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Une adolescente enceinte et immigrante illégale aurait été forcée d’accepter des avocats proavortement, mais elle ne veut pas avorter

Par Mallory Quigley (LifeNews) — traduit par Campagne Québec-Vie

Aujourd’hui [16 février 2018], il a été rapporté que « Jane Doe », une adolescente immigrante qui se trouve en détention fédérale, ne veut pas d’avortement et dit qu’elle a été forcée de signer un formulaire demandant sa représentation par des avocats proavortement.

Un dépôt judiciaire détaille comment Doe a écrit et signé deux déclarations attestant qu'elle a été contrainte à demander d’être représentée par Rochelle Garza et Myles Garza, qui ont représenté d’autres adolescentes immigrées dans des cas récents d’avortement. Le bref indique également que Doe ne désire pas avorter.

Le groupe pro-vie national Susan B. Anthony List (SBA List) a publié la déclaration suivante en réaction :

« Les partisans de l’avortement profitent de manière éhontée des adolescentes qui sont dans la position vulnérable d’être dans un pays étranger, loin de chez elles et de leurs proches, pour faire avancer un programme dangereux qui consiste à faire des États-Unis une nation-sanctuaire de l’avortement » affirme la présidente de SBA List, Marjorie Dannenfelser. « Maintenant, une adolescente a riposté, choisissant courageusement la vie et refusant d’être manipulée comme pion politique. Le HHS devrait continuer à défendre fermement les intérêts supérieurs des jeunes mères et des enfants à naître sous leur protection et de les protéger contre de telles pressions. On ne peut pas faire confiance aux avocats proavortement pour le faire. »

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Chuck Donovan, président de l’organe de recherche de SBA List, le Charlotte Lozier Institute, a noté la similitude entre ce cas et ceux de feu Norma McCorvey et de Sandra Cano, les plaignantes de Roe contre Wade et Doe contre Bolton, qui sont devenues de fervents défenseurs de la vie pour renverser ces décisions, racontant comment elles ont été exploitées par des avocats zélés qui agissaient afin de créer un précédent :

« Pendant des mois, l’American Civil Liberties Union (ACLU) (Union américaine pour les libertés civiles) et d’autres ont poursuivi l’Office of Refugee Resettlement (Office de relocalisation des réfugiés) dans le but de créer une nouvelle politique étrangère qui faciliterait l’avortement pour les réfugiés — dans ce cas, des filles mineures — qui atteignent nos côtes. Maintenant, il semble qu’ils sont allés plus loin, et que pour leur idéologie ils ont persuadé une adolescente immigrée de signer des documents légaux pour obtenir un avortement qu’en fait elle ne veut pas. Ironie du sort, car le régime de Roe contre Wade, sur lequel la gauche radicale a misé ses revendications absolues en matière d’avortement, repose sur des actions en justice intentées par deux femmes qui ont également été amenées à signer des documents, et qui n'ayant jamais eu d’avortement, ont plus tard défendu le droit à la vie. »



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