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Un jeune homme de 17 ans est décédé après avoir reçu un vaccin covid, mais un juge de l’Ontario rejette la poursuite intentée par sa famille


Dan Hartman.

Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dan Hartman/Twitter

26 mars 2025, Toronto (LifeSiteNews) — Un juge de l’Ontario a rejeté une plainte en responsabilité de la famille d’un élève du secondaire décédé quelques semaines après avoir reçu le vaccin COVID.

Selon un article publié le 26 mars par Blacklock’s Reporter, la juge Sandra Antoniani de la Cour supérieure de l’Ontario a statué que le ministère de la Santé n’avait pas de « devoir de diligence » envers un adolescent canadien qui est décédé après avoir reçu le vaccin COVID.

« La tragédie du plaignant est réelle, mais il n’y a pas d’obligation de diligence en droit privé », a déclaré Mme Antoniani.

« Il n’existe pas d’obligation de diligence en droit privé à l’égard des membres individuels du public lésés par les décisions politiques fondamentales du gouvernement dans la gestion des urgences sanitaires qui touchent l’ensemble de la population », a-t-elle poursuivi.

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En septembre 2021, Sean Hartman, 17 ans, de Beeton (Ontario), est décédé trois semaines seulement après avoir reçu une injection de COVID de Pfizer-BioNtech.

Après son décès, sa famille a demandé si les autorités sanitaires avaient averti les Canadiens « qu’un effet secondaire possible du vaccin Covid-19 était la mort ». La famille a porté cette requête devant les tribunaux, mais s’est vu refuser une audience.

Antoniani a affirmé que « les actions des défendeurs visaient à atténuer l’impact sanitaire d’une pandémie mondiale sur le public canadien. Les défendeurs ont estimé qu’une action urgente était nécessaire ».

« L’imposition d’une obligation privée de diligence aurait un impact négatif sur la capacité des défendeurs à donner la priorité aux intérêts de l’ensemble du public, avec la distraction de la peur par rapport à la possibilité de préjudice pour les membres individuels du public, et le risque de litige et de responsabilité illimitée », a-t-elle statué.

Comme LifeSiteNews l’a précédemment rapporté, Dan Hartman, le père de Sean, a intenté un procès de 35,6 millions de dollars contre Pfizer après la mort de son fils.

La famille Hartman n’est pas la seule à chercher à obtenir justice après avoir été lésée par le vaccin COVID. Le Programme de soutien aux victimes d’une vaccination (PSVV) a été lancé en décembre 2020, après que le gouvernement canadien ait exonéré les fabricants de vaccins de toute responsabilité concernant les blessures liées au vaccin COVID-19.

Toutefois, seules 103 demandes sur 1 859 ont été approuvées à ce jour, « lorsque le comité d’examen médical a déterminé qu’il existe un lien probable entre la blessure et le vaccin, et que la blessure est grave et permanente ».

À ce jour, le PSVV a versé plus de 6 millions de dollars aux personnes lésées par les injections de COVID, et quelque 2 000 demandes doivent encore être réglées.

Selon des études, les troubles cardiaques post-vaccinaux tels que la myocardite sont bien documentés chez les personnes, en particulier les jeunes hommes, qui ont reçu la piqûre de Pfizer.

En outre, une étude récente réalisée par des chercheurs de la société canadienne Correlation Research in the Public Interest a montré que 17 pays ont trouvé un « lien de causalité certain » entre les pics de mortalité toutes causes confondues et le déploiement rapide des vaccins COVID ainsi que des rappels.



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