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Un article du Harvard Law Journal conclut: L’enfant à naître est une vraie personne selon la Constitution

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Par Calvin Freiburger (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie

Dans un article publié dans le Harvard Law Journal, le journal de la faculté de droit de l’Université Harvard, l’étudiant pro-vie Josh Craddock montre comment l’avortement contrevient à la Constitution des États-Unis.

En effet, le 14ème amendement de la Constitution américaine déclare et protège le droit à la vie de toute personne humaine. M. Craddock explique qu’à l’époque de l’adoption de cet amendement à la Constitution, il était clair que le terme « personne humaine » incluait l’enfant dans le sein de sa mère. En effet, au milieu du 19e siècle, presque tous les États de la fédération américaine avaient des lois très strictes interdisant l’avortement, et ces lois étaient classifiées comme protégeant les citoyens contre « les offenses à la personne ». Ces lois étaient issues d’autres lois britanniques, datant du 13e siècle, qui considéraient l’avortement comme étant un homicide volontaire et ce « aussitôt que l’enfant a une apparence et une âme humaine », dès le 40ème jour après la conception.

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Craddock souligne que, même dans la moitié du 19ème siècle, les Cours et les États confondus rejetaient de plus en plus ce stade comme scientifiquement caduc, et l’ont remplacé par la conception !

En outre, les dictionnaires du 19e siècle, tout comme la terminologie légale, étaient clairs dans leur définition : « Où la vie [humaine] peut être démontrée comme existante, la nature humaine existe »

De plus, M. Craddock cite les auteurs du 14ème amendement à la Constitution et leur objectif primordial, qui était de « protéger chaque personne à qui Dieu a donné une âme immortelle et de lui accorder une égalité parfaite devant la loi » et « d’enlever à tout État de la fédération le droit de disposer de la vie, de la liberté, ou de la propriété de toute personne, citoyen américain ou non, sans procédure équitable ». Cette protection s’applique de manière égale « aux plus petits et moins désirables de l’espèce humaine ».

L’auteur de l’article du Harvard Law Journal déclare donc qu’il n’y a qu’une façon valable d’interpréter la Constitution américaine au sujet de l’avortement :

« Si le 14ème amendement de la Constitution protège toute vie humaine, ce qui inclut l’enfant à naître, cela réduit les pouvoirs des États locaux dans ce domaine et autorise donc le Congrès (Parlement fédéral américain) à forcer tous les États de la fédération à protéger la vie humaine avant la naissance »

(Ce qui n’est pas le cas en ce moment).

Au sujet de l’État actuel du débat sur l’avortement, M. Craddock se montre plus pessimiste. Il écrit que les jugements en Cour des quatre dernières décennies n’ont rien à voir avec les droits fondamentaux tels que décrits par la Constitution mais sont empreints des convictions politiques personnelles des politiciens qui ont nommé les juges. Il est temps que les élus exercent leurs pouvoirs selon la Constitution et mettent en vigueur des lois qui protègent les droits de chaque individu.

Par sa recherche sur le droit à la vie, M. Craddock donne au mouvement pro-vie américain un fondement inébranlable pour son travail.



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