Le discours de Donald Trump à la Marche pour la vie américaine
Donald Trump, président des États-Unis, à la Marche pour la Vie de Washington, le 24 janvier 2020.
Par Jeanne Smits (Le blogue de Jeanne Smits) — Photo : Jim Hale/LifeSiteNews
Je vous propose ici ma traduction intégrale du discours de Donald Trump à la Marche pour la vie à Washington DC, le vendredi 24 janvier. Un moment historique. Car même à supposer que les motivations du président des Etats-Unis aient pu être électoralistes, quelle merveille qu’un pays ou l’engagement en faveur la défense de la vie humaine innocente est aujourd’hui un facteur de réussite électorale ! Une petite précision : la « Jeanne » interpellée par Trump au début de son discours est Jeanne Mancini, président de la Marche pour la vie. — J.S.
Merci beaucoup et merci à vous, Jeanne. C’est un grand honneur pour moi que d’être le premier président de l’histoire à participer à la Marche pour la vie. Nous sommes ici pour une raison très simple : pour défendre le droit de chaque enfant, né ou à naître, de réaliser le potentiel qui lui a été donné par Dieu.
Depuis 47 ans, des Américains de tous horizons font le voyage depuis les quatre coins de ce pays pour défendre la vie.
Et aujourd’hui, en tant que président des États-Unis, je suis vraiment fier de me tenir à vos côtés.
Je tiens à souhaiter la bienvenue à des dizaines de milliers — la participation à cet événement est énorme — de lycéens et d’étudiants qui ont fait de longs trajets en bus pour venir ici dans la capitale de notre pays. Et pour que vous soyez encore plus heureux, sachez qu’il y a encore des dizaines de milliers de personnes à l’extérieur que nous avons croisées en chemin en arrivant ici. Si quelqu’un veut abandonner sa place, on peut s’arranger.
Il y a une foule énorme de personnes à l’extérieur. Des milliers et des milliers de personnes auraient voulu entrer. C’est un immense succès.
Les jeunes sont au cœur de la Marche pour la vie. Et c’est votre génération qui fait de l’Amérique « la » nation pro-famille et pro-vie.
Le mouvement pour la vie est animé par des femmes fortes, des chefs religieux extraordinaires et des étudiants courageux qui perpétuent l’héritage des pionniers qui nous ont précédés et qui se sont battus pour élever la conscience de notre nation et pour défendre les droits de nos citoyens. Vous entourez les mères de vos soins et de votre compassion. La prière vous rend forts et votre amour désintéressé vous motive. Vous êtes reconnaissants et nous sommes tous très reconnaissants — car ce sont des gens incroyables — d’avoir été rejoints par le secrétaire Alex Azar et par Kellyanne Conway.
Lire la suiteTrump sera le premier président à participer à la Marche pour la Vie de Washigton
Donald Trump, président des États-Unis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Donald Trump, président des États-Unis, posera un geste sans précédent laissé par ses prédécesseurs, il assistera en personne à la Marche pour la Vie de Washington et y prononcera un discours, d’après LifeSiteNews :
Pour la première fois dans l’histoire, un président américain participera en personne à la Marche pour la Vie et y prendra la parole, lors de cet événement annuel qui se déroula à Washington DC. vendredi.
Le président Trump a annoncé aujourd’hui qu’il prononcera un discours lors de la Marche pour la Vie 2020 le 24 janvier, un événement annuel auquel participent des centaines de milliers de personnes afin de protester contre l’avortement légal.
L’année dernière, c’était par le moyen d’une vidéo en direct que le président s’était adressé à la foule colossale des pro-vie, tandis qu'un peu plus tard, le vice-président Mike Pence honorait de sa présence les organisateurs de la marche, en assistant au Rose Dinner qui succède à la marche. Selon LifeSiteNews :
Faisant une apparition surprise l’année dernière, dans une vidéo en direct, le président Trump s’est adressé aux défenseurs de la vie lors de la Marche pour la Vie de 2019, leur disant que « chaque vie mérite d’être protégée » et qu’il opposerait son veto à toute législation qui s’aventurerait sur son bureau et qui « affaiblirait la protection de la vie humaine ».
Kathy Griffin poursuivie en justice pour ses demandes de dénonciations des étudiants de Covington
Nathan Phillips battant du tambour au milieu des élèves du collège Covington.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Quand une vidéo habilement découpée avait commencé à circuler, mettant en scène des étudiants, blancs (portant la casquette Make America Great Again), qui se sont avérés être catholiques, pro-vie, tout juste revenant de la Marche pour la Vie de Washington, et qui semblaient harceler un « vétéran », activiste amérindiens, les gros médias ont bondi sur cette proie rêvée, mordant à pleines dents la réputation de ces mineurs, sans plus se soucier apparemment de vérifier la véracité de l’affaire, avant de s’apercevoir que leurs mâchoires médiatiques ne rencontraient qu’une baudruche portant la belle étiquette « fausse nouvelle » (si populaire à notre époque), se mordant la langue de confusion. De nombreux médias avait ainsi calomnié ces malheureux étudiants, avant de s’apercevoir de leur erreur, beaucoup retirant leurs diverses publications et s’excusant de leur méprise par trop attive.
Kathy Griffin, personnalité médiatique, avait clamé, sur Tweeter, entre autres :
La réponse de l'école était pathétique et impotente. Nommez ces enfants. Je veux des NOMS. Honte à eux. Si vous croyez que ces ******* ne vous dénonceraient pas en un clin d'œil, réfléchissez bien.
Les noms, s'il vous plaît. Et des témoignages de personnes qui peuvent les identifier et garantir leur identité. Je vous remercie.
Deux étudiants qui n’avaient même pas participé à la marche se virent identifiés avec ceux (innocents d’ailleurs) qu’on accusait de harcèlement raciste.
Lire la suiteLa championne canadienne de la Vie Mary Wagner encore condamnée pour avoir défendu les enfants à naître
Par Martin M. Barillas — traduit par Campagne Québec-Vie
Vancouver, Colombie-Britannique, 11 septembre 2019 (LifeSiteNews) — La célèbre sentinelle canadienne des droits de la personne Mary Wagner a été reconnue coupable d'intrusion et de perturbation dans le fonctionnement d'une entreprise, après avoir passé plusieurs mois en prison après être entrée dans un centre d'avortement de Vancouver, afin d'informer les femmes enceintes des alternatives à l'avortement.
Dans une déclaration sur Facebook, Wagner a affirmé : « Cette condamnation n'est pas une honte pour moi. Au contraire, je suis heureuse que le tribunal ait trouvé qu'il y avait suffisamment de preuves pour conclure que j'ai entravé l'entreprise de destruction d'enfants à naître sans défense, qui demeurent non protégés et abandonnés par les tribunaux ».
Selon le compte Facebook, Wagner devait être libérer le onze septembre, mais reste sous la garde de la cour.
Mary Wagner (troisième à partir de la droite) avec ses partisans après sa libération,
11 septembre 2019, à Vancouver dans la province de Colombie-Britannique, au Canada.
Lors d'une conversation téléphonique avec LifeSiteNews, l'avocat de la défense Peter Boushy a informé le journal que le tribunal de Vancouver avait déclaré Mme Wagner coupable de méfait en vertu de l'article 430 du Code criminel, mais l'avait condamnée à une peine de prison. Elle était en prison depuis son arrestation du 17 avril. Selon Me Boushy, elle a fait 148 jours de prison. Le droit canadien compte chaque jour passé en prison avant le procès à un taux de 1,5 contre un, ce qui signifie que Wagner a déjà purgé plus que la peine maximale permise pour l'infraction qui lui a été imputée. Bien que la Couronne ait demandé trois ans de probation, le tribunal n'a accordé que deux ans de probation.
Lors de la prononciation de la sentence, le juge Mark Jette a dit directement à Wagner : « J'apprécie que vous veniez d'une famille forte et bonne et que vous soyez une bonne personne », a rapporte Me Boushy. Alors que la Couronne eût demandé 30 jours de service communautaire dans le cadre de la peine, le juge a déclaré : « Je suis convaincu que vous redonnez à la collectivité sur une base quotidienne. C'est dans votre ADN. » Me Boushy a dit qu'il n'avait jamais entendu un tel compliment de la part des juges. Il a noté que le juge avait qualifié Wagner de « guerrier » dans ses propos. Wagner n'aura pas à faire de service communautaire dans le cadre de sa peine.
Lire la suiteUnplanned projeté devant le « méga-centre d’avortement » de Planned Parenthood à Washington
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Les dirigeants de cet avortoir n’ont pas dû beaucoup aimer que des pro-vie projettent devant leur établissement le film pro-vie Unplanned, qui montre ce qui se passe réellement dans les cliniques de Planned Parenthood (au Québec une telle projection devrait se faire au minimum à cinquante mètres de l'avortoir). Extrait de LifeSiteNews :
Unplanned, le film racontant la conversion d’Abby Johnson de directrice d’établissement en avortement à celui de militante pro-vie, a été projeté sur le trottoir devant le complexe d’avortement de Planned Parenthood à Washington.
Patrick Mahoney, directeur de Christian Defense Coalition, fortement impliqué dans cette projection inusitée exprime ses pensées, selon LifeSiteNews :
« Montrer Unplanned devant un centre de Planned Parenthood est un témoignage puissant de la dignité de chaque vie et de l’exemple que nous devons tous suivre pour protéger les droits de la personne et mettre fin à la violence dans notre société », poursuit Mahoney. Le film explique aussi pourquoi la Dr Wen a été congédiée alors qu’elle révélait que Planned Parenthood avait « doublé » le nombre d’avortements et négligé les vrais soins de santé féminins.
Un vaste projet à la grandeur des États-Unis :
« Notre espoir est de lancer une campagne à l’échelle nationale pour éventuellement montrer Unplanned devant les centres d’avortement de Planned Parenthood à travers les États-Unis, » a-t-il ajouté.
Un juge rejette les charges lancées contre trois pro-vie qui étaient entrés dans un avortoir
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : PxHere
Un juge de la Cour supérieure de Washington a laissé tomber les chefs d’accusation dont étaient chargés les pro-vie Bud Shaver, Père Stephen Imbarrato et Lauren Handy, eux qui étaient entrés dans un avortoir en mars dernier, pour donner des roses aux femmes venues là pour un avortement, et pour les supplier de ne pas faire avorter leur enfant à naître, refusant eux-mêmes de quitter les lieux. Extrait de LiveActionNews :
Un juge fédéral a rejeté toutes les accusations portées contre trois militants pro-vie qui ont mené une opération Red Rose Rescue dans un centre d'avortement tardif de Washington, le 19 mars.
Bud Shaver, le Père Stephen Imbarrato et Lauren Handy sont entrés dans la Washington Surgi-Clinic du Dr Cesare Santangelo et ont refusé de la quitter. Ils étaient là pour offrir des roses rouges aux mères qui envisagent l'avortement, ou en suivent la procédure. Les sauvetages Red Rose Rescue, inspirés par la militante canadienne Mary Wagner, consistent, pour des pro-vie, à risquer l'arrestation pour refus de quiter les lieux, dans le but de distribuer des roses et supplier les mères de ne pas avorter leurs enfants.
Le trio a été accusé d'entrée illégale et de refus de sortir. Le juge John Ramsey Johnson de la Cour supérieure du district de Columbia a rejeté les accusations. Le P. Imbarrato avait déposé une requête en irrecevabilité après que l'accusation eut laissé passer la date limite du 2 juillet pour la divulgation. Il a déclaré à LifeSiteNews que l'accusation l'avait appelé le 9 juillet pour l'informer qu'elle demandait une prolongation. Le P. Imbarrato, qui se représentait lui-même, leur a dit qu'il s'y opposait et qu'il demanderait le non-lieu.
Le juge a dit que les charges pourraient éventuellement être rétablies, ce que le Père Imbarrato a supposé être « leur façon subtile de nous dire : "Ne recommencez pas". »
Avertissement, qu’il soit réel ou non, que ces braves pro-vie n'écouteront très certainement pas.
Un prêtre catholique rappelle un point sur la modestie et fait face à la meute en ligne
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : PxHere
Le Père Kevin M. Cusick, prêtre du diocèse de Washington, vétéran, chroniqueur pour l’hebdomadaire Wanderer et quelques fois pour le site OnePeterFive, avait simplement rappelé sur Twitter quelques éléments de base en termes de vie en société, dans le cadre particulier de la messe, à savoir la vestimentation et la modestie. Ce qui est curieux, c’est que son compte Twitter a été bloqué. Yahoo LifeStyle rapporte :
Un prêtre catholique est allé sur Twitter pour demander aux femmes de s'habiller modestement lors des offices religieux afin de « protéger la pureté des hommes » ― et les gens circulant en ligne ne l'apprécient pas vraiment.
Le Père Kevin M. Cusick, prêtre catholique et ancien combattant, a écrit un tweet adressé aux « dames », écrivant qu'un de ses confrères avait été « forcé » de demander à une femme lors d'une messe catholique de couvrir ses épaules. Cusick a continué en demandant aux femmes d'« aider le prêtre à protéger la pureté des hommes lors de la Sainte Messe en choisissant de s'habiller modestement ».
Le P. Cusick ne demandait pas aux femmes de se voiler la face, le visage reflète d’ailleurs plus que tout autre partie du corps la personnalité et n’est assurément pas à cacher, mais de couvrir leur épaules. Cela peut paraître extrême à certaines, surtout si elles ont l’habitude de découvrir plus que les épaules, mais sensé, les hommes étant sensibles à ces détails là.
Lire la suiteComposter son grand-père ! la toute dernière folie verte…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Image (montage) : Karen and Brad Emerson/Flickr, Hans /Pixabay
L’Assemblée législative de l’État de Washington a voté un projet de loi offrant la possibilité de composter ses défunts, la rajoutant à celle de les enterrer ou de les incinérer, si le gouverneur signe. Au fait que fait-on de ce compost ?
Je serais curieux de savoir qu’est-ce qu’ils font exactement avec les os, car ils restent intacts extrêmement longtemps après la décomposition des chairs du corps quand celui-ci est mis en terre, les broient-ils pour en faire de la poudre ? (Au passage, quand le corps est incinéré, les os les plus résistants comme ceux de la boîte crânienne sont brisés, sinon ça ne tiendrait pas dans une petite urne.)
Quel irrespect pour les défunts, les mettre au composteur ! Et tout ça pour éviter quoi ? On peut déjà se faire enterrer sans l’embaumement, qui pollue, ça il faut bien l’avouer, dans un cercueil biodégradable et sans pierre tombale (je ne pousserais quand même pas jusqu’à ne pas mettre de pierre). Alors pourquoi cette nouvelle folie ? Il n’est pas sûr que cette « solution » soit moins chère, peut-être le sera-t-telle moins que l’enterrement « vert ». Peut-être pour produire le moins possible de CO2 , un produit inoffensif dont tant de gens ont peur pour rien.
Une idée pareille n’a pu venir que dans l’esprit, l’atmosphère d’une culture de mort. Extrait de Radio-Canada :
Lire la suiteL’Assemblée législative de cet État frontalier de la Colombie-Britannique a adopté un projet de loi permettant le processus de « réduction naturelle des matières organiques », qui doit encore être sanctionné par le gouverneur, Jay Inslee.
Un porte-parole de son bureau a déjà dit que le projet de loi consistait en une mesure sérieuse pour atténuer l'empreinte écologique des humains.
Si elle est signée par le gouverneur, la loi pourrait entrer en vigueur en mai 2020.
Près de 100 travailleurs en avortement demandent de l’aide pour quitter leur emploi après avoir vu le film « Unplanned »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : geralt/Pixabay
Ainsi, près de cent travailleurs du domaine de l’avortement cherchent à sortir de cette industrie sulfureuse, et ce, après avoir vu le film Unplanned qui raconte la conversion d’Abby Johnson, ancienne directrice d’un établissement de Planned Parenthood, de pro-avortement qu’elle était à pro-vie. Extrait de LiveActionNews :
Les cinéastes de « Unplanned », ce tout nouveau film sur la conversion pro-vie de l’ancienne directrice d’un centre de Planned Parenthood, Abby Johnson, ont annoncé que depuis la sortie du film, une centaine de travailleurs du secteur de l’avortement ont cherché à quitter l’industrie de l’avortement.
À la fin du film, il y a les coordonnées de And Then There Were None, un organisme pro-vie fondé par Mme Johnson pour soutenir et encourager les travailleurs de l’avortement à quitter l’industrie et à trouver un autre emploi. La semaine dernière, le cinéaste Chuck Konzelman a témoigné devant un Comité sénatorial sur la censure à laquelle le film a été soumis et, dans son témoignage, il a révélé l’impact que le film a eu sur les travailleurs de l’avortement. « Un pour cent des travailleurs de l’avortement aux États-Unis après s’être vu dépeint sur l’écran... a décidé de changer leur vie... et ce qu’ils font dans la vie », a-t-il dit au comité, selon Pure Flix Insiders. Le total à à ce moment-là, a affirmé M. Konzelman, était de 94 travailleurs qui avaient communiqué avec l’organisme.
Les démocrates bloquent pour la 27e fois le vote d’une loi contre l’infanticide des bébés nés d’un avortement raté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : FEMA/Bill Koplitz/Wikimedia Commons
Le comportement des démocrates est vraiment abominable, pourquoi donc refuseraient-ils de voter un projet de loi protégeant les enfants nés d’un avortement raté ? En quoi cela entamerait-il le « droit à l’avortement » si cher à leur cœur ? Toujours est-il que pour la 27e fois, les démocrates de la Chambre des représentants refusent d’autoriser un vote sur la question. Extrait de LifeNews :
Nancy Pelosi et les démocrates à la Chambre des représentants continuent de refuser un vote sur le Born Alive Abortion Survivors Protection Act (Loi sur la protection des survivants à l’avortement), qui vise à arrêter l’infanticide des bébés survivant à un avortement et à leur fournir des soins et traitements médicaux.
Mardi dernier, les démocrates à la Chambre ont refusé de voter sur le projet de loi pour la 27e fois, lisant la même déclaration qu’ils ont lue les 26 précédentes fois, à savoir qu’il n’y a pas d’accord bipartisan pour soumettre le projet de loi à un vote. Malgré cette affirmation, les dirigeants républicains ont demandé à plusieurs reprises à Mme Pelosi et aux principaux démocrates de parvenir à un accord pour que le projet de loi fasse l’objet d’un vote.
C’est la 29e fois au total, que les démocrates du Congrès contrecarrent les tentatives des républicains de voter sur un projet de loi visant à fournir des soins médicaux et des traitements aux bébés qui ont survécu à un avortement raté, 27 fois à la Chambre des représentants et deux fois au Sénat.
[...]
Hier, le whip républicain Steve Scalise et la représentante Ann Wagner ont présenté une « pétition de décharge » pour forcer le président de la Chambre Pelosi à tenir un vote. C’est une pétition que n’importe quel membre du Congrès peut signer pour permettre au projet de loi de quitter le comité et d’être renvoyé à la Chambre lorsque le parti qui contrôle le Congrès refuse de permettre un vote à ce sujet.