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Un analyste travaillant pour le gouvernement déclare sous serment que les vaccins covid ont causé au moins 45 000 décès aux É.-U.

Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Studio Romantic/AdobeStock

Anaheim, Californie, 22 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Un programmeur informatique lié au gouvernement, qui travaille dans le domaine de l’analyse des données sur les soins de santé, a fait une déclaration sous peine de parjure selon laquelle, d’après les réclamations médicales soumises aux Centers for Medicare and Medicaid Services (CMS), il y a « au moins 45 000 » décès liés à des vaccins, à cause des injections du vaccin expérimental COVID-19.

Cette annonce dramatique a été faite en début de semaine par Thomas Renz, avocat basé dans l’Ohio, lors de l’étape du ReAwaken America Tour de Clay Clark à Anaheim en Californie. Thomas Renz est l’un des principaux avocats dans plusieurs affaires majeures intentées contre des agences fédérales pour fraude et violation des droits à la liberté médicale.

« Je dépose aujourd’hui des documents devant un tribunal fédéral », a déclaré M. Renz à la foule enthousiaste. Ce dépôt est « basé sur une déclaration sous serment, sous la menace d’un parjure », d’une femme experte en dénonciation qui a attesté « qu’il y a eu au moins 45 000 décès dus à ce vaccin ».

De plus, ces chiffres sont « basés sur le nombre de personnes décédées dans les trois jours suivant l’administration du vaccin dans un seul système qui fait rapport au gouvernement fédéral ».

M. Renz poursuit en expliquant qu’« il y aurait environ 11 ou 12 systèmes qui signalent les décès et les blessures au gouvernement », et il estime que les chiffres réels sont « immensément plus élevés » que les 45 000 décès, même s’il ne peut pas le prouver immédiatement.

Selon les données complètes, tous systèmes de déclaration confondus, demande Renz, « combien sont réellement morts ? Et pourquoi le dissimulent-ils ? Ces gens assassinent des gens. C’est de la complicité au minimum. Il y a des gens qui doivent être mis en prison ».

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La requête a été déposée au nom de America’s Frontline Doctors (AFLDS) contre Xavier Becerra, secrétaire du ministère américain de la Santé et des Services sociaux, radicalement pro-avortement. Cette requête demande « une injonction préliminaire à l’encontre des défendeurs leur interdisant 1° de continuer à autoriser l’utilisation d’urgence des soi-disant [“vaccins”]... et 2° d’accorder l’approbation complète de la Food and Drug Administration (“FDA”) pour les vaccins » relatifs aux trois groupes suivants :

  1. Les personnes âgées de moins de 18 ans, qui — comme l’indique un communiqué de presse de l’AFLDS — « ont un risque statistiquement nul de décès dû au COVID-19 », alors que les taux de décès et de blessures dus à ces « vaccins », dans ce groupe démographique, restent, à tout le moins, hautement disproportionnés par rapport à tout bénéfice supposé.
  2. Tous les individus qui se sont rétablis du COVID-19 : « L’immunité naturelle est supérieure à l’immunité artificielle. De plus, les vaccins peuvent déclencher une réponse hyperimmune dangereuse et mortelle chez les personnes immunisées ».
  3. « Tout autre Américain qui n’a pas encore [donné] de consentement éclairé, tel que défini par la loi fédérale. Il est illégal, et inconstitutionnel, d’administrer des agents expérimentaux à des personnes qui ne peuvent pas prendre une décision éclairée quant aux véritables avantages et risques des vaccins. »

M. Renz a déclaré à LifeSiteNews que le témoignage de la dénonciatrice anonyme, désignée dans la motion sous le nom de « Jane Doe », fournit la preuve qu’un consentement éclairé n’est pas possible sans une divulgation complète du nombre réel de décès liés aux injections du vaccin expérimental COVID-19 de thérapie génique.

La requête décrit « Jane Doe » comme « un programmeur informatique ayant une expertise dans le domaine de l’analyse des données de santé et ayant accès aux données Medicare et Medicaid conservées par les Centers for Medicare and Medicaid Services (CMS) ».

Dans sa déclaration effective, « Jane Doe » fournit le témoignage suivant :

Selon mon estimation professionnelle, la base de données VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), bien qu’extrêmement utile, est sous-déclarée par un facteur prudent d’au moins 5. Le 9 juillet 2021, 9 048 décès ont été signalés dans le VAERS. J’ai vérifié ces chiffres en rassemblant moi-même toutes les données du VAERS, sans me fier à une tierce partie pour les déclarer. En parallèle, j’ai examiné les données des réclamations médicales du CMS concernant les vaccins et les décès de patients, et j’ai évalué que les décès survenus dans les trois jours suivant la vaccination sont plus élevés que ceux signalés dans le VAERS par un facteur d’au moins cinq. Cela indiquerait que le nombre réel de décès liés aux vaccins est d’au moins 45 000.

L’AFLDS a qualifié de « choquants » les décès apparemment et largement sous-déclarés et a affirmé que « le consentement éclairé, qui est requis par la loi, est impossible lorsque les données de sécurité sont si trompeuses ».

Il est également remarquable, poursuit la motion, « que lors de la campagne de vaccination contre la grippe porcine de 1976 (au cours de laquelle 25 % de la population américaine de l’époque, soit 55 millions d’Américains, ont été vaccinés), le vaccin contre la grippe porcine a été jugé dangereux et peu sûr, et retiré du marché, alors qu’il n’avait provoqué que 53 décès. »

Véracité du témoignage de la dénonciatrice

En ce qui concerne la véracité de la déclaration légale de Jane Doe, M. Renz a souligné son engagement à garantir la protection de l’identité de sa source, expliquant que lui et son équipe avaient « vu un certain nombre de choses » qui donnaient de la véracité à ses conclusions, mais qu’il n’était « pas prêt à parler de choses précises » parce qu’il ne le jugeait pas approprié étant donné sa responsabilité de protéger son identité.

Il a ajouté : « En tant qu’avocat, pour soumettre ce document à un tribunal fédéral, nous devons avoir, légalement, la conviction de bonne foi qu’il est exact et correct ».

« Nous devons faire preuve de diligence raisonnable, nous devons croire que cette personne est exacte et que ces chiffres sont exacts », a-t-il ajouté. « Nous soutenons fortement ce que nous avons soumis. Nous pensons que ce document est correct et précis. Nous avons fait preuve de diligence raisonnable, et dans cette mesure, je suis tout à fait convaincu que cela tiendra devant un tribunal ».

Pour ceux qui auraient d’autres doutes, Renz a affirmé :

Ce n’est pas une chose difficile à vérifier. Si le gouvernement fédéral veut en débattre, si ces gens veulent dire que ce que nous disons n’est pas vrai, c’est très bien, laissez-nous simplement voir les chiffres. Il n’y a aucune raison pour qu’ils ne puissent pas ouvrir ces données au public. Il n’y a aucune raison qu’ils ne puissent pas les partager. Et si vous n’avez rien à cacher, vous ne les cachez pas. Alors, pourquoi les cachent-ils ?

M. Renz a ajouté que lui et son équipe seraient heureux de pouvoir clarifier les chiffres réels et « s’attend à ce que, lorsque nous le ferons, ils soient beaucoup plus élevés [que même 45 000] ».

L’AFLDS a mis à jour sa propre estimation des décès liés au vaccin COVID sur la base des conclusions de Jane Doe avec des données rafraîchies. « Au 9 juillet, les décès signalés dans le VAERS s’élevaient à 10 991 », ont-ils déclaré. « La dénonciatrice du CDC [Jane Doe] a fait une déclaration sous serment selon laquelle le nombre réel de décès est, par prudence, cinq fois plus élevé, ce qui signifie qu’à cette date, nous approchons d’au moins 55 000 décès liés au vaccin ».

Big Tech « complice de la mort » par la censure

La véracité de ces chiffres réels excessivement élevés par rapport à ce qui est déclaré passivement sur le VAERS est corroborée par une étude de 2010 de Harvard Pilgrim qui a constaté que « moins de 1 % des blessures liées aux vaccins » sont déclarées sur ce système, ce qui a conduit beaucoup de gens à conclure, depuis un certain temps, que le nombre réel de décès et de blessures dus à ces agents biologiques expérimentaux est beaucoup plus élevé.

Après son annonce à Anaheim, Renz a encouragé la foule et les téléspectateurs à devenir des militants et à diffuser cette information partout. En outre, face à la censure des grandes entreprises technologiques, il avait un message pour ces grandes sociétés, notamment Google, YouTube, Facebook et Twitter : « Vous êtes complices de ces décès, et j’ai hâte de vous poursuivre en justice, encore et encore ! »

« Puisque nous ne pouvons pas parler des 45 000 meurtres, et comme les gens n’ont pas pu donner leur consentement éclairé parce qu’ils ont dissimulé le risque, essayons de faire en sorte que [parler des] 45 000 deviennent une tendance sur Twitter. Nous ne pouvons pas appeler cela des “meurtres”, mais peut-être [pouvons-nous faire en sorte que #45K devienne une tendance] », a-t-il déclaré.

« Ayez un peu de colonne vertébrale ! » a-t-il exhorté. « Ayez du courage ! N’est-ce pas ? Du courage ! ... Vous devez être prêt à vous battre, et je veux encourager tout le monde ici à avoir le courage de se battre, et d’impliquer les autres. Ils ont besoin d’entendre parler de cela ! »



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