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Un hôpital de l’État de New York ferme sa maternité car un grand nombre d’infirmières refuse de se faire vacciner au covid

Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rh2010/AdobeStock

A-t-on jamais vu quelque chose de plus stupide que de fermer une maternité parce qu’un grand nombre d’infirmières refuse de se faire injecter un vaccin covid ? En tout cas, c’est ainsi que le gouvernement new-yorkais prétend prendre soin de la santé de ses administrés, en retirant des services de santé… — A. H.

Lowville, New York, 13 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Des infirmières refusant de se soumettre au vaccin expérimental COVID-19 ont conduit un hôpital du nord de l’État de New York à fermer son service de maternité à partir du 25 septembre.

« Nous ne sommes pas en mesure d’assurer la sécurité du service [de soins de maternité] après le 24 septembre », a déclaré le Directeur général du système de santé du comté de Lewis, Gerald Cayer, lors d’une conférence de presse vendredi. « Si nous pouvons mettre le service en pause et nous concentrer maintenant sur le recrutement d’infirmières vaccinées, nous pourrons à nouveau mettre au monde des bébés ici, dans le comté de Lewis. »

L’État de New York a exigé que tous les travailleurs de la santé reçoivent au moins une injection du vaccin contre le COVID-19 d’ici le 27 septembre. Sinon, ils ne pourront plus travailler.

Selon M. Cayer, 165 des 464 employés de l’hôpital n’ont pas été vaccinés, et 30 ont officiellement démissionné en raison de l’obligation vaccinale.

Le service de maternité à lui seul a connu six démissions. Sept autres infirmières du service restent « indécises » quant à leur volonté de se conformer à l’ordre de l’État.

Le Lewis County Health System n’a pas répondu à la demande de commentaires de LifeSite sur les raisons pour lesquelles un grand nombre d’employés ont décidé de ne pas se faire vacciner.

De nombreux scientifiques ont trouvé des preuves que les injections de COVID-19 ont un impact négatif sur la santé des femmes en âge de procréer et sur la santé des nouveau-nés.

Le Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) du gouvernement a montré qu’en juillet, un nourrisson de 6 semaines est mort de caillots sanguins et d’une « inflammation sévère des artères » après que sa mère, qui l’allaitait, eût reçu le vaccin COVID-19 de Pfizer.

La mère avait reçu sa première dose le 4 juin et son bébé a commencé à avoir une forte fièvre peu après. L’hôpital, qui a tenté d’aider le bébé, n’a pas réussi à établir un diagnostic ni un plan de traitement adéquat, et le nourrisson est décédé le 17 juillet.

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Selon le rapport VAERS, la mère s’est demandé si « la protéine de pointe aurait pu passer dans le lait maternel et provoquer une réaction inflammatoire chez son enfant », étant donné que l’enfant de 6 semaines était en bonne santé avant l’injection.

Ces vaccins qui, de plus, sont contaminés par l’avortement et qui ont provoqué des caillots sanguins chez de nombreux patients, semblent être particulièrement nocifs pour les enfants, car ils provoquent des maladies cardiaques inflammatoires telles que la myocardite et la péricardite à un taux beaucoup plus élevé que chez les cohortes plus âgées.

Ces vaccins contiennent des nanoparticules (NP) dont il a été démontré qu’elles nuisent à la santé et au développement des organes.

Une étude de 2018 sur les effets de l’utilisation des NP lipidiques a révélé que leur utilisation entraînait une augmentation de la production de composants sanguins dans le foie, la rate et la moelle osseuse des rats, et une « hémorragie minime » dans le cœur des singes.

« En effet, des études ont montré que les NP sont susceptibles d’avoir des effets toxiques sur de nombreux organes, tels que le cerveau, le foie et les poumons, qui sont les organes cibles les plus étudiés », a déclaré le Dr Elizabeth Lee Vliet, médecin indépendant spécialisé dans les hormones de la reproduction et leur impact sur la santé générale. « Ce n’est que récemment que l’attention s’est portée sur la toxicité des nanomatériaux pour la reproduction. »

Une étude menée en 2015 sur des ratons a révélé que « l’exposition néonatale » à ces nanoparticules « pourrait affecter le développement et la fonction de l’axe hypothalamo-hypophyso-ovarien (HPO), et ainsi altérer les fonctions du système reproducteur chez les rats femelles adultes ». Ces résultats confirment les craintes de Mme Vliet selon lesquelles les organes reproducteurs, ainsi que d’autres organes, pourraient être endommagés par ces vaccins.

D’autres données montrent que 15 femmes enceintes vaccinées ont développé des niveaux d’anticorps contre leur propre placenta trois fois supérieurs à la normale, ce qui a été écarté et caché par l’industrie du vaccin et les institutions de santé publique, selon le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président du fabricant de vaccins Pfizer.

S’adressant aux femmes en âge de procréer, Yeadon a dit : « N’acceptez pas ces vaccins. »

Lors de la conférence de presse de vendredi, M. Cayer a déclaré qu’en plus de l’hôpital général du comté de Lewis, de nombreux autres établissements de la région sont également confrontés à des démissions massives et à des pénuries de personnel à la suite de l’obligation vaccinale du gouverneur Cuomo.

« Nous ne sommes pas seuls », a déclaré M. Cayer. « Des milliers de postes sont à pourvoir [dans le nord de l’État] et nous avons maintenant un défi à relever, vous savez, avec le mandat de vaccination ».

« Nous espérons qu’à mesure que nous nous rapprochons [de la date limite], le nombre de personnes vaccinées augmentera, que moins de personnes partiront et que peut-être, avec un peu de chance, certains de ceux qui ont démissionné reconsidéreront leur décision », a-t-il ajouté.

M. Cayer a déclaré que son équipe « travaille avec le ministère de la Santé pour s’assurer qu’il ne s’agit que d’une pause et non d’une fermeture permanente de la maternité », mais il a averti que « la maternité pourrait ne pas être le seul service touché si davantage de travailleurs du système de santé du comté de Lewis ne se font pas vacciner ».



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