Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
16 février 2023 (LifeSiteNews) — Un médecin kényan révèle plus d’informations sur une campagne de vaccination contre le tétanos de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dont il dit, avec d’autres, qu’elle faisait partie d’une campagne de stérilisation massive des jeunes femmes pour contrôler la croissance démographique [dans son pays].
Le Dr Wahome Ngare, obstétricien et gynécologue basé à Nairobi, a eu l’amabilité de discuter de cette question dans l’épisode d’aujourd’hui du John-Henry Westen Show. Il a accusé l’OMS et même l’UNICEF (Fonds des Nations unies pour l’enfance) de stériliser intentionnellement les jeunes femmes kényanes sous prétexte d’éradiquer le tétanos, et a également accusé ses collègues de tenter de discréditer ses recherches sur la question.
Selon lui, les investigations menées par un comité d’experts sur les flacons de [vaccin contre le] tétanos ont montré qu’ils contenaient de la βhCG (bêta HCG, c’est-à-dire de la gonadotrophine chorionique humaine bêta), une hormone qui imite l’hormone HCG naturelle qui indique aux femmes qu’elles sont enceintes.
« Or, ce vaccin particulier que [l’OMS] avait produit combinait le vaccin contre le tétanos et la βhCG. Et ce qui se passait, c’est que si une femme se faisait injecter ce vaccin, elle produisait des anticorps antitétaniques », explique le Dr Ngare. « Mais, malheureusement, elle produisait aussi des anticorps anti-HCG. Et par la suite, chaque fois qu’elle concevrait, les anticorps feraient muter l’HCG de son sang à un point tel [que son organisme] ne saurait jamais qu’elle est enceinte. »
On estime que 2,3 millions de filles et de femmes kényanes en âge de procréer ont reçu les vaccins contre le tétanos, réalisés dans le cadre d’un effort conjoint entre l’Organisation mondiale de la santé et le gouvernement kényan entre 2013 et 2015.
×
Campagne de financement -- Carême 2025
$ 15,305 recueillis
-- Objectif: 15 000 $. -- Il reste 2 jours -- Merci de votre générosité !
|
|
|
Le Dr Ngare, porte-parole de l’Association kényane des médecins catholiques, a déclaré que l’OMS a mis fin à la campagne de vaccination après qu’elle ait constaté qu’elle parvenait à réduire considérablement la mortalité due au tétanos. Mais il reste méfiant quant au véritable objectif de la campagne.
« L’UNICEF a été impliqué parce que ce sont eux, je pense, qui paient certains de ces médicaments. Bill Gates... [est] toujours impliqué dans ces vaccins », a-t-il déclaré. « C’est une de ces choses que les gens doivent comprendre. Il y a des éléments dans chacune de ces organisations internationales qui ont un agenda très clair. Pourquoi quelqu’un penserait-il qu’il a le droit de déterminer quelles femmes devraient accoucher et lesquelles ne le devraient pas ? C’est une expérience terrible, mais je pense que c’est quelque chose qui mérite d’être partagé. »
Les programmes de vaccination contre le tétanos ont également suscité des inquiétudes dans d’autres pays. En 1995, par exemple, la Catholic Women’s League of the Philippines a réussi à convaincre un tribunal de mettre fin au programme de l’UNICEF contre le tétanos en raison de la présence d’hCG dans les vaccins.
En outre, le Dr Ngare a déclaré que nombre de ses collègues ont même tenté de discréditer ses recherches sur les vaccins antitétaniques et la campagne [qui s’en est suivie], en faisant valoir qu’ils ont une très haute opinion de l’Organisation mondiale de la santé et croient qu’elle ne peut pas faire de mal.
« C’est ce qui est douloureux dans toute cette affaire », a-t-il déclaré.
|