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Tucker Carlson qualifie l’avortement de « sacrifice humain » : « Il s’agit d’un combat spirituel »


Tucker Carlson.

Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie

26 septembre 2023 (LifeSiteNews) — Tucker Carlson s’en est pris aux forces surnaturelles insidieuses qui se cachent derrière la poussée mondiale visant à normaliser l’avortement comme une bonne chose : « Des forces extérieures agissent sur les gens à tout moment de l’histoire, dans toutes les cultures de la planète, pour convaincre les gens que s’ils sacrifient leurs enfants, ils seront heureux et en sécurité ».

« Il ne s’agit pas d’un débat politique », a déclaré M. Carlson. « Ils disent maintenant que l’avortement est en soi une voie vers la joie. »

« Il ne s’agit pas d’un débat politique », a-t-il encore souligné. « Il s’agit d’une bataille spirituelle. Il n’y a pas d’autre conclusion ».

M. Carlson a prononcé son discours au Centre pour la vertu chrétienne de l’Ohio, alors que les électeurs de l’État du Buckeye se préparent à voter en novembre sur une proposition d’amendement soutenue par l’ACLU et Planned Parenthood.

Cette proposition au libellé ambigu, intitulée de manière trompeuse « Le droit à la liberté de reproduction avec des protections pour la santé et la sécurité », a été universellement critiquée par les partisans de la vie, qui lui reprochent de permettre l’avortement jusqu’à la naissance et de saper les droits parentaux.

« Je suis vraiment frappé par les initiatives de vote auxquelles vous serez confrontés en novembre », a commencé l’animateur de talk-show très populaire. « Je suis frappé parce qu’elles sont très différentes de la politique que j’ai couverte pendant la majeure partie de ma vie ».

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M. Carlson a déclaré que pendant la majeure partie des trois dernières décennies, « les débats que nous avons eus dans la sphère politique portaient sur des visions concurrentes de la manière d’améliorer la vie des gens ».

Mais ce n’est plus le cas. « Lorsque vous vous retrouvez dans une élection où les deux initiatives les plus importantes sont 1.) Encourager les gens à tuer leurs propres enfants et 2.) encourager leurs enfants à se droguer, à qui cela profite-t-il ? », a-t-il demandé.

Ne tuez pas vos enfants : ils sont une « source de joie pure »

« La seule source de joie sans mélange dans votre vie, ce sont vos enfants », a-t-il déclaré. « Le but de la vie est d’avoir des enfants et de les voir avoir des petits-enfants ».

« Rien ne vous apportera autant de joie que cela. Rien ne s’en rapproche », a-t-il déclaré sous les applaudissements nourris de ses auditeurs.

« Échangeriez-vous vos enfants contre un travail ? », a-t-il demandé. « Échangeriez-vous vos enfants contre quoi que ce soit ? Bien sûr que non ! »

L’avortement est aujourd’hui ce qu’il était à l’époque de l’Ancien Testament : un sacrifice humain

« Quiconque vous dit : “N’ayez pas d’enfants” [et] “Tuez vos enfants” n’est pas votre ami. Il est votre ennemi », a déclaré M. Carlson à la foule avant de tracer une ligne directe entre le sacrifice religieux des enfants dans l’Ancien Testament et les fausses promesses de l’industrie de l’avortement d’aujourd’hui.

C’est une promesse très reconnaissable qu’ils vous font parce qu’elle est vieille comme le monde et qu’elle est décrite en détail dans la Bible hébraïque.

Il s’agit de sacrifices humains... qui se distinguent par leur approbation continuelle. Or, de tous les péchés commis par les anciens, ce péché est qualifié de « détestable » à chaque fois qu’il est décrit.

Dieu a dénoncé ce péché du doigt, il s'appelle : « Jeter vos enfants au feu. »

Pourquoi les gens faisaient-ils cela ? Parce qu’ils croyaient qu’ils obtiendraient en retour le pouvoir, le contentement et le bonheur. Que tout ce qu’il fallait, c’était de sacrifier ses enfants.

« C’est un phénomène vieux comme le monde », a déclaré M. Carlson. « Toutes les civilisations de la planète s’y sont livrées. Toutes. Pas seulement les Mayas et les Aztèques. [Même les Scandinaves, mes ancêtres]. »

Les archives archéologiques nous apprennent que le sacrifice humain, le sacrifice d’enfants, le meurtre d’enfants est la seule constante de la civilisation humaine.

Comment cela est-il possible ? Comment toutes ces civilisations situées aux différents points cardinaux — dont nous savons qu’elles n’ont eu aucun contact les unes avec les autres — peuvent-elles parvenir à la même conclusion, à savoir qu’en échange du meurtre de leurs propres enfants, elles seraient heureuses ou en sécurité ?

« Elles ne sont probablement pas parvenues à cette conclusion de manière organique, n’est-ce pas ? Car cela va à l’encontre de l’impératif de la biologie évolutive, qui est de perpétuer l’espèce. Et ceux d’entre nous qui ont grandi dans un monde laïque et à qui l’on a enseigné que les gens sont motivés par un instinct visant à perpétuer l’espèce s’arrêtent et se disent : “Attendez une seconde. En quoi le fait de tuer ses propres enfants fait-il avancer la cause de la perpétuation de l’espèce ?” ».

« Ce n’est pas le cas. En fait, c’est une attaque contre cette cause », a déclaré M. Carlson. « Ce n’est pas une fonction humaine naturelle que de vouloir tuer ses propres enfants. C’est une idée, une impulsion, qui a été introduite ».

M. Carlson n’a pas précisé qui a introduit cette idée dans pratiquement toutes les cultures, à travers tous les temps et tous les continents, mais la déduction d’une influence démoniaque constante et inébranlable exigeant le sacrifice d’enfants est claire.

M. Carlson a suggéré que la meilleure façon de répondre à cette perpétuelle menace contre la vie et la dignité humaines est d’imiter le courage de l’apôtre saint Paul.

« Il vivait quotidiennement avec la certitude qu’il allait être tué un jour pour ses convictions, et cela ne le dérangeait absolument pas. Totalement », a déclaré M. Carlson. « Il n’a jamais eu peur ».

M. Carlson a expliqué à son auditoire que la marque de la foi chrétienne est l’absence de peur.

« Vous avez peur ou vous n’avez pas peur ? », a-t-il demandé. « Si vous avez peur, c’est que vous ne faites pas ce qu’il faut, n’est-ce pas ? »

« Il n’y a pas d’excuse pour avoir peur. »



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