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Une femme regrette d’avoir avorté son bébé face aux pressions de son entourage

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Watercolor Concept/Adobe Stock

Les partisans de l’avortement minimisent souvent les effets de l’avortement sur la femme. Ils semblent oublier, entre autres, le fait que les femmes avortent sous la pression de leur entourage. En effet, pour des gens pour qui l’avortement est une porte de sortie à une grossesse non voulue et non planifiée, ils le proposent donc comme la solution « naturelle » pour la femme prise dans l’embarras d’une grossesse qu’elle n’a pas pu empêcher — après tout, cet événement n’était-il pas non voulu ? C’est que l’on voit que l’avortement découle de la mentalité contraceptive. C’est pourquoi, les pro-avortement seront-ils enclins à décourager les femmes a garder leur enfant en leur proposant l’avortement comme la seule solution raisonnable.

Le Salon Beige rapporte le témoignage d’une femme qui regrette d’avoir avorté son bébé face aux pressions qu’exerçaient sur elle son conjoint, son entourage et l’avortoir. Elle témoigne pour aider les femmes qui ont avorté et pour la mémoire de son enfant à naître :

C’est pour moi un cri d’urgence, pas seulement pour moi parce que mon corps et mon âme le réclament mais aussi pour toutes ces femmes qui pleurent en silence, celles que j’aide et qui sont inconsolables, celles qui ont voulu mourir avec l’enfant qu’au fond d’elles elles voulaient garder. Témoigner était aussi une mission de survie, pour la mémoire de cette enfant à qui j’ai enlevé la vie, pour lui donner une voix, une existence.

Ce n’est qu’à travers la conversion qu’elle a pu retrouver l’espoir :

Sitôt les « cachets » qui ne soignent pas avalés j’ai regretté, j’ai senti comme un vide. Comme si mon âme partait dans mes talons, comme si toute ma lumière venait de s’éteindre. J’ai commencé à faire des cauchemars, j’ai fait une tentative de suicide, je ne suis plus retournée en cours. Si je n’avais pas rencontré Dieu dans une démarche de conversion, je serais morte avec cet enfant. Tout embryon, toute cellule au commencement de la vie est une personne. J’en ai pris conscience ensuite.

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