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Une professeure de l'UQAM, la FQPN et l'Association canadienne pour le libre choix rébarbatives à l'aide aux femmes enceintes

Sur le site du journal 24h du 21 mars 2013, un exemple de malhonnêteté intellectuelle:

(Comment interpréter le sigle de la FQPN? Deux personnes qui tiennent une femme enceinte à la gorge et qui lui ouvrent les jambes pour qu'elle se fasse avorter?)

Des centres d'aide à la grossesse qui diffuseraient des informations trompeuses et qui inciteraient des femmes à ne pas recourir à l'avortement sont dans la mire de chercheuses montréalaises.

 Audrey Gonin, professeure à l'École de travail social de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), se penche sur cette problématique qui a été mise au grand jour ailleurs dans la province. « Selon des enquêtes du Soleil et de Rue Frontenac, il existe des centres à Québec et à Trois-Rivières qui donnent des informations biaisées à leur clientèle, affirme Mme Gonin. On dit aux femmes que les avortements peuvent causer le cancer du sein ou engendrer un “syndrome post-avortique”, ce qui est complètement faux selon l'Institut national de santé publique du Québec. »

 Procédant actuellement à une recherche en partenariat avec la Fédération du Québec (FQPN) pour la planification des naissances, la professeure tente de répertorier les centres qui, par des méthodes douteuses, découragent des femmes d'accéder à leur droit à l'avortement.

 « Selon l'Association canadienne pour la liberté de choix, une trentaine de ces centres existeraient au Québec, et au moins un d'entre eux existerait à Montréal », souligne Mme Gonin.

 Tromperie et ambiguïté

 Afin d'améliorer sa compréhension de ces centres d'aide à la grossesse, Mme Gonin et la FQPN lancent un appel aux témoignages. « Nous demandons à toutes les personnes en lien avec une situation de grossesse qui ont consulté un centre d'aide ayant manifestement cherché à les dissuader d'envisager l'option de l'avortement de nous contacter », explique la professeure.

 Celle-ci énumère quelques points qui devraient mettre la puce à l'oreille des personnes venant en contact avec ces centres. « S'ils font mention d'un syndrome post-avortique ou qu'ils parlent d'éducation sur l'avortement, il y a quelque chose qui cloche. Aussi, s'ils offrent spécifiquement du soutien psychologique à la suite d'un avortement, mais qu'ils refusent de donner des références pour avoir accès à cette procédure, c'est suspect », insiste Mme Gonin.

 Des motifs obscurs

 Difficile de savoir d'où proviennent les fonds qui financent ces centres qui offrent gratuitement leur « aide ». L'information qui circule sur leurs sites internet est particulièrement ambiguë. On y parle de bienfaiteurs ou de gens qui ont à cœur le bien-être des femmes.
 

Des « enquêtes » qui sont en fait des articles par des journalistes probablement pro-choix, une interview de la FQPN dont l'objectif est «que les femmes puissent consulter et recevoir une information complète et immédiate et que les services d’avortement soient prodigués dans les plus brefs délais. », une professeure très probablement pro-choix présentée comme étant «des chercheuses montréalaises»..., voilà un article qui a tout pour être une merveille de désinformation!

Avorter des enfants le plus rapidement possible et surtout, surtout combattre les bénévoles et organismes qui donnent de leur temps pour aider, soutenir les femmes enceintes en difficulté. La FQPN ne lève pas le petit doigt pour offrir de l'aide aux femmes en difficulté, mais elle est aux premiers rangs pour exiger que l'on puisse tuer ces enfants au plus vite!

Des centres d'aide qui offrent du soutien psychologique, proposent de l'aide matérielle et de l'écoute sont particulièrement suspects pour la « chercheure » et la FQPN, et pour l'Association canadienne pour la liberté de choix dont les membres avorteurs de métier pourraient perdre des clientes...

Nous pouvons déjà expliquer à ces « chercheurs » d'où proviennent les fonds pour ces centres : des bénévoles qui offrent de leur temps pour soutenir les femmes enceintes en difficulté.

Pour la FQPN et ses comparses, un tel comportement est incompréhensible, ce que la journaliste appelle des « méthodes douteuses ». Leurs « chercheurs » poursuivront donc leurs recherches... pour tenter de découvrir ce qui peut se cacher sous cette « générosité », un concept irréaliste et inexistant selon leur conception de la vie...

« L'information qui circule sur leurs sites internet est particulièrement ambiguë. On y parle de bienfaiteurs ou de gens qui ont à cœur le bien-être des femmes. » 

Comme c'est étrange...

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