Par Angeline Tan — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
20 mai 2025 (LifeSiteNews) — Le cinéaste canadien Dean Rainey braque les projecteurs sur les vaccins expérimentaux COVID-19 avec un nouveau documentaire de 80 minutes détaillant le cas d'un homme canadien qui a souffert de séquelles invalidantes après avoir reçu les vaccins.
Intitulé « Why Can't We Talk About This » (Pourquoi ne pouvons-nous pas en parler ?), le documentaire explore l'histoire de Michael Oesch, un homme autrefois actif et en bonne santé dont la santé a dégénéré après avoir reçu sa quatrième injection du vaccin COVID à ARN messager en octobre 2022. Environ 36 heures après avoir été vacciné, Michael Oesch a éprouvé des difficultés à marcher et, peu de temps après, a commencé à souffrir de paralysie.
Après avoir passé une IRM, Oesch a appris qu'il souffrait de graves lésions de la colonne vertébrale, comme l'a rapporté le journal local Norfolk Today. Bien que tout cela se soit produit peu de temps après sa quatrième dose de vaccin COVID, les médecins n'ont pas donné à M. Oesch un diagnostic clair et ont qualifié son état d'« idiopathique », c'est-à-dire de cause inconnue.
Convaincu qu'il souffrait d'une lésion vaccinale liée à la protéine « spike », Oesch a dû faire face à un nouvel obstacle lorsque sa demande auprès du programme fédéral canadien de soutien aux victimes de vaccins a été retardée. Le documentaire de Rainey explique comment Oesch s'est battu pour obtenir un traitement, un soutien et une reconnaissance officielle de ses blessures dans un monde hostile à tout ce qui est négatif à propos des vaccins.
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Dans des propos cités par Norfolk Today, Oesch a déclaré que personne n'était prêt à admettre qu'il souffre d'une blessure causée par un vaccin.
« Personne ne le dira officiellement. Et sans cela, je suis laissé pour compte », a déploré Oesch, qui, au moment où nous écrivons ces lignes, réside dans un établissement de soins de longue durée à Dundas, en l'Ontario.
Norfolk Today précise que le film de Rainey a rencontré une certaine opposition, puisque « certains cinémas ont refusé de projeter le film — et n'ont même pas permis à Rainey de louer leurs installations ».
Dans des commentaires cités par le journal Simcoe Reformer, le cinéaste Rainey a déclaré :
Je me suis intéressé à l'histoire de Michael lorsque j'ai commencé à remarquer des messages sur les médias sociaux qui m'ont fait penser qu'il n'allait pas bien. Quatre ou cinq mois plus tard, il m'a contacté pour me raconter comment, 36 heures après avoir reçu une injection de rappel, il a commencé à être paralysé.
Dans une réponse écrite à LifeSiteNews, Rainey a expliqué pourquoi il avait décidé de réaliser le film malgré les oppositions et le financement limité dont il disposait :
Lorsque nous avons commencé à filmer l'histoire de mon ami Michael, nous ne savions pas ce que nous obtiendrions ou si nous obtiendrions quoi que ce soit. Je savais qu'il y aurait beaucoup d'opposition à ce projet et cela m'a beaucoup pesé. Qui veut faire quelque chose que personne ne verra jamais ? Mais en continuant à filmer, nous avons découvert de nouvelles informations, et on nous a présenté des médecins et des scientifiques qui ont accepté de nous parler. J'ai découvert de la fumée... alors j'ai cherché le feu. Avant même de nous en rendre compte, nous avions rassemblé suffisamment de matériel et d'informations pour réaliser un long métrage documentaire. Nous l'avons vraiment fait avec seulement les ressources dont nous disposions, en peaufinant l'histoire et en creusant la science au fil du temps, pour être sûrs de bien comprendre les choses. Je suis un réalisateur assez têtu, alors si vous essayez de me faire taire, j'ai tendance à redoubler d'efforts pour me faire entendre.
Lorsque LifeSiteNews a demandé à Rainey de décrire les réactions du public à son film, le cinéaste a répondu :
La réaction du public a été extraordinaire. Lors des projections, c'est comme si une digue s'était rompue et que les gens se sentaient enfin libres de dire tout haut ce qu'ils pensent. Il n'y a généralement pas un œil de sec dans la salle.
Bien que je continue à faire face à une certaine opposition et même à une annulation de la part de certains amis et collègues, je reçois beaucoup de soutien et d'encouragements de la part de parfaits inconnus. Beaucoup me remercient d'avoir attiré l'attention sur ce problème. Pour chaque commentaire négatif, je reçois cinq commentaires positifs. Beaucoup de gens sont également surpris que le film ne soit pas fou, conspirationniste ou farfelu. La plupart disent que c'est un documentaire bien pensé et équilibré. En fait, il est assez simple. Cela nous aide à atteindre les modérés et ceux qui ne savent pas ou ne comprennent pas les dommages que peuvent causer ces « vaccins » à ARNm.
Je vois que la dynamique évolue dans notre direction, car de plus en plus de personnes se sentent libres de parler de leurs expériences ou de celles de personnes qu'elles connaissent. Partout dans le monde, des personnes sont négativement affectées par ces vaccins à ARNm et Michael n'est qu'un exemple parmi d'autres. Il s'agit d'un problème mondial.
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