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Un professeur dit à sa classe que « les filles ne sont pas réelles, et les garçons ne sont pas réels »

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere

Le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF) a déposé une requête auprès du Tribunal des droits de l’homme d’Ontario, pour le compte d’une petite fille et de sa mère, à l’encontre de la Commission scolaire du district d’Ottawa-Carleton. Le professeur de la petite fille (nommée NB dans l’article du JCCF) avait, entre autres, dit à sa classe « les filles ne sont pas réelles, et les garçons ne sont pas réels », ce qui a fortement troublé la petite fille, selon le JCCF :

Cette affaire a beaucoup retenu l’attention des médias, notamment dans les chroniques de Barbara Kay (ici et ici) et de Jordan Peterson, professeur de psychologie à l’Université de Toronto.

Au début de l’année 2018, le NB était une élève de 6 ans dans une classe de première année confiée à l’enseignant « JB ». Celui-ci montra à la classe une vidéo YouTube intitulée « He, She, and They?!? — Gender : Queer Kid Stuff #2" (Lui, elle et eux ?!? — genre : enfant queer matériel n° 2). La vidéo contenait un certain nombre de déclarations sur l’identité de genre et affirmait que « certaines personnes ne sont pas des garçons ou des filles » et que ceux qui ne se sentent pas comme une « elle » ou un « il » pourrait ne pas avoir de genre. Afin de déterminer qui est une fille ou un garçon — ou aucun des deux, débitait la vidéo, tout ce que vous avez à faire est de demander à quelqu’un son pronom.

Lors d’une autre occasion, JB dessina une échelle des genres au tableau et demanda à chaque élève de déterminer où ils se situaient sur cette échelle. NB indiqua qu’elle se trouvait à l’extrémité la plus éloignée de l’échelle marquée « fille ». JB ensuite déclara à la classe : « les filles ne sont pas réelles, et les garçons ne sont pas réels ». C’était extrêmement perturbant pour NB.

NB rentra chez elle et raconta tout à ses parents, demandant à plusieurs reprises pourquoi son identité de fille n’était « pas réelle ». Elle confia qu’elle n’était pas sûre de vouloir être maman quand elle serait grande, et demanda si elle pouvait « aller chez le docteur » à ce sujet. NB exprima également le sentiment qu’elle « devait faire quelque chose » à propos du fait qu’elle était une fille. Ceci suivait une leçon de JB sur les concepts de l’échelle du genre et des changements de sexe.

Ni l’école ni JB n’ont obtenu le consentement des parents pour enseigner à cette jeune enfant que sa perception de soi en tant que fille était une fiction. La conduite de JB a miné le concept fondamental de l’identité de leur fille et a également contredit la réalité biologique, déclare la requête.

Malgré l’inquiétude exprimée par la famille, les responsables de l’école ont refusé de prendre des mesures pour corriger l’impact de ces leçons sur NB. En fin de compte, la famille a choisi de la transférer dans une autre école, ce qui a rendu NB heureuse de ne plus avoir d’enseignant qui disait que « les filles ne sont pas réelles ». Même après son déménagement dans la nouvelle école, NB a continué d’être bouleversée par son expérience dans la classe de JB et s’est débattue avec le concept que sa propre identité n’était pas quelque chose de réel. « Cette table est réelle, et cet éventail est réel, et même si l’éventail est en carton, il est toujours réel », disait-elle à sa mère, qui était suffisamment inquiète pour demander conseil à un psychologue sur la façon d’aider sa fille, selon la requête.

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