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Trudeau promeut l’avortement dans un discours prononcé devant des collégiens du Nouveau-Brunswick


Justin Trudeau s'adressant à des élèves du Nouveau-Brunswick.

Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X

15 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Justin Trudeau a utilisé son temps, aux frais des contribuables, pour promouvoir le meurtre des enfants à naître devant un auditorium rempli d’élèves du secondaire, en déclarant que les femmes devraient avoir un accès total et illimité à l’avortement.

« C’est très simple : c’est à une femme de choisir ce qu’elle veut faire avec son corps », a déclaré Trudeau devant l’auditorium rempli de collégiens du Nouveau-Brunswick mardi.

Trudeau a ajouté qu’un parti libéral « progressiste » qui reconnaît la « Charte des droits et libertés, la liberté de faire ses propres choix dans la vie », doit exiger que « toute personne qui voudrait se présenter pour le parti libéral du Canada devait être accord qu'ils allaient défendre le droit des femmes de choisir ».

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Avant que Trudeau ne prenne la tête du Parti libéral en 2013, le parti comptait quelques députés pro-vie et n’exigeait pas que tous les députés soient favorables à l’avortement. Toutefois, dès que Trudeau a pris ses fonctions de premier ministre en 2015, il a interdit à tous les futurs candidats [de son parti] au poste de député d’avoir des opinions favorables à la vie.

L’apparition de Trudeau dans l’école secondaire du Nouveau-Brunswick a coïncidé avec sa visite dans la province pour soutenir la première ministre libérale pro-avortement Susan Holt, qui venait d’être élue. L’une des premières mesures prises par Holt a été de rétablir le financement des avortements dans les cliniques privées, qui avait été supprimé par l’ancien premier ministre conservateur Blaine Higgs.

L’affirmation de Trudeau selon laquelle le droit à l’avortement est en quelque sorte inscrit dans la Charte des droits et libertés est tirée par les cheveux, car le droit à l’avortement n’existe pas dans le droit canadien.

Comme l’a fait remarquer Pete Baklinski, directeur des communications de la Coalition nationale pour la vie (CNV) dans un récent article de LifeSiteNews, les lois canadiennes sur l’avortement sont en réalité « inexistantes ».

Il n’existe pas de « loi sur l’avortement » au Canada », a déclaré Baklinski, qui a expliqué comment les règles canadiennes en matière d’avortement ont changé depuis que cette pratique a été autorisée en 1969.

Pendant des années, Trudeau a professé son soutien à l’avortement bien qu’il soit catholique. Ces dernières semaines, les libéraux de Trudeau et le Nouveau Parti démocratique (NPD) de Jagmeet Singh ont renforcé leur rhétorique en faveur de l’avortement dans un contexte de baisse dans les sondages.

LifeSiteNews a rapporté plus tôt cette semaine que la ministre du Tourisme Soraya Martinez Ferrada a confirmé que le gouvernement libéral fera pression en faveur du soi-disant « droit » à l’avortement avant les prochaines élections fédérales, même si ce « droit » n’existe pas dans la loi canadienne.

Par exemple, M. Trudeau s’est rendu sur les médias sociaux pour promouvoir son engagement en faveur de la tuerie de Canadiens à naître par le biais de l’avortement, en se vantant du nouveau site internet de son gouvernement destiné à faciliter autant que possible l’accès des femmes à l’avortement. Il s’est également vanté à plusieurs reprises de son bilan pro-avortement à la Chambre des communes.

Selon CNV, l’avortement a tué au Canada plus de quatre millions d’enfants à naître depuis sa légalisation en 1969, ce qui équivaut à peu près à la population de la province d’Alberta.



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