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Un prêtre canadien refuse dans son église le « système de marquage » des passeports vaccinaux


Le Père Stefano Penna.

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie

23 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Un prêtre catholique canadien a qualifié les passeports vaccinaux de « système de marquage » du gouvernement et a juré qu’un tel système ne sera « jamais » utilisé dans son église.

« Une chose que je sais, c’est que nous ne pouvons pas participer à la mise en œuvre par le gouvernement d’un système de marquage qui identifie les purs et les impurs, les lépreux et les non-lépreux, les vaccinés et les non-vaccinés, car cela reviendrait à céder aux pouvoirs de ce monde ce qui n’appartient qu’à Dieu », a déclaré le Père Stefano Penna, prêtre de la co-cathédrale catholique Saint-Paul à Saskatoon, en Saskatchewan, dans une homélie dimanche dernier.

« Ce passeport vaccinal permet de participer au culte de Dieu. Je ne demande pas aux gens quand ils viennent communier s’ils sont en état de grâce. Pourtant, frères et sœurs, en termes d’éternité, c’est beaucoup plus important que l’état de leur corps. Cela n’arrivera jamais dans cette église, jamais. »

L’homélie du Père Penna a été publiée sur le site internet The Countdown to the Kingdom, mais à ce jour, elle n’a pas encore été publiée sur sa chaîne YouTube ni sur le site de la co-cathédrale catholique Saint-Paul.

Dans son sermon, le Père Penna a laissé entendre que son message pourrait être « annulé » tout en remettant en question le récent mandat d’un archevêque canadien qui a interdit aux personnes n’ayant pas reçu le vaccin COVID d’assister à la messe.

« J’entends dire [par] certains, pour des raisons quelconques, [que] je ne peux pas juger les dirigeants de l’église [qui] ont acquiescé à ce passeport vaccinal et que cela ne sera jamais diffusé parce que ce sera annulé », a déclaré le Père Penna.

Il n’y a pas de « place au gouvernement pour l’amour »

Le Père Penna est bien connu dans l’Ouest canadien pour avoir prêché avec une ferme conviction pour défendre les enfants à naître. Dans le passé, il n’a pas hésité à dire les vérités morales traditionnelles enseignées par l’Église catholique ainsi que celles du Catéchisme de l’Église catholique.

Dans son sermon de dimanche, le Père Penna a déclaré qu’il n’y a pas de « place dans le gouvernement pour l’amour » et a dénoncé l’hypocrisie des mandats de vaccination du gouvernement alors que la société assassine les « non-nés ».

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« Nous assassinons donc les non-nés, les vulnérables, tout un pan de l’humanité. Des gens qui ont la trisomie 21, tués, assassinés. Je vais faire confiance à cette structure pour m’apprendre à prendre soin des autres ? Ils ont pris les choses que l’Église a données au monde, les hôpitaux, les écoles et les institutions de soins sociaux, et ils les ont adoptées magnifiquement, mais sans amour, parce qu’il n’y a pas de place dans le gouvernement pour l’amour », a déclaré le P. Penna.

« Et que nous enseigne saint Paul, si vous avez toutes les bonnes actions du monde et le pouvoir et le meilleur filet de sécurité sociale mais que vous êtes sans amour, vous êtes un gong vide. J’écoute les gongs, sœurs et frères. Pourquoi participer à cette discussion ? Le son du gong pour l’application de la loi, le son du gong pour continuer à diviser avec le pouvoir, avec toutes sortes d’étiquettes. Nous sommes confrontés à quelque chose qui, je pense, est tout à fait sans précédent, la contrainte de prendre un vaccin étant imposée à un peuple. »

Vendredi dernier, Mgr Valery Vienneau, archevêque de Moncton, au Nouveau-Brunswick, a déclaré que toutes les personnes de plus de 12 ans qui participent à des rassemblements religieux dans une église « doivent être doublement vaccinées » contre le COVID-19.

Mgr Vienneau a déclaré qu’il suivait les ordres du gouvernement, de la ministre de la Santé du Nouveau-Brunswick, Dorothy Shephard, qui a demandé que tous les membres des églises soient « entièrement vaccinés ».  

Récemment, le Père Mark Goring, prêtre de la région d’Ottawa, a déclaré que les membres du clergé ont reçu le commandement de faire le travail du Seigneur et non pas « mettre de côté le commandement divin pour les dictats du gouvernement ».

La crise du COVID-19 a entraîné la fermeture de nombreuses églises canadiennes pendant des mois. Après avoir été autorisées à rester ouvertes pendant une courte période, de nombreuses provinces canadiennes ont à nouveau imposé des restrictions aux lieux de culte.

Les injections de vaccin COVID-19 approuvées pour une utilisation d’urgence au Canada, y compris le vaccin Pfizer pour les 12 ans et plus, ont toutes un lien avec des cellules provenant de bébés avortés.

Les quatre vaccins ont également été associés à des effets secondaires graves possibles, tels que des caillots sanguins, des éruptions cutanées, des fausses couches et même des crises cardiaques chez des hommes jeunes et en bonne santé.

La liste des effets indésirables reconnus par la FDA s’est allongée, passant de réactions anaphylactiques graves à des événements thrombotiques mortels, à la myocardite, une maladie cardiaque inflammatoire, et à des maladies neurologiques invalidantes comme le syndrome de Guillain Barré. Entre-temps, le CDC a signalé un taux de survie à l’infection par le COVID-19 supérieur à 99,95 % chez les personnes de moins de 50 ans.  

Bien que le Vatican lui-même ait autorisé les catholiques à faire usage des vaccins, de nombreux catholiques, y compris des membres du clergé de haut rang, se sentent obligés [en conscience], comme ils en ont le droit, de ne pas accepter les injections de COVID en raison de la façon dont les vaccins ont été fabriqués et de leur nature expérimentale.



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