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Un journaliste de la presse grand public dénonce les cours d’éducation sexuelle canadiens qui banalisent auprès des enfants le sadomasoschisme

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sebra/Aobe Stock

26 juillet 2023 (LifeSiteNews) — Au cours des dix dernières années, les médias grand public se sont attachés à discréditer ceux qui s’opposent à l’éducation sexuelle de plus en plus radicale et obscène qui est devenue la norme dans les écoles publiques canadiennes. Avec la résurgence des manifestations à travers le pays en juin (et d’autres prévues en septembre), nous sommes peut-être enfin arrivés à un point de rupture. Le 23 juillet, par exemple, Adam Zivo du National Post a publié une série de photos de documents d’éducation sexuelle distribués dans une école publique de Nanaimo, en Colombie-Britannique. La discrétion du lecteur est fortement conseillée, même pour la description de Zivo — mais gardez à l’esprit que ce matériel est distribué à des enfants :

« Un membre inquiet de la communauté m’a envoyé des photos d’une brochure d’éducation sexuelle distribuée dans les écoles secondaires de Nanaimo. Cette brochure banalise la consommation de drogues dures pendant les rapports sexuels et aborde les thèmes du sadomasochisme, de la scatologie, du “fisting” et du “piss play”. Cette brochure est distribuée à des enfants de 14 ans. Le membre de la communauté a affirmé que plusieurs élèves se sont plaints du contenu de la brochure — et il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. »

Zivo a fait remarquer : « Les jeunes ne devraient pas apprendre qu’il est acceptable de consommer des drogues dures tout en ayant des relations sexuelles. Et bien que les gens aient le droit d’avoir leurs fétiches, et qu’ils doivent savoir comment y participer en toute sécurité, ce genre de matériel est manifestement inapproprié pour les jeunes adolescents ». Il est évident que je soutiendrais une barre nettement plus élevée que Zivo, mais le fait que l’éducation sexuelle soit désormais si manifestement inappropriée (et je dirais même objectivement nuisible et immorale) que les journalistes des grands médias la jugent digne d’être commentée constitue sans aucun doute une évolution.

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C’est peut-être parce qu’il devient de plus en plus impossible pour ceux qui souhaitent faire taire cette discussion de paraître crédibles. Le premier ministre Justin Trudeau peut bien prétendre que les photographies des documents d’éducation sexuelle des écoles publiques sont de la « désinformation américaine » ou que des activistes « anti-LGBT » tentent de semer la peur chez les parents, mais c’est manifestement ridicule. Il ne s’agit pas d’éducation sexuelle américaine, mais canadienne, et quelqu’un d’aussi sexuellement progressiste que Trudeau devrait l’admettre et la défendre. Le fait qu’il — et tous les autres progressistes interrogés à ce sujet — cherche désespérément à éviter de défendre les spécificités de ce matériel est très révélateur.

Des documents similaires ont été distribués « par erreur » à Creston, en Colombie-Britannique, en 2019 ; il y a eu beaucoup d’autres histoires récemment. La presse s’est empressée de souligner que ces documents n’étaient pas destinés au public d’enfants qui y a finalement été exposé — révélant une fois de plus le fait qu’elle sait que ces documents sont inappropriés. La couverture médiatique visait à calmer les parents : ne vous inquiétez pas. Ce n’était qu’une erreur. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Les dommages collatéraux causés par des centaines d’enfants corrompus par des documents sexuels graphiques et pratiques ne sont apparemment pas très graves. Le fait que si peu d’indignation soit exprimée lorsque des enfants voient ce genre de choses montre à quel point la plupart des journalistes trouvent ce problème sans importance.

Depuis des années, comme je l’ai noté, les médias dissimulent l’éducation sexuelle dégoûtante qui imprègne désormais le système scolaire public du Canada. Peut-être que les protestations des parents les obligeront à couvrir les détails de ce qui est enseigné, et à laisser ceux qui lisent leur couverture décider si les parents sont haineux ou victimes de « désinformation » pour avoir exprimé leurs inquiétudes — ou simplement des Canadiens pleins de bon sens qui ne veulent pas que l’État apprenne à leurs enfants comment copuler. Comme le note Garnett Genuis, membre du Parlement d’Edmonton, à propos de la couverture de Zivo : « Il n’est pas étonnant que certains parents s’inquiètent de ce qui se passe ». Le Parti conservateur fuit généralement toute discussion sur les droits parentaux ou les questions « sociales ». Peut-être que cela aussi pourrait enfin changer.



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