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Une infirmière raconte : un nourrisson ayant survécu à un avortement laissé à mourir dans un récipient pour « déchets cliniques »

Par Cassy Fiano (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

En Irlande, l’avortement est actuellement illégal, mais malheureusement, cela ne durera peut-être pas : en mai, les électeurs iront aux urnes pour décider si le 8e amendement sera abrogé, lequel reconnaît que la mère et l’enfant ont un droit égal à la vie. Actuellement, les femmes qui veulent se faire avorter doivent se rendre au Royaume-Uni, où l’avortement est légal jusqu’à 24 semaines de grossesse. L’avortement est restreint au-delà de ce temps de gestation, sauf en cas d’anomalie fœtale, même aussi mineure qu’une fente labiale.

Les groupes de pression pour l’avortement font intensivement campagne pour faire abroger le 8e amendement et pour que l’avortement soit légalisé en Irlande, mais d’autres se manifestent aussi pour exprimer leur appui à cet amendement. Une de ces personnes est une infirmière irlandaise qui a une histoire absolument horrible à raconter.

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Caren travaillait comme infirmière au service d’une agence à Sydney, en Australie, quand une femme est arrivée à son hôpital pour se faire avorter. Son bébé avait une anomalie chromosomique. Bien que Caren n’eût pas la tâche de s’occuper de cette femme, celle-ci se trouvait sur son département. « Je suis allée dans la salle de nettoyage et j’ai vu le bébé, un bébé garçon de 22 semaines, dans un haricot [une cuvette médicale], à l’évier où tous les déchets cliniques étaient évacués », a-t-elle dit. « Il était petit, mais il était parfait. On pouvait voir ses orteils, ses mains ; il semblait avoir les cheveux blonds. Il faisait toute la grandeur du haricot et il était vivant. Je pouvais voir sa poitrine se soulever et s’affaisser ; il respirait. »

En tant que jeune infirmière, Caren ne savait pas quoi faire. « Puisqu’il s’agissait d’un avortement, je n’avais pas le droit d’intervenir. Je ne pouvais pas aller chercher de l’aide pour le bébé, je ne pouvais pas le prendre ou le réconforter, ni lui donner de l’oxygène ni demander à quelqu’un de l’aider à vivre », se rappelle-t-elle. « Voir ce bébé essayer de respirer, sans personne pour le secourir, était si bouleversant ; cela me hantera pour le reste de ma vie. J’ai dû quitter la salle de nettoyage, et j’ai dû laisser le bébé là. C’était la partie la plus difficile de tout, car je sentais que j’avais abandonné le bébé. C’était un enfant, c’était un être humain. »

« Ce même soir, j’ai entendu la mère de l’enfant pleurer dans sa chambre. Elle était inconsolable. » Dit-elle. [la mère n'a probablement pas vu son enfant] « Je me suis demandé ce qu’on lui avait dit, et si on lui avait conseillé de se faire avorter parce que le bébé était considéré comme imparfait. »

Dans la vidéo ci-dessous, le Dr Anthony Levatino, un ex-avorteur, décrit le processus horrible d’un avortement tardif par induction :

Maintenant, Caren veut être certaine que le 8e amendement ne soit pas abrogé. « Il n’y a aucune dignité dans l’avortement. Il n’y a aucun respect. Il n’y a pas de justice dans un avortement », a-t-elle dit. « Je crains pour les infirmières comme moi, si cette proposition sur l’avortement est adoptée, et pour la culture que cela créera dans les hôpitaux irlandais. Je crains que les médecins soient appelés à poser un jugement sur la valeur de la vie d’un bébé à cause d’une anomalie suspectée. »

Elle a poursuivi : « Il y a une réalité déchirante dans le fait d’abroger le 8e amendement et de légaliser l’avortement ; cette réalité est méconnue. Je ne veux jamais qu’une infirmière voie la réalité déchirante que j’ai vue. »

La triste réalité est que des bébés vivants sont fréquemment laissés à mourir après un avortement, et la même chose arrivera sans aucun doute en Irlande si le 8e amendement est abrogé. Actuellement, l’Irlande est déjà affectée par l’horreur de l’avortement, et le légaliser rendra seulement les choses pires. L’Irlande doit protéger le 8e amendement.



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