrôle des armes à feu », le « changement climatique » et le « manque de représentation ».

Les deux groupes diffèrent aussi sur la personne considérée le modèle d’héroïsme féminin. Invitées à nommer les plus grandes femmes de l’histoire, les participants à la Marche des femmes mentionnent le juge de la Cour suprême Ruth Bader Ginsburg, dont la santé est faible, la présidente de la Chambre Nancy Pelosi, la candidate perdante à la présidence Hillary Clinton, et même quelqu’un qui n’est pas une femme, le drag queen Marsha P. Johnson. Les participants à la Marche pour la Vie désignent avec une colossale majorité la Sainte Vierge Marie comme la plus grande femme de l’histoire.

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« Un individu de la Marche des femmes s’en est pris à la Vierge Marie », révèle le narrateur, qui montre une femme en colère criant des remarques au sujet de « Marie » à un pro-vie muni d’un porte-voix. Elle semble crier « Marie a été violée », du moins une partie du temps.

La question du patriarcat a suscité des réponses enthousiastes de la part des participants à la Marche des femmes, mais plutôt la réticence chez deux femmes de la Marche pour la Vie à y voir un problème ou même une réalité.

« Je ne crois pas que ce patriarcat invisible existe, et qui a été organisé par tous les hommes du monde pour opprimer les femmes », déclare une jeune femme.

« Je ne me sens certainement pas opprimée dans ma vie quotidienne ».

La question du président Donald Trump et son engagement envers la vie a également donné des réponses très divergentes. Les marcheurs pro-vie ont déclaré que Trump était « le président le plus pro-vie de l’histoire », tandis que les participants à la Marche des femmes, interrogés pour le film de l’Action étudiante TFP, ont soit nié cette affirmation, soit déclaré que « depuis que nous l’avons vu, nous avons en fait reculé de probablement 30 ans en matière de droits des femmes ».

Étonnamment, de nombreux participants interrogés de la Marche des femmes ne pensent pas qu’il devrait y avoir de restriction à l’avortement et au moins deux d’entre eux nient l’existence de l’« avortement postnatal ». En revanche, une jeune pro-vie fut horrifiée d’apprendre que le gouverneur de Virginie, Ralph Northam, eût suggéré que la survie des bébés avortés nés vivants soit laissée à la discrétion de leurs parents.

« En fin de compte, la lutte se situe entre ceux qui aiment Dieu et suivent sa sainte loi, et ceux qui aiment le père du mensonge et la culture de la mort », conclut le narrateur.



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