Un couple demande l’avortement d’un bébé issu d’une Fécondation in vitro parce que la mère porteuse aurait bu de l’alcool - Campagne Québec-Vie
M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×
×

Campagne de financement - Carême 2025

prière

$ 12,118 recueillis -- Objectif: 15 000 $. -- Il reste 5 jours -- Merci de votre générosité !

Georges BuscemiChers amis de la Vie,

Pour que nous ayons le nécessaire pour continuer à défendre la foi, la famille et la vie ! Donnez généreusement.

Georges_Signature-transparent.png
Georges Buscemi, Président

Donner à Campagne Québec-Vie

Un couple demande l’avortement d’un bébé issu d’une Fécondation in vitro parce que la mère porteuse aurait bu de l’alcool

Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Piqsels

31 octobre 2024 (LifeSiteNews) — L’avortement et l’euthanasie font quotidiennement la une des journaux ces derniers temps, et personne ne peut ignorer à quel point la culture de la mort a progressé à moins de vivre sous un rocher.

Malgré cela, il m’arrive encore d’être écœuré (mais pas choqué) par certaines histoires. Par exemple celle-ci, publiée par le Daily Mail le 24 octobre : « J’ai surpris notre mère porteuse en train de boire de l’alcool et je l’ai obligée à avorter ». Tout l’égoïsme de notre culture se retrouve dans cette seule et vilaine histoire.

Les premières phrases sont révélatrices : « Comme un nombre croissant d’Américains, Marty et Melinda Rangers ont eu du mal à fonder une famille en raison de leurs carrières bien remplies. Mais après avoir fait fortune dans l’immobilier et pris une retraite anticipée, le couple s’est installé dans les Caraïbes, où il s’est enfin senti prêt à mettre une nouvelle vie au monde ». Bien entendu, leurs « carrières bien remplies » ne les ont pas vraiment empêchés de fonder une famille. Ce sont leurs priorités qui l’ont fait.

Ils ont donc décidé d’« opter pour la maternité de substitution », c’est-à-dire de louer les services d’une femme pour la gestation d’un enfant après avoir engagé un médecin pour « créer » leurs enfants dans des boîtes de Petri. Selon le Mail, Marty et Melinda ont engagé une jeune femme auprès d’une agence de maternité de substitution en Californie, après des centaines d’heures de recherche. « À partir de là, les deux parties ont été soumises à un examen psychologique et la mère porteuse a passé un contrôle médical. L’embryon du couple a ensuite été transféré à la mère porteuse par une clinique de fécondation in vitro ».

L'article continue ci-dessous...

×

Campagne de financement -- Carême 2025

$ 12,118 recueillis -- Objectif: 15 000 $. -- Il reste 5 jours -- Merci de votre générosité !

Donner à Campagne Québec-Vie

Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !

Le processus a été coûteux. La mère porteuse a reçu 65 000 dollars, l’agence 30 000 dollars et le cabinet d’avocats qui a rédigé le long contrat 5 000 dollars. Et puis, le bébé a été tué.

Le contrat prévoyait l’interdiction de consommer de la drogue et de l’alcool, de quitter le pays pendant la durée de la grossesse et l’État pendant le troisième trimestre, et la mère porteuse devait obtenir une autorisation préalable avant d’avoir des relations sexuelles avec qui que ce soit. Trois mois et demi après le début de la grossesse, Melinda a découvert, en consultant les comptes de médias sociaux de la jeune femme qu’ils avaient louée, que celle-ci aurait supposément consommé de l’alcool. La femme leur a assuré qu’il ne s’agissait pas d’un verre d’alcool sur la photo, mais d’eau.

Mais selon Marty : « Après mûre réflexion, nous avons décidé que la meilleure chose à faire était d’avorter notre bébé à 20 semaines ». Ils ont exigé que la jeune femme se procure un avortement tardif pour « rupture de contrat », ce qu’elle a fait. « Heureusement, notre mère porteuse a été compréhensive et a respecté nos souhaits, et nous l’avons laissé là », a déclaré Marty, ce qui est vrai si « l’ » signifiait « notre enfant » et « là » « dans une poubelle en morceaux ». Quelle vie courte et tragique : créé dans une boîte de Petri, inséré dans l’utérus, puis violemment retiré de l’utérus par un avorteur.

Pour être clair : l’avortement à 20 semaines implique soit de déclencher le travail pour que le bébé meure parce qu’il ne peut pas survivre en dehors de l’utérus, soit de procéder à une dilatation et à une évacuation, une technique chirurgicale horrible qui consiste à écraser le crâne du bébé, à démembrer son corps et à le reconstituer sur un plateau comme un puzzle ensanglanté pour s’assurer que toutes les pièces ont été retirées avec succès de l’utérus.

Marty et Melinda ont cependant dépensé 300 000 dollars supplémentaires pour louer des mères porteuses et acheter un fils et une fille ; ils ont qualifié leur dernière expérience de maternité de substitution de « magique ».

Tout cela est ignoble. La maternité de substitution, comme le note même la Cour européenne des droits de l’homme, est une forme de traite des êtres humains (essayez de lire les détails de ce contrat sans avoir la chair de poule). Il s’agit, transposé dans la réalité, d’un scénario de type « Handmaid’s Tale » (La servante écarlate) qui permet aux riches de louer le corps de femmes à faibles revenus pour mettre au monde leurs enfants créés artificiellement, dont le lien avec leur mère biologique est rompu immédiatement après leur naissance.

Les « clauses d’avortement » dans les contrats de maternité de substitution sont courantes. En fait, le commentateur « conservateur » Dave Rubin et son partenaire homosexuel ont inséré une telle clause dans le contrat avec leur propre mère porteuse, exigeant qu’elle avorte l’enfant si un handicap grave était découvert. Ils n’achètent pas un enfant handicapé, voyez-vous. Ce n’est pas le produit qu’ils ont commandé. Et si vous ne recevez pas le produit que vous avez commandé, vous pouvez toujours le retourner à l’expéditeur.

Campagne de financement - Carême 2025

Merci de votre générosité. L'objectif est de 15 000$.

Ania

« Le site de CQV est un outil de référence et d’information sans précédent pour les défenseurs de la vie au Québec ! »

⁠—Ania

Donner à Campagne Québec-Vie


Laissez un commentaire