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Un bébé que l’on conseillait d’avorter à 20 semaines est né en bonne santé

Right to Life UK (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hollie Santos/Unsplash

Une maman, qui a refusé d’avorter après que l’on ait découvert que son fils souffrait d’une malformation cardiaque lors de l’examen de 20 semaines, a donné naissance à un bébé en bonne santé dont le problème cardiaque a complètement disparu cinq jours plus tard.

En 2019, Amber Casey, 23 ans, est devenue enceinte de son deuxième enfant. Lors de son échographie à 20 semaines, Amber a appris que le côté gauche du cœur de son bébé était plus petit que le côté droit et que son fils aurait besoin d’une opération à cœur ouvert à la naissance. On lui a dit que certains enfants atteints de cette malformation ne vivent pas plus de cinq ans et on lui a proposé d’avorter.

Amber a été envoyée de son hôpital de Hemel Hempstead à Londres pour une consultation à l’hôpital de médecine fœtale. L’équipe médicale a confirmé le diagnostic, ajoutant que son bébé risquait de souffrir d’une cardiopathie congénitale. Ils ont voulu tester son bébé pour détecter des anomalies chromosomiques. Et pour la deuxième fois, on proposé à Amber un avortement.

Au Royaume-Uni, l’avortement est légal jusqu’à la naissance si l’on diagnostique un handicap chez le bébé.

Amber raconte : « J’ai pleuré tout le week-end, me demandant “Pourquoi moi ? Pourquoi notre bébé ?” et en me demandant ce que j’avais fait de mal pour mériter cela. Je voulais que la douleur cesse. »

« Une infirmière de médecine fœtale a appelé et elle m’a vraiment soutenue. Elle a compris qu’en tant que mère, je ne savais pas comment me sentir et je ne savais pas s’il fallait interrompre la grossesse. »

« Elle nous a dit de jeter un coup d’œil aux associations caritatives et aux groupes Facebook ; j’ai été étonnée de recevoir le soutien de couples du monde entier. »

« Ils nous ont raconté leurs histoires et la vie avec un enfant atteint de cardiopathie congénitale après la naissance. »

Après avoir refusé un avortement, Amber a passé une autre échographie à 25 semaines. Son fils a été diagnostiqué avec une coarctation de l’aorte, l’artère principale gauche étant trop étroite pour laisser suffisamment de sang circuler vers ses autres organes. Amber a refusé de passer d’autres tests de diagnostic.

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« On nous a de nouveau demandé si nous voulions tester les anomalies chromosomiques, car l’intestin d’Orton était brillant, mais j’ai refusé car je ne voulais pas risquer de le mettre en danger. »

L’accouchement d’Amber a été induit à 37 semaines et son fils Orton est né le 10 janvier 2020, pesant 6 lb et 8 oz. Après avoir été traité pour une infection, Orton a fait l’objet d’un nouveau scanner cinq jours après sa naissance et le côté gauche de son cœur s’était « développé de manière aléatoire » pour atteindre la taille du droit et fonctionnait « parfaitement ».

Amber a dit : « Je ne pouvais pas le croire quand les médecins ont dit que le côté gauche de son cœur s’était agrandi de façon aléatoire. »

« Ils ont dit qu’il avait miraculeusement la même taille que le côté droit et qu’il fonctionnait parfaitement ! »

« Notre hôpital et notre médecin cardiologue néonatal n’ont pas pu nous expliquer pourquoi cela s’était produit et personne n’avait jamais vu cela auparavant — c’est un véritable miracle. »

« Je suis tellement reconnaissante d’avoir mon fils avec moi. Il est maintenant un enfant d’un an, heureux, pétillant, espiègle. »

Catherine Robinson, porte-parole de Right To Life UK, a déclaré : « Voici donc une autre histoire réconfortante, celle d’une femme courageuse qui a ignoré le conseil d’avorter son enfant. La proposition d’avortement faite par les médecins est une discrimination directe à l’encontre des bébés handicapés, ce qui ne devrait pas être autorisé. Dans ce cas-ci, il s’est avéré que le petit Orton pouvait se remettre de sa maladie, mais même si cela n’avait pas été le cas, cela ne justifierait pas de mettre fin à sa vie. »

« L’effroyable discrimination mortelle à l’encontre des bébés à naître handicapés est ici pleinement exposée. Alors que les médecins qui ont proposé un avortement à Amber devraient avoir honte de leurs décisions personnelles, d’une certaine manière, leur comportement n’était que le résultat naturel de la discrimination profondément ancrée dans nos lois qui autorisent l’avortement jusqu’à la naissance pour les bébés handicapés. »



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