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Un État autrichien à majorité catholique ne trouve pas de médecins pour pratiquer l'avortement

Par Peter Martin — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : PRASERT/Adobe Stock

22 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Un état autrichien très catholique ne trouve pas de médecins pour pratiquer des avortements dans ses hôpitaux publics.

Le site catholique allemand Kath.net rapporte que le gouvernement du Tyrol a « échoué » dans sa tentative de trouver des médecins prêts à assassiner les enfants à naître cet État de l’ouest de l’Autriche, qui compte plus de 750 000 habitants. Plus de 60 % des habitants du Tyrol sont catholiques, selon une enquête réalisée en 2021.

« Deux médecins qui avaient été envisagés pour le poste ont retiré leur consentement », a rapporté Kath.net.

« Cela signifie que tous les enfants à naître dans les hôpitaux publics de l’État du Tyrol restent protégés contre les avortements », tant que ceux-ci ne sont pas « médicalement indiqués », poursuit le communiqué. L’avortement direct est toujours gravement immoral et n’est jamais nécessaire ni justifiable d’un point de vue éthique pour sauver la vie d’une mère.

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Kath.net note :

On ne peut que spéculer sur les raisons, mais les médecins voient ce qu’est réellement le soi-disant « tissu de grossesse » : un enfant mort ou mourant. Dans certains cas, ils doivent même tuer activement un enfant sain et viable en le déchirant par aspiration ou en lui administrant une injection létale dans le cœur. De nombreux médecins considèrent qu’il s’agit là d’une violation des principes fondamentaux de l’éthique médicale et du serment d’Hippocrate.

En Autriche, l’avortement est impuni au cours des trois premiers mois de la grossesse. Il est également autorisé en cas de « danger » pour la vie ou la santé physique ou mentale de la mère, ou en cas de risque de handicap pour l’enfant.

Le handicap d’un enfant ou les circonstances de sa conception n’annulent pas son droit fondamental à la vie et ne déterminent pas s’il mérite de ne pas être tué.

L’Église catholique condamne l’avortement comme un péché grave en toutes circonstances et affirme le droit inviolable à la vie de tout enfant dès sa conception.

« La vie humaine doit être respectée et protégée de manière absolue depuis le moment de la conception. Dès le premier instant de son existence, l’être humain doit se voir reconnaître les droits de la personne, parmi lesquels le droit inviolable de tout être innocent à la vie », enseigne le Catéchisme de l’Église catholique. (CEC 2270)

« Depuis le premier siècle, l’Église a affirmé la malice morale de tout avortement provoqué. Cet enseignement n’a pas changé. Il demeure “invariable”. » (CEC 2271)



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