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Un ex-policier britannique objet d’une enquête pour prétendu «discours haineux» dans ses critiques de l’idéologie du genre


Harry Miller.

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :

Harry Miller, ancien policier britannique, a fait l’objet d’une enquête de la police anglaise, se basant sur une plainte l’accusant de « discours haineux » envers les transgenres. Il n’avait fait que publier sur Twitter quelques critiques de l’idéologie du genre. Extrait de LifeSiteNews :

Un père de quatre enfants a intenté une action en justice contre l’association de la police anglaise et le corps de police local après avoir fait l’objet d’une enquête pour « discours haineux », car il avait publié des commentaires dans les médias sociaux remettant en cause le principe LGBT selon lequel un homme peut devenir une femme par le biais d’hormones et d’opérations.

Harry Miller, âgé de 54 ans, ancien policier de Lincoln, est le fondateur de « Fair Cop », une organisation qui se consacre à faire respecter la liberté d’expression par la police britannique. Il était aujourd’hui devant la Haute Cour de Westminster, le deuxième jour d’un contrôle judiciaire sur l’utilisation des « directives » d’influence transgenre, c’est-à-dire des lignes directrices rédigées par le College of Policing and Humberside Police.

Selon Lincolnshire Live, l’avocat de Miller, Ian Wise QC (Queen’s Counsel, pas Québec), a déclaré hier que son client était « profondément préoccupé » par les réformes proposées à la loi sur la reconnaissance du genre, et avait utilisé Twitter pour « engager un débat sur les questions transgenres ».

Me Wise a soutenu que la police de Humberside, s’appuyant sur les conseils du College of Policing, avait tenté de « dissuader » Miller d’exprimer son opinion sur le sujet à l’avenir. Ce qui est « contraire à son droit fondamental à la liberté d’expression », déclara Me Wise.

L’avocat ajouta que Miller « n’a jamais exprimé de haine envers la communauté transgenre, ni cherché à inciter les autres à la haine, il avait simplement remis en question (parfois de façon provocante et avec humour) la croyance que les femmes transgenres sont des femmes et devraient être traitées comme telles à toutes fins ».

Cependant, Jonathan Auburn, l’avocat du College of Policing, a fait valoir qu’il n’était pas déraisonnable qu’une personne transgenre lisant les messages [de Miller], les considère comme motivés par une hostilité ou un préjugé contre une personne transsexuelle.

Auburn a également soutenu que les directives concernant les incidents haineux sont légales et ne portent pas atteinte à la liberté d’expression de Miller.

Le juge Julian Knowles prend maintenant le temps de réfléchir à sa décision et espère rendre un jugement avant Noël.

Miller a été contacté par un « agent de cohésion communautaire » en janvier dernier après qu’une personne se soit plainte à la police de messages qu’il avait affichés ou partagés sur Twitter et qui étaient critiques de l’idéologie transgenre.

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