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Un drag-queen admet qu'il « endoctrine » les enfants lors des activités « Heure du conte »


Dylan Pontiff, déguisé en Santana Pilar Andrews.

Par James Risdon — traduit par Campagne Québec-Vie

Lafayette, Louisiane, 27 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Les drag-queens « endoctrinent » délibérément les prochaines générations lors des activités « Heure du conte » dans les bibliothèques publiques, a admis un drag-queen américain.

On peut voir dans une vidéo Dylan Pontiff, un drag-queen ayant participé à l’élaboration des activités « Heure du conte » au début d'octobre pour le compte de la bibliothèque de Lafayette (Lafayette Public Library), faire cet aveu-choc lors du conseil communale de Lafayette le 17 septembre.

« Ceci est l’endoctrinement des prochaines générations. Nous allons endoctriner les prochaines générations », a affirmé Pontiff, qui, lorsqu’il est en drag-queen, se fait appeler Santana Pilar Andrews.

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Pontiff a comparé ses spectacles drag-queen pour adultes à des films classés R [que les personnes de moins de 17 ne peuvent voir sans être accompagnées d'un adulte]. Il affirme qu’il devrait avoir accès aux enfants parce que, en tant qu’adulte, il est capable de se « filtrer » pour que son contenu convienne à des enfants.

« Je suis capable de divertir des adultes dans un club, mais je peux aussi divertir un groupe d’étudiants et de jeunes enfants. Je peux le faire parce que je suis un adulte capable de me filtrer. »

Pendant qu’il parlait, les citoyens de la communauté de Louisiane, consternés, secouaient la tête derrière lui.

« Malheureusement, le programme de l’heure du conte avec un drag-queen transforme les bibliothèques en plateformes pour faire avancer la révolution transgenre, endroits où les activistes prohomosexuels ont accès à des enfants, parfois à peine âgés de trois ans. », a déclaré John Ritchie, directeur de TFP Student Action, dans une interview.

« Plutôt que de protéger la précieuse innocence des enfants grâce à des histoires saines, les bibliothèques emploient nos taxes à la blesser », dit-il. « Tenter de démanteler et de détruire les distinctions entre hommes et femmes n’est pas seulement ridicule, mais c’est une attaque directe au plan de Dieu pour nous et pour la famille. Quiconque aime la famille devrait se réveiller, prier et réagir. »

En septembre, la rencontre publique du conseil municipal de Lafayette devait étudier une motion contre l’heure du conte drag-queen prévue pour le mois d’octobre, la jugeant inappropriée pour les enfants.

La motion, considérée par ses opposants comme « haineuse » et « discriminatoire » n’aurait en rien contraint la bibliothèque. Cependant, la motion ne put se rendre jusque-là puisqu’une majorité des conseillers refusa de voter, entrainant le rejet de la motion.

Selon Leslie Alexander, membre de la communauté, la bibliothèque n’aurait jamais dû approuver l’évènement sans d’abord avoir consulté le public.

« Le but [de l'événement] n’est pas d’être tolérant ou de lutter contre l’intimidation, a-t-elle affirmé au Lafayette Daily Advertiser, c’est un effort direct et intentionnel de semer le doute et la confusion chez de très jeunes enfants au sujet de leur sexe; enfants qui auraient plutôt besoin de guides solides et de compréhension. Leur intention est de déstabiliser les enfants pour qu’ils soient plus susceptibles de remettre en question leur sexualité ou leur genre en grandissant. »

Selon Ritchie, l’endoctrinement des enfants n’était qu’une question de temps depuis que le mariage a été légalement redéfini.

« Quand le ''mariage'' homosexuel a été légalisé en 2015, on nous disait de ne pas nous en faire, que cette décision ne nous affecterait jamais. Ils disaient : ''Le mariage n’est qu’un mot''. Ceux qui comprennent l’histoire savaient que la redéfinition du mariage par la Cour suprême des États-Unis n’entrainerait que d’horribles conséquences. »

« Ce qui était impensable hier est toléré aujourd’hui : des artistes drags transgenres sont autorisés à viser explicitement les enfants dans des édifices publics. », a-t-elle affirmé.

Plusieurs activistes LGBT ont souligné dans les dernières années que le mouvement vise à « endoctriner » les enfants, pour qu’ils perçoivent le mouvement LGBT comme normal.

« Je suis ici pour vous le dire : tout ce temps, j’ai dit que je n’endoctrinais pas les gens avec mes croyances au sujet des personnes lesbiennes et bis, trans, queers et gaies ? Eh bien, c’était un mensonge. »,a écrit l’activiste gai Sason Bear Bergman, une femme qui s’identifie comme homme transgenre, dans un article paru en 2015 intitulé : « Je suis venu endoctriner vos enfants par mon idéologie LGBT (et je ne m'en excuse même pas un petit peu) » [I Have Come to Indoctrinate Your Children Into My LGBTQ Agenda (And I'm Not a Bit Sorry)]. Bergman déclare sans retenue que tous les enfants devraient être « comme nous », même si ça va « à l’encontre de la façon dont vous interprétez les enseignements de votre religion. »

En 2011, l’activiste gai Daniel Villarreal a écrit un article pour Queerty.com déclarant que le moment était venu pour le lobby homosexuel d’admettre qu’il « endoctrine » les écoliers pour qu’ils acceptent l’homosexualité.

« Pourquoi mettre en l’avant des programmes contre l’intimidation ou inciter les cours d’études sociales à enseigner aux enfants les contributions historiques des queers connus si ce n’est pas pour pousser les enfants à accepter la sexualité queer comme normale ? »

« Nous voulons que les éducateurs enseignent aux futures générations à accepter la sexualité queer. En fait, notre avenir en dépend. Enrôler des enfants ? Bien sûr que oui », a-t-il ajouté.

Michael Swift, activiste homosexuel, a écrit en 1987 dans Gay Community News que les écoliers deviendraient des cibles explicites de l’endoctrinement homosexuel. « Nous les séduirons dans vos écoles… Ils deviendront à notre image. Ils viendront à nous, nous désirant et nous adorant. »



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