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Un bébé né à 25 semaines à qui on ne donnait que 10 % de chances de survie, plus petit que la main de son père


Kevin Cook mettant sa main à côté de son bébé Mirren.

Par la Society for the Protection of Unborn Children ― Traduit par Campagne Québec-Vie

Après un combat de 16 semaines, un bébé, plus petit à sa naissance que la main de son père, à qui les médecins ne donnaient que 10 % de chance de survie, se porte bien et a quitté l’hôpital avec ses parents, Kevin et Katie Cook.

Le bébé prématuré, nommé Mirren, né à 25 semaines dans un hôpital en Écosse, ne pesait que 467 grammes.

Sa mère, Katie, souffrait de pré-éclampsie, un problème de grossesse potentiellement fatal, caractérisé par une pression artérielle élevée. Une césarienne d’urgence fut nécessaire parce qu’elle ne sentait plus le bébé bouger.

Après transfert de Mirren à l’unité des soins intensifs néonataux, ses parents durent attendre 10 jours avant de pouvoir la tenir dans leurs bras.

Katie décrit le moment où elle tint Mirren dans ses bras pour la première fois : « C’était un sentiment indescriptible, j’aurais pu me noyer dans les larmes de joie… j’ai attendu ce jour pendant longtemps. En un sens, c’était comme si elle ne m’avait pas réellement appartenue jusqu’à ce jour. »

Je me félicite d’avoir été me faire examiner, ça nous a réellement sauvées.

La césarienne fut effectuée juste à temps, soit le 10 mai dernier. Les médecins mentionnèrent à Kevin et à Katie que s’ils avaient attendu un autre 48 heures, Mirren n’eut peut-être pas survécu ; même à ce moment, on lui accordait seulement 10 % de chance de survie.

« Les prochains quatre mois ont été en dents de scie, se rappelle Katie, mais Mirren continuait à lutter.

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Elle a dû recevoir cinq transfusions sanguines et son séjour à l’hôpital a été plus tumultueux que celui de la plupart d’entre nous durant notre vie. »

« Câlins de kangourou »

Finalement, Katie put tenir Mirren dans ses bras à l’extérieur de l’incubateur chaque jour grâce à un processus de soins appelé câlins de kangourou (Kangaroo cuddles), où la mère porte le bébé contre la poitrine, la température corporelle étant maintenue à l’aide du contact peau à peau.

« Mon instinct maternel prit le dessus instantanément », se souvient Katie. « La méthode câlins de kangourou a réellement fait une différence parce que le contact peau à peau est essentiel pour favoriser le lien affectif et le développement. Mirren a adoré ça. »

« Je voyais que cela la réconfortait d’être blottie contre moi et de nous sentir. Cela facilitait également la montée de lait. Comme Mirren ne pouvait prendre le sein, je devais tirer le lait et remplir des bouteilles, ce qui se fait plus difficilement sans le bébé à mes côtés.

Plus on suivait le traitement kangourou, le mieux ça allait.

Nous avions le droit de changer ses couches, de lui lire des histoires et de lui donner plein de câlins kangourou.

Elle devenait de plus en plus forte et, juste avant notre départ, on pouvait réellement passer du temps avec elle. »

À la maison et en bonne santé

Après un séjour de 16 semaines à l’hôpital, Mirren est finalement à la maison avec ses parents.

« Nous sommes si heureux de l’avoir à la maison. Elle va tellement bien et récupère de plus en plus » mentionne Katie. « Elle pèse maintenant sept livres et devient plus forte de jour en jour ; nous vivons un jour à la fois ».



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