Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
6 décembre 2022 (LifeSiteNews) — Lors d’une récente table ronde organisée par Children’s Health Defense (CHD), une infirmière a dénoncé une augmentation alarmante des décès fœtaux chez les mères qui avaient reçu un vaccin COVID-19.
Mme Michelle Gershman, infirmière, s’est jointe au Dr James Thorp et aux membres de l’équipe du CHD dans leur émission hebdomadaire pour discuter du lien entre les vaccins COVID et les morts fœtales, ainsi que du manque d’attention sérieuse accordée à ce problème croissant.
« Je ne comprends pas comment les gens peuvent se contenter de balayer la question du revers de la main et prétendre que ce n’est pas grave », a déclaré Mme Gershman au cours de la discussion. « C’est absolument un problème majeur. Je crois sincèrement que les bébés nous sont donnés par Dieu, qu’ils sont censés nous apporter amour et joie, et si quelque chose vient s’interposer, en essayant de vous enlever votre bébé, pour moi c’est absolument diabolique. »
Mme Gershman a commencé à travailler en tant qu’infirmière post-partum en novembre 2020, pendant la pandémie de COVID-19. Au début, elle a déclaré que le virus ne semblait pas avoir d’impacts majeurs sur les décès fœtaux et les problèmes de santé des femmes enceintes.
Mais au fil du temps, l’infirmière a constaté divers problèmes circulatoires chez les mères. Outre l’hypertension artérielle qui se poursuivait même après l’accouchement, les femmes présentaient davantage de caillots sanguins et d’éclatements de vaisseaux sanguins dans les yeux. Certains bébés nés de femmes vaccinées étaient anormalement fatigués, et leur visage semblait décoloré ou meurtri, mais ce n’était pas la jaunisse. Beaucoup de ces bébés ont également été envoyés à l’USIN [unité de soins intensifs néonatals] pour des problèmes respiratoires.
Lorsque les vaccins ont été mis sur le marché au printemps 2021, elle a commencé à remarquer des problèmes fréquents, notamment une pression artérielle élevée, chez les femmes enceintes et des accouchements précoces. Gershman a noté que beaucoup de femmes rencontrant ces problèmes avaient reçu le vaccin peu de temps avant le début de leurs symptômes. Peu de temps après celui-ci, les femmes se retrouvaient « tout d’un coup à l’hôpital pour accoucher et leurs bébés allaient à l’USIN ».
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Pire encore, de nombreux bébés à naître sont morts.
« J’avais déjà remarqué cette augmentation des décès de fœtus, mais personne n’en parlait vraiment », se souvient l’infirmière. « Quand j’ai commencé à travailler là-bas, je voyais une mort fœtale tous les deux ou trois mois. Et puis, quand les vaccins sont sortis, nous avons commencé à en voir peut-être une fois par semaine. »
En septembre 2022, Mme Gershman et ses collègues ont reçu un courriel d’un responsable de l’hôpital traitant de cette augmentation. Le nombre de morts fœtales serait passé d’une ou deux par mois à 20 par mois, ce nombre ayant augmenté après la distribution des injections COVID. Cependant, au lieu de mettre en avant des solutions sauver les bébés mourants, le courriel informait le personnel de l’hôpital de « réviser ses politiques » afin de « pouvoir gérer un bébé mort ».
« Je pense vraiment que beaucoup de gens sont dans un état second et ne veulent tout simplement pas admettre que le vaccin pourrait nuire à toutes ces mères et à tous ces bébés », a déclaré Mme Gershman. « Beaucoup d’entre eux ne le voient pas [le lien entre les problèmes de santé et les vaccins COVID] parce que beaucoup d’entre eux sont programmés pour penser que les vaccins sont bons alors qu’ils ne le sont pas. »
Gershman, dont la mère est morte après avoir reçu du remdesivir, a déclaré qu’elle ne s’inquiète pas d’un éventuel retour de bâton pour avoir parlé de la crise actuelle.
« Je ne suis vraiment pas inquiète de perdre mon emploi », a-t-elle déclaré. « Parce que si être une infirmière signifie que vous restez assise et que vous regardez les bébés mourir et que vous ne parlez pas et ne vous battez pas pour eux, alors je ne veux pas être une infirmière. J’ai prêté le serment de ne pas nuire quand je suis devenue infirmière, et tous ceux avec qui je travaille l’ont fait aussi, mais ils ont apparemment tous oublié. Donc, s’ils veulent me renvoyer parce que je ne ferai pas de mal à un patient, alors ils ne me méritent pas. »
Le Dr James Thorp, gynécologue-obstétricien de longue date faisant partie du panel avec Gershman, a décrit le fait de « pousser une thérapie génique expérimentale chez des femmes enceintes » comme « le désastre éthique le plus flagrant de l’histoire de la médecine. C’est un désastre sans précédent ».
Thorp a déclaré que la nanoparticule lipidique contenue dans les injections reçues par les futures mères est transmise à leurs bébés en développement.
« Elle se concentre probablement dans le placenta et se concentre dans le fœtus pour une raison simple : le fœtus a un taux de lipophilie beaucoup plus élevé que l’adulte, donc la plupart de ces molécules liposolubles auront, le cas échéant, tendance à se concentrer [en lui]. Donc, cela brise définitivement toutes les barrières créées par Dieu. »
« Toute notre existence humaine, pour les générations futures, ne réside pas dans le sperme. Elle réside dans les ovules, les ovules de mes patientes », a déclaré Thorp. « Nous avons affaire à l’avenir de toute l’humanité dans les ovules de mes patientes. Et faire 13 milliards de piqûres à 5,3 milliards de personnes dans le monde, y compris des femmes enceintes, est une attaque contre l’humanité. Cela n’a jamais été testé auparavant. »
Depuis le déploiement des vaccins COVID, des professionnels de la santé se sont exprimés sur l’impact négatif et inconnu des injections sur les femmes enceintes et les bébés à naître. L’année dernière, le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, a averti que les vaccins, en se concentrant dans les ovaires des femmes, pouvaient provoquer une certaine « attaque auto-immune » contre le placenta.
En avril, LifeSiteNews a rapporté que l’un des médecins d’America’s Frontline Doctors a montré une augmentation de près de 2 000 % des décès fœtaux aux États-Unis depuis la distribution des vaccins. Le mois dernier, plus de 60 professionnels de la santé ont signé une lettre adressée aux autorités médicales du Royaume-Uni, exprimant leur inquiétude quant aux directives qui ont conduit à la promotion des vaccins comme une ligne de conduite sûre pour les femmes enceintes.