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Une mère atteinte d’une maladie rare rejeta l’avortement, maintenant, elle et son bébé vont bien


Lisa Nicholas et sa fille Lizzy.

Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Lisa Nicholas, une mère de famille britannique, était prête à risquer sa vie pour sauver sa fille.

Alors que Lisa était enceinte de son cinquième enfant, on lui a diagnostiqué la maladie de Cushing et on l’a encouragée à avorter, rapporte le Buxton Advertiser.

Confrontés à une décision difficile, cette mère de famille de Buxton en Angleterre et son mari ont choisi la vie et l’espoir.

Aujourd’hui, leur fille Lizzy a deux ans et se porte bien. Parce que sa mère a choisi la vie.

Selon l’article, Mme Nicholas a souffert des symptômes de la maladie de Cushing pendant des années avant que celle-ci ne soit diagnostiquée. Elle dit qu’elle avait de l’hypertension, perdait des cheveux et se sentait vieille et fatiguée.

« Je me cassais constamment des os ─ je me suis cassé la cheville deux fois, une fois en mettant les chaussettes des enfants et une autre fois en descendant d’un vélo d’appartement », a-t-elle expliqué.

En avril 2018, on l’a diagnostiqué de quelle maladie elle souffrait ; mais elle a également appris qu’elle était enceinte de 12 semaines — ce qui est extrêmement rare avec cette maladie, indique l’article.

« C’était bien d’avoir des réponses, mais c’est devenu plus compliqué quand j’ai découvert que j’étais enceinte », a-t-elle révélé. « Nous n’avions pas prévu d’avoir un autre bébé, mais quand je me suis aperçue que j’étais enceinte, j’étais absolument ravie. »

Cependant, ses médecins lui ont dit que poursuivre sa grossesse pourrait causer des problèmes supplémentaires ; pire, elle pourrait perdre le bébé lors d’une fausse couche ou mourir elle-même. Ils lui ont demandé d’envisager un avortement, selon l’article.

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« Je connaissais les dangers, mais je ne pouvais pas renoncer à mon bébé », a déclaré Mme Nicholas. « On m’a proposé un avortement, mais j’ai refusé. Je voulais aller jusqu’au bout ».

Les médecins ont également découvert une tumeur de 2,5 cm sur l’un de ses reins. Celle-ci n’était pas cancéreuse, mais ils lui ont dit qu’elle mettait tout de même sa vie en danger et, à 21 semaines de grossesse, Lisa a subi une intervention chirurgicale pour qu’elle soit enlevée, rapporte l’article.

Pendant tout ce temps, elle dit qu’elle était « terrifiée à l’idée de perdre sa fille Lizzy ». Mais la mère et le bébé ont survécu à l’opération, et la grossesse a continué à progresser.

Lizzy est née prématurément en février 2019, pesant un peu moins de 3 livres (1,36 kg). La petite fille a passé huit semaines à l’hôpital Stepping Hill de Stockport afin de se développer suffisamment pour rentrer chez elle, selon l’article.

Sa mère a également passé du temps à l’hôpital.

« J’allais très mal et elle aussi. Ils ont dû faire baisser sa tension artérielle et la maintenir sous oxygène », se souvient Mme Nicholas. « Au début, je ne pouvais pas la tenir, je ne pouvais voir que des photos d’elle. Quand je l’ai enfin vue dans la couveuse, elle était si petite. »

Deux ans plus tard, Lizzy et sa mère vont beaucoup mieux. Bien que Lizzy ait encore quelques problèmes de santé, Mme Nicholas affirme qu’elle se porte « étonnamment » bien, compte tenu de tout ce qu’elles ont traversé.

« C’est une petite combattante, et après l’ablation de la tumeur, mes symptômes ont pratiquement disparu », assure-t-elle.

L’histoire de cette famille est réjouissante, mais elle est aussi porteuse d’espoir pour d’autres familles en situation difficile. Les médecins recommandent si souvent l’avortement, sans se rendre compte qu’ils ont deux patients sous leur responsabilité, et non un seul. Des histoires comme celle de la famille Nicholas prouvent qu’il y a toujours de l’espoir lorsque les mères choisissent la vie pour leur bébé à naître.



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