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Un condamné à mort meurt deux heures après l'injection létale, dans d'atroces souffrances

(Photo : World Coalition Against the Death Penalty sur flickr.com, licence creative commons)

L'ex ministre Hivon dirait ici que ce n'est pas possible que cela arrive avec l'injection létale québécoise parce qu'il s'agirait ici d'un geste identique mais appelé « aide médicale à mourir » contrairement au geste américain appelé « peine de mort » vocabulaire, comme chacun le sait, qui change tout dans la réalité. Sur le site du Journal de Montréal du 23 juillet 2014 :

L'injection avait commencé à 13H52 locales et le décès a été déclaré à 15H49, a indiqué à l'AFP une porte-parole du procureur général de l'Arizona Tom Horne.

Il a «haleté», «grogné», «suffoqué et cherché sa respiration pendant environ une heure et quarante minutes», a dénoncé son avocat Dale Baich, qui est même allé jusqu'à déposer une motion en urgence devant la Cour suprême pour qu'elle arrête l'exécution, alors que le prisonnier était encore en vie plus d'une heure après l'injection.

Cela pourra être cela, la « mort dans la dignité » de l'ex-ministre Hivon et du ministre Gaétan Barrette...

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