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Une nouvelle étude sur les transgenres montre les effets secondaires douloureux et durables des opérations de « changement de sexe »

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : anut21ng Stock

28 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Une nouvelle étude sur les effets secondaires des chirurgies de changement de sexe pour les transgenres a révélé, une fois de plus, que nous sommes actuellement au milieu du plus grand scandale médical des derniers siècles. Menée par des chercheurs de l’université de Floride et de l’association de santé à but non lucratif Brooks Rehabilitation, l’étude a révélé que 81 % des personnes ayant subi une opération de changement de sexe au cours des cinq dernières années ont déclaré avoir ressenti des douleurs simplement en se déplaçant normalement, dans les semaines et les mois qui ont suivi, et que de nombreux autres effets secondaires se sont également manifestés.

Ce n’est pas une surprise pour ceux d’entre nous qui ont écouté les témoignages de personnes ayant subi une détransition, comme Chloe Cole, et d’autres qui sont passés sous le bistouri, comme Scott Newgent (qui a décrit des expériences post-opératoires horribles dans mon podcast récemment). Meryl Alappattu, professeur de physiothérapie à l’université de Floride, a présenté ses conclusions provisoires dans le cadre d’un atelier privé en ligne dont le Daily Mail s’est fait l’écho. Le rapport complet sera publié plus tard, en 2023, et les conclusions sont terrifiantes. L’étude a révélé que les personnes ayant subi une opération de changement de sexe avaient des problèmes de vessie, des douleurs pendant les rapports sexuels et d’autres problèmes importants.

« Un pourcentage élevé de personnes ont signalé des douleurs musculo-squelettiques, des difficultés à se déplacer et des dysfonctionnements du plancher pelvien », a déclaré Mme Alappattu. « Pour ce qui est d’obtenir des informations sur l’efficacité de ces types de traitement, nous avons encore beaucoup de travail à faire ». Comme l’a noté le Daily Mail :

« La modification chirurgicale des organes génitaux masculins et féminins pour les faire correspondre à ceux du sexe opposé — connue sous le nom de vaginoplastie et de phalloplastie — est généralement considérée comme une procédure difficile et problématique. Les femmes qui se transforment en hommes peuvent opter pour la construction d’un pénis à partir de tissus prélevés sur leur bras, bien que cette procédure soit également complexe et que le résultat soit encore très différent d’un pénis biologique. L’ablation des seins des femmes qui se transforment en hommes est plus simple, mais elle peut également entraîner des douleurs, des infections et des problèmes tels que l’éclatement des points de suture, en particulier chez les patientes en surpoids ».

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Ce n’est pas tout à fait exact, du moins en Amérique du Nord. Les soins dits « d’affirmation du genre » ne sont pas décrits comme « difficiles et problématiques », mais comme une solution simple et efficace à la dysphorie de genre, qui ne peut être remise en question par quiconque dans le domaine médical, politique ou universitaire. C’est pourquoi il n’y a eu aucun débat public sur ces traitements au Canada.

Les chercheurs ont étudié 21 personnes non binaires ou transgenres âgées de 20 à 70 ans qui avaient subi une intervention chirurgicale au cours des cinq dernières années. La plupart des personnes participant à l’étude avaient subi une vaginoplastie ou une mastectomie. Les chercheurs ont constaté que 57 % d’entre elles trouvaient les rapports sexuels douloureux, que 81 % ressentaient des douleurs aiguës dans les épaules, le bassin, la poitrine, l’aine et le bas du dos (parfois même des années après les interventions) et que 29 % souffraient d’« incontinence urinaire ou d’un besoin fréquent et urgent d’aller aux toilettes ».

Mme Alappattu a souligné que des recherches supplémentaires étaient nécessaires pour mieux comprendre les effets secondaires et que, même si la physiothérapie pouvait atténuer les « dommages » dans certains cas, on ne savait pas exactement comment remédier aux dommages à long terme. Beaucoup de ceux qui subissent ces opérations, ayant adhéré à la vision « simple » des « traitements d’affirmation du genre » prônée par le mouvement LGBT et ses alliés progressistes, sont choqués de découvrir que changer de sexe n’est pas aussi simple que ce qui était annoncé. Alexandra Hill, experte de l’université de Floride, a déclaré lors de la réunion privée que de nombreux patients sont surpris par la durée du processus de guérison. Comme l’a noté le Mail :

« De même, de nombreux hommes se faisant transformer en femmes et qui se font créer un néo-vagin sont surpris de découvrir qu’ils doivent insérer un “dilatateur” dans leur canal, jusqu’à une heure par jour, après l’opération. Sans l’utilisation d’un dilatateur, qui ressemble à un jouet sexuel, le néo-vagin peut progressivement se raccourcir en profondeur, a déclaré le Dr Hill. Certaines femmes transgenres doivent les utiliser pour le reste de leur vie. “C’est quelque chose que beaucoup de gens ne réalisent pas”, a-t-elle ajouté ».

Le reportage du Mail a également réitéré ce que j’ai souligné à maintes reprises dans cet espace : les personnes qui prennent des hormones transsexuelles et des inhibiteurs de la puberté à un jeune âge sont susceptibles d’être incapables d’éprouver « le moindre plaisir sexuel à l’âge adulte » et risquent de ne plus avoir de fertilité naturelle. En bref, cette expérience médicale crée des milliers de jeunes gens qui auront été autorisés, par leurs parents et les professionnels de la santé, à prendre une décision — avant d’avoir l’âge de voter ou d’acheter un verre de vin — qui les empêchera potentiellement d’éprouver du plaisir sexuel ou d’avoir des enfants.



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