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Un travailleur de la santé décrit un manque de personnel « cauchemardesque » dû au licenciement de non-vaccinés

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mongkolchon/Adobe Stock

10 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Le licenciement de travailleurs de la santé non vaccinés dans la province canadienne de la Colombie-Britannique (C.-B.) a aggravé une crise de pénurie de personnel hospitalier déjà existante, et un travailleur l’a décrit comme un scénario de « cauchemar ».

Selon un article du The Epoch Times, un employé nommé Jay, qui travaille à l’hôpital Eagle Ridge de Port Moody, a déclaré que l’hôpital manquait déjà de personnel, même avant le COVID.

Jay a déclaré que le gouvernement et les médias ne cessent de dire que « les patients non vaccinés taxent le système », alors qu’en réalité, cela est dû à un manque de travailleurs.

« Je ne cesse de dire aux gens que c’est une crise de personnel », a déclaré Jay, selon The Epoch Times, ajoutant : « Ce qu’ils ne disent pas vraiment aux gens, c’est qu’il y a déjà une crise de personnel ».

« Et cela est exacerbé par le fait que les gens sont stressés et épuisés », a-t-il ajouté.

À Menno Place, un établissement de soins de longue durée à Abbotsford, la directrice générale Karen Biggs a déclaré que la nuit, ils en perdent le sommeil et que toute la situation de la dotation en personnel est un vrai « cauchemar ».

Mme Biggs a déclaré, comme l’a rapporté The Epoch Times, qu’elle a perdu un total de 19 employés occasionnels en raison des mandats de vaccin COVID. Elle a ajouté qu’il était difficile de trouver des travailleurs dans un bassin d’employés déjà restreint.

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Le gouvernement de la Colombie-Britannique a récemment dû reconnaître qu’il avait créé une pénurie de personnel médical après avoir mis en congé plus de 4 000 professionnels de la santé qui avaient choisi de ne pas recevoir le vaccin COVID.

Le ministre de la Santé, Adrian Dix, a annoncé à la fin du mois d’octobre que des milliers d’opérations avaient été reportées en raison de la mise en congé d’un si grand nombre de travailleurs en même temps.

Les travailleurs de la santé de la C.-B. qui n’ont pas divulgué leur état de vaccination ont jusqu’au 15 novembre pour recevoir une première dose, faute de quoi ils seront licenciés.

Anna Isaak a été congédiée de son emploi dans un foyer de soins de longue durée à Abbotsford, en Colombie-Britannique, pour avoir refusé les vaccins COVID.

Elle a déclaré qu’elle n’avait pas eu « la chance de dire au revoir aux résidents », dont certains étaient des patients COVID, auxquels elle dit avoir été « totalement exposée ».

« Je les aimais. J’étais une héroïne à l’époque. Maintenant, je suis une criminelle pestiférée », a déclaré Isaak, comme le rapporte The Epoch Times.

Selon le gouvernement de la Colombie-Britannique, il y a environ 126 000 travailleurs de la santé publique dans la province.

Le British Columbia Nurses Union (BCNU) [Syndicat des infirmières de C.-B.] avait déjà averti le gouvernement qu’il aurait une crise sur les bras s’il laissait partir autant de personnel à la fois.

En septembre, le BCNU a averti que les mandats de vaccin COVID du gouvernement pour les travailleurs de la santé « forceront les membres » à partir et exacerberont davantage les pénuries de personnel déjà existantes dans la province.

La province voisine de la Colombie-Britannique, l’Alberta, a exigé que tous ses travailleurs de la santé se fassent vacciner d’ici la fin du mois sous peine d’être licenciés.

Les deux plus grandes provinces du Canada n’ont toutefois pas exigé que tous les travailleurs de la santé soient vaccinés.

Le Québec a annoncé le 3 novembre qu’il ne rendrait plus obligatoire le vaccin COVID pour les travailleurs de la santé déjà employés par le système.

Le même jour que le Québec, le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, a renoncé à imposer le vaccin COVID aux travailleurs de la santé, invoquant des préoccupations liées à la pénurie de personnel.

Les injections de COVID-19 approuvées pour une utilisation d’urgence au Canada, y compris le vaccin Pfizer destiné aux personnes âgées de 12 ans et plus, sont toutes liées à des cellules provenant de bébés avortés.

Les quatre vaccins ont également été associés à des effets secondaires graves tels que des caillots sanguins, des éruptions cutanées, des fausses couches et même des crises cardiaques chez des hommes jeunes et en bonne santé.

Les essais des vaccins COVID n’ont jamais apporté la preuve qu’ils arrêtaient l’infection ou la transmission. Ils ne prétendent même pas réduire les hospitalisations, mais la mesure de leur « efficacité » réside dans la prévention des symptômes graves du COVID-19.



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