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Un enseignant homosexuel s’en prend aux enfants : Vous serez « sévèrement punis » si vous rejetez l’idéologie LGBT

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Facebook

12 avril 2023 (LifeSiteNews) — Depuis des décennies, les progressistes nous informent agressivement qu’ils sont de fervents partisans de la « diversité » et du « multiculturalisme ». Ces mots ont pris une signification presque totémique, « la diversité est notre force » étant devenu un mantra pour les gauchistes canadiens. Je ne suis pas d’accord avec ces mots à la mode — la diversité est une description, pas une valeur — mais je me suis souvent surpris à souhaiter, au cours des dernières années, que ceux qui les brandissent y croient vraiment.

Ce que nous avons découvert au fur et à mesure que le mouvement LGBT s’imposait dans la culture, c’est que pour les progressistes, la « diversité » consiste à faire en sorte que les gens aient l’air différents, mais pensent de la même façon. Ainsi, les nations occidentales (principalement les pays de l’« anglosphère ») peuvent accueillir un nombre considérable d’immigrants en provenance des pays en développement, tant que les nombreux enfants de ces immigrants sont déversés dans l’entonnoir du système éducatif public et qu’ils en ressortent avec les mêmes valeurs que les enfants post-chrétiens. Au Canada, les communautés immigrées ont protesté contre l’éducation sexuelle radicale des écoles publiques ; au Royaume-Uni, ce sont surtout les musulmans qui luttent contre l’endoctrinement.

Quiconque souhaite avoir un aperçu nauséabond de ce que sont devenues les écoles publiques n’a qu’à suivre des journalistes comme Christopher Rufo ou Chaya Raichik (plus connue sous le nom de « Libs of TikTok »). Mais pour un microcosme parfait de la façon dont les éducateurs post-chrétiens se sentent autorisés à endoctriner leurs élèves, ce clip vidéo d’un enseignant lisant la loi sur l’émeute à ses élèves de sixième à Stationers' Crown Woods Academy, une école secondaire dans la région de Greenwich près de Londres, en Angleterre, résume vraiment l’attitude des éducateurs à l’égard de la diversité (de pensée).

« Permettez-moi d’être très clair », dit le professeur à ses élèves. « Vous n’avez pas le choix d’apprendre ou non ce que sont les LGBT+ dans cette école. Vous n’avez pas le choix. C’est l’une de nos valeurs, et si vous refusez de le faire, vous serez sévèrement sanctionnés. Pourquoi ne le ferais-je pas ? Pourquoi me soucierais-je que quelqu’un dans cette salle veuille aimer quelqu’un, qu’il s’agisse d’un homme ou d’une femme ? Pourquoi me soucierais-je si quelqu’un veut dire : “Vous savez quoi ? Je ne sais pas si je suis plus homme ou plus femme. Je suis en train d’explorer.” En quoi cela me concerne-t-il ? »

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C’est une bonne question, parce qu’elle est manifestement très, très importante pour cet homme. Il poursuit : « Cela ne vous fait pas de mal, mais les mots que vous utilisez font du mal à d’autres personnes. Vous ne comprenez pas que cela a un impact. » L’enseignant explique que lorsqu’il allait à l’école, il a été malmené par des filles et il ne l’a pas oublié. « Pourquoi quelqu’un choisirait-il de dire quelque chose qui blesserait une autre personne ? Permettez-moi d’être très clair : vous n’avez pas le choix d’apprendre ou non ce que sont les LGBT+ dans cette école. Vous n’avez pas le choix. C’est l’une de nos valeurs, une valeur britannique... et si vous dites quelque chose de désobligeant ou qui pourrait blesser quelqu’un d’autre dans cette salle, c’est très grave, et c’est aussi grave que si vous utilisiez un langage raciste. Ne le faites pas ».

« Telle est la valeur », conclut l’enseignant. « C’est l’approche que nous adoptons dans cette école. Et s’il y a des gens, assis dans cette classe, qui ne sont pas d’accord avec ce que je dis, vous devez rentrer chez vous et avoir une conversation avec vos parents. Dites-leur : “Pourquoi mes valeurs sont-elles si différentes de celles de la Grande-Bretagne ? Pourquoi ai-je ce point de vue ? D’où cela vient-il ?” La seule chose pour laquelle vous pouvez être retiré de [la classe] est l’éducation sexuelle, et ce par vos parents... Personne dans cette salle n’a fait cela. LGBTQ n’est pas une éducation sexuelle. Il s’agit de relations. Vous n’avez pas l’autorité ou la capacité de refuser de le faire. Je ne peux pas vous dire à quel point le fait que des gens ne reconnaissent pas qui je suis et disent ouvertement qu’ils n’apprécient pas qui je suis… parce que lorsque vous dites “je ne suis pas d’accord avec les personnes LGBTQ”, vous dites que vous ne m’appréciez pas ».

Il est clair, à ce stade, que l’enseignant oblige un public d’enfants pris en otage à affirmer sa propre identité : « J’ai beaucoup donné à ce monde », a-t-il déclaré. « J’ai adopté deux enfants ».

« Pourquoi devrais-je être jugé sur la base de la personne que j’ai choisi d’aimer ? Que vous soyez d’accord ou non, ne dites pas quelque chose qui me fera sentir moins humain, moi ou une autre personne comme moi... Quelqu’un a des questions ? » Comme on pouvait s’y attendre, il n’y en a pas eu.

La tirade de cet enseignant — dont le ton est presque agressif — résume bien ce à quoi ressemble l’enseignement public. Il n’y a pas de multiculturalisme ici — seulement une monoculture, arborant le drapeau du « Progrès », ou le drapeau de la « Fierté », ou le drapeau transgenre. Il n’y a pas de choix. Il n’y a pas de diversité. Il n’y a pas de dissidence. Et si vous venez d’une famille aux valeurs traditionnelles, cet enseignant homosexuel veut que vous rentriez chez vous pour réprimander [vos parents] et leur demander pourquoi vous êtes différent, puis que vous vous convertissiez à ses valeurs.



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