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Un hôpital universitaire rabroué pour avoir forcé une infirmière à participer à un avortement

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

Remarquez que ces « gentils » pro-choix ne laissent évidemment pas le choix à une infirmière de refuser de participer à un avortement, violant ainsi leur « principe » du « choix » ! L’administration Trump a donc réprimandé ladite université ; il pourrait aussi y avoir des conséquences financières. Extrait de LifeNews :

Aujourd’hui, le Bureau des droits civils du ministère de la Santé et des Services sociaux a répondu à une plainte déposée par les avocats pro-vie de l’American Center for Law and Justice [ACLJ] au nom d’une infirmière du Vermont qui a été forcé de participer à un avortement, ce qui va à l’encontre de ses convictions religieuses profondes, car elle est contre le meurtre des enfants à naître.

Dans la plainte, l’ACLJ affirme que sa cliente, une infirmière de salle d’opération de l’University of Vermont Medical Center (UVMMC) à Burlington, a été contrainte de participer à un avortement en 2017 même si son nom figurait sur une liste d’infirmières qui pour des raisons religieuses ou morales s’opposaient en conscience à l’avortement, et même si des infirmières qui ne s’objectaient pas à l’opération étaient facilement disponibles et auraient pu la remplacer.

« Voici plus de deux décennies que l’ACLJ défend les droits de conscience des travailleurs de la santé pro-vie, cette affaire est de loin la plus scandaleuse que nous ayons jamais vue. Les croyances les plus fondamentales de notre client au sujet du caractère sacré de la vie ont tout simplement été mises de côté », a déclaré Jay Sekulow, avocat principal de l’ACLJ.

« Pire encore, ses supérieurs l’ont délibérément dupée en lui faisant croire qu’elle participait à une intervention à la suite d’une fausse couche. Mais une fois piégée dans la salle d’opération, elle a découvert qu’il s’agissait en fait d’un avortement électif et que ses supérieurs le savaient depuis le début, ils ont alors refusé sans ménagement de la relever de ses fonctions. Dire qu’elle a été émotionnellement traumatisée par cet événement est un doux euphémisme », a-t-il poursuivi.

D’autres infirmières ont également été forcées de participer à la mise à mort de bébés lors d’avortements.

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