Composter son grand-père ! la toute dernière folie verte…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Image (montage) : Karen and Brad Emerson/Flickr, Hans /Pixabay
L’Assemblée législative de l’État de Washington a voté un projet de loi offrant la possibilité de composter ses défunts, la rajoutant à celle de les enterrer ou de les incinérer, si le gouverneur signe. Au fait que fait-on de ce compost ?
Je serais curieux de savoir qu’est-ce qu’ils font exactement avec les os, car ils restent intacts extrêmement longtemps après la décomposition des chairs du corps quand celui-ci est mis en terre, les broient-ils pour en faire de la poudre ? (Au passage, quand le corps est incinéré, les os les plus résistants comme ceux de la boîte crânienne sont brisés, sinon ça ne tiendrait pas dans une petite urne.)
Quel irrespect pour les défunts, les mettre au composteur ! Et tout ça pour éviter quoi ? On peut déjà se faire enterrer sans l’embaumement, qui pollue, ça il faut bien l’avouer, dans un cercueil biodégradable et sans pierre tombale (je ne pousserais quand même pas jusqu’à ne pas mettre de pierre). Alors pourquoi cette nouvelle folie ? Il n’est pas sûr que cette « solution » soit moins chère, peut-être le sera-t-telle moins que l’enterrement « vert ». Peut-être pour produire le moins possible de CO2 , un produit inoffensif dont tant de gens ont peur pour rien.
Une idée pareille n’a pu venir que dans l’esprit, l’atmosphère d’une culture de mort. Extrait de Radio-Canada :
Lire la suiteL’Assemblée législative de cet État frontalier de la Colombie-Britannique a adopté un projet de loi permettant le processus de « réduction naturelle des matières organiques », qui doit encore être sanctionné par le gouverneur, Jay Inslee.
Un porte-parole de son bureau a déjà dit que le projet de loi consistait en une mesure sérieuse pour atténuer l'empreinte écologique des humains.
Si elle est signée par le gouverneur, la loi pourrait entrer en vigueur en mai 2020.
Près de 100 travailleurs en avortement demandent de l’aide pour quitter leur emploi après avoir vu le film « Unplanned »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : geralt/Pixabay
Ainsi, près de cent travailleurs du domaine de l’avortement cherchent à sortir de cette industrie sulfureuse, et ce, après avoir vu le film Unplanned qui raconte la conversion d’Abby Johnson, ancienne directrice d’un établissement de Planned Parenthood, de pro-avortement qu’elle était à pro-vie. Extrait de LiveActionNews :
Les cinéastes de « Unplanned », ce tout nouveau film sur la conversion pro-vie de l’ancienne directrice d’un centre de Planned Parenthood, Abby Johnson, ont annoncé que depuis la sortie du film, une centaine de travailleurs du secteur de l’avortement ont cherché à quitter l’industrie de l’avortement.
À la fin du film, il y a les coordonnées de And Then There Were None, un organisme pro-vie fondé par Mme Johnson pour soutenir et encourager les travailleurs de l’avortement à quitter l’industrie et à trouver un autre emploi. La semaine dernière, le cinéaste Chuck Konzelman a témoigné devant un Comité sénatorial sur la censure à laquelle le film a été soumis et, dans son témoignage, il a révélé l’impact que le film a eu sur les travailleurs de l’avortement. « Un pour cent des travailleurs de l’avortement aux États-Unis après s’être vu dépeint sur l’écran... a décidé de changer leur vie... et ce qu’ils font dans la vie », a-t-il dit au comité, selon Pure Flix Insiders. Le total à à ce moment-là, a affirmé M. Konzelman, était de 94 travailleurs qui avaient communiqué avec l’organisme.
Les démocrates bloquent pour la 27e fois le vote d’une loi contre l’infanticide des bébés nés d’un avortement raté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : FEMA/Bill Koplitz/Wikimedia Commons
Le comportement des démocrates est vraiment abominable, pourquoi donc refuseraient-ils de voter un projet de loi protégeant les enfants nés d’un avortement raté ? En quoi cela entamerait-il le « droit à l’avortement » si cher à leur cœur ? Toujours est-il que pour la 27e fois, les démocrates de la Chambre des représentants refusent d’autoriser un vote sur la question. Extrait de LifeNews :
Nancy Pelosi et les démocrates à la Chambre des représentants continuent de refuser un vote sur le Born Alive Abortion Survivors Protection Act (Loi sur la protection des survivants à l’avortement), qui vise à arrêter l’infanticide des bébés survivant à un avortement et à leur fournir des soins et traitements médicaux.
Mardi dernier, les démocrates à la Chambre ont refusé de voter sur le projet de loi pour la 27e fois, lisant la même déclaration qu’ils ont lue les 26 précédentes fois, à savoir qu’il n’y a pas d’accord bipartisan pour soumettre le projet de loi à un vote. Malgré cette affirmation, les dirigeants républicains ont demandé à plusieurs reprises à Mme Pelosi et aux principaux démocrates de parvenir à un accord pour que le projet de loi fasse l’objet d’un vote.
C’est la 29e fois au total, que les démocrates du Congrès contrecarrent les tentatives des républicains de voter sur un projet de loi visant à fournir des soins médicaux et des traitements aux bébés qui ont survécu à un avortement raté, 27 fois à la Chambre des représentants et deux fois au Sénat.
[...]
Hier, le whip républicain Steve Scalise et la représentante Ann Wagner ont présenté une « pétition de décharge » pour forcer le président de la Chambre Pelosi à tenir un vote. C’est une pétition que n’importe quel membre du Congrès peut signer pour permettre au projet de loi de quitter le comité et d’être renvoyé à la Chambre lorsque le parti qui contrôle le Congrès refuse de permettre un vote à ce sujet.
2 prêtres, 7 pro-vie prennent le risque d’être arrêtés en entrant dans deux avortoirs ce matin
Lauren Handy, l'une des pro-vie participant au Red Rose Rescue, une tentative pacifiquement de faire découvrir aux femmes, songeant à avorter, la vie qu'elles portent.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Suivant l’exemple de Mary Wagner, des catholiques menés par des prêtres entrent dans deux avortoirs de Washington, pour porter pacifiquement témoignage auprès des femmes pensant à avorter leur enfant, afin qu'elles considèrent l’humanité de leur bébé et la grâce de Dieu ; la conversion des avorteurs fait aussi partie des buts de cette opération. Extrait de LifeSiteNews :
Ce matin, des prêtres catholiques menaient des militants pro-vie, entrant dans deux centres d’avortement de la capitale nationale, où ils risquent l’arrestation en offrant pacifiquement des roses rouges et des conseils aux femmes qui sont résolues à avorter et refusent de partir quand on le leur demande.
Appelée « Red Rose Rescue » et inspirée par la militante canadienne Mary Wagner, cette méthode d’activisme est en quelque sorte un renouveau du mouvement « Rescue » des débuts [...]
Le père Stephen Imbarrato de LifeMinistriesUS et quatre autres sont entrés à la Washington Surgi-Clinic, un centre d’avortement tardif situé dans un quartier chic de Washington. Le Dr Cesare Santangelo, avorteur à ce cabinet, a été attrapé en 2013 étant d’accord pour refuser les soins médicaux à un enfant viable qui survit à un avortement. Le Père Imbarrato a mené un « sauvetage » dans ce centre d’avortement le 20 décembre ; un tribunal fédéral a ensuite abandonné les accusations d’intrusion portées contre lui et deux autres personnes.
Un autre groupe de pro-vie s’est chargé d’un autre avortoir :
Lire la suiteLe Père Fidelis Moscinski des Frères franciscains du Renouveau, accompagné de quatre pro-vie, conduit l’autre sauvetage de DC ce matin […]
Les démocrates se battent pour la vie des chatons après avoir ignoré celle des bébés nés vivants d'un avortement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Si ! Si ! Si ! Les démocrates au Sénat américain ont demandé la protection des chatons 17 jours après qu’ils aient refusé pour la 17e fois, par leur opposition, que les bébés nés d’un avortement raté soient spécialement protégés par une loi. S'il n'y a pas de l'incohérence dans cette position... Miaou ! Extrait de LifeSiteNews :
Qu’est-ce que les chats possèdent que les nouveau-nés n’ont pas ? Le soutien des démocrates. Dans un mouvement d’une ironie des plus folles dont personne ne parle, les libéraux du Sénat ont choisi ce moment — 17 jours après avoir voté pour tuer les bébés américains en parfaite santé [c’est-à-dire qu’ils se sont opposés à un projet de loi visant à protéger les enfants nés vivants d’un avortement raté] — pour se battre pour le traitement humain des chatons. Peut-être que les stratèges du Comité national démocrate sont sortis déjeuner, ou peut-être que la gauche est vraiment aussi éhontée qu’elle en a l’air, mais j’ai hâte de voir certains de ces politiciens se tenir debout sur les plates-formes de débat l’année prochaine pour dire au peuple américain que quand il s’agit de protéger les êtres vivants : On a préféré les chats aux enfants.
Le point de vue du sénateur Jeff Merkley (délégué démocrate d’Orégon) est plutôt écœurant. Le voici, soutenant que l’Amérique « doit cesser de tuer les chatons », alors qu’il y a trois semaines, il s’est tenu au Capitole américain et a convenu avec 43 démocrates que des êtres humains devraient être éliminés. « La décision de l’USDA d’abattre des chatons après leur utilisation dans la recherche est une pratique archaïque et un traitement horrible, et nous devons y mettre fin », a déclaré M. Merkley avec une passion que lui et ses collègues n’ont pas pu rassembler pour une génération de nouveau-nés parfaitement sains. Son Kittens in Traumatic Testing Ends Now — ou KITTEN — Act n’arrêterait pas la recherche, mais préserverait ces animaux de la destruction.
« La loi KITTEN Act protégera ces animaux innocents contre l’euthanasie inutile dans les tests gouvernementaux, a dit M. Merkley aux journalistes, et fera en sorte qu’ils puissent être adoptés par des familles aimantes. » Est-ce qu’il s’entend au moins ? Ils devraient être traités et adoptés ? C’est exactement ce que les Américains ont demandé pour des bébés vivants et respirants. Les démocrates ont dit non. Tuer un enfant est une « décision personnelle », disaient-ils, et le Congrès ne devrait pas s’en mêler. Quel réconfort pour les survivants de l’avortement comme Melissa Ohden de savoir que, s’ils avaient le choix, les démocrates sauveraient un chat errant plutôt qu’elle.
Une ancienne avorteuse maintenant pro-vie : «Une femme ne peut tuer son enfant et rester indemne»
Le Dr Kathi Aultman parlant lors de la Marche pour la Vie à Washington, le 18 janvier 2019.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
WASHINGTON DC., 18 janvier 2019 (LifeSiteNews) — Lors de la 46e Marche pour la Vie qui s’est tenue le 18 janvier à Washington DC., une ancienne avorteuse a déclaré à une foule immense que la douleur des femmes post-abortives doit être reconnue.
« Une femme ne peut tuer son enfant et rester indemne », a déclaré le Dr Kathi Aultman. « Il y a des millions de femmes aux États-Unis qui ont avorté. Certaines d’entre vous sont ici. »
Elle a ajouté que les femmes post-abortives souffrent et ont besoin de l’aide et de la compassion des pro-vie.
« Elles ont besoin d’entendre que Dieu veut les guérir et les restaurer », a-t-elle ajouté.
Le passage de Mme Aultman de l’avortement à la défense des droits de l’enfant à naître a été l’une des nombreuses étapes de sa carrière et a été entravé par sa position de médecin.
« J’avais l’habitude de penser que l’avortement était un droit de la femme », a déclaré le Dr Kathi Aultman. « Cette croyance s’est renforcée quand je suis tombée enceinte et que j’ai pris la décision de me faire avorter, une décision que j’ai regrettée terriblement plus tard. »
Aultman a révélé que l’establishment médical, en particulier les départements médicaux impliqués dans la santé des femmes, est profondément biaisé du côté de l’avortement.
Lire la suiteTrump blâme les démocrates pour leur extrémisme en matière d’avortement : Les enfants à naître sont «faits à la sainte image de Dieu»
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Washington DC., 5 février 2019 (LifeSiteNews) — Le président Donald Trump a employé son discours sur l’état de l’Union mardi soir pour affirmer le droit à la vie et dénoncer avec force les récentes actions et déclarations extrêmes des démocrates pro-avortement à New York et en Virginie.
« Il n’y a de plus grand contraste que celui entre la belle image d’une mère tenant son nourrisson et les démonstrations effrayantes que notre nation a vues ces jours-ci. Les législateurs de New York se sont réjouis de l’adoption d’une loi qui permettrait qu’un bébé fût arraché du ventre de sa mère quelques instants avant sa naissance », a déclaré Trump (déclarations complètes plus bas).
« Ce sont des bébés vivants, affectueux et beaux qui n’auront jamais la chance de partager leur amour et leurs rêves avec le monde. Et puis, il y a eu le cas du gouverneur de la Virginie qui a déclaré qu’il exécuterait un bébé après sa naissance », ajouta-t-il.
Lire la suiteL’évêque de Spokane : les politiciens pro-avortement ne «devraient pas» recevoir la Communion dans mon diocèse
Mgr Thomas Daly, évêque de Spokane, aux États-Unis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le meurtre d’un enfant à naître est un acte extrêmement grave. Extrait de LifeSiteNews :
Un évêque catholique a averti les politiciens pro-avortement qui se disent « catholiques » et qui résident dans son diocèse qu’ils « ne devraient pas » se présenter pour recevoir la Sainte Communion.
« Les politiciens demeurant dans le diocèse catholique de Spokane, et qui persévèrent obstinément dans leur soutien public à l’avortement, ne devraient pas recevoir la Communion sans avoir d’abord été réconciliés avec le Christ et l’Église », écrit Mgr Thomas Daly, évêque de Spokane, citant le n° 915 du Droit canon [...]
Dans un tweet, l’évêque a dit que « le meurtre délibéré d’enfants à naître est un mal grave » et a appelé les catholiques à lire sa lettre du 1er février.
Selon le n° 915 du Droit canon : « Ceux qui persistent obstinément dans un péché grave manifeste, ne doivent pas être admis à la Sainte Communion. »
Détournement de vérité
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Daniel Jolivet/Flickr
C’est avec étonnement que j’ai lu un article du Journal de Montréal qui, pour une fois, rapportait les faits objectivement.
L’auteur de l’article « Détournement de vérité », Nathalie Elgrably-Lévy, explique avec concision l’affaire qui a été montée autour des jeunes élèves du collège catholique de Covington aux États-Unis :
La vidéo tronquée montrant un jeune pro-Trump face à un Amérindien lors d’une manifestation à Washington s’est avérée un exemple ahurissant de fake news. Les médias ont affublé le jeune de 15 ans des pires épithètes, mais ont présenté l’Amérindien comme un héros. Or, la vidéo complète a prouvé que l’adolescent n’a été ni irrespectueux, ni moqueur, ni violent. Il a plutôt résisté à la provocation avec un sang-froid exemplaire.
Ensuite, Nathalie Elgrably-Lévy explique que les propagandistes de gauche usent couramment de mensonges pour servir leur haine du Président Donald Trump. Elle rappelle aussi que, si la gauche démocrate associe la droite à la violence, au racisme, ou encore au nazisme, cette gauche utilise des exemples de violence tirée de leur propre côté pour illustrer celle de leur ennemie.
Ainsi, c’est la gauche démocrate qui avait été favorable à l’esclavage. C’était un démocrate qui avait fondé le Ku Klux Klan. De nos jours, ce sont plutôt des groupes comme les Antifa qui sévissent. Enfin, le plus savoureux de l’article, Nathalie Elgrably-Lévy démontre que le nazisme était un mouvement… socialiste :
Quant au parallèle avec le nazisme, c’est oublier qu’il désigne l’idéologie du Parti National-socialiste. Oui, socialiste ! Hitler défendait d’ailleurs l’idée d’un État-providence et de syndicats puissants pour éradiquer le capitalisme.
Une petite fausse note peut-être, Nathalie Elgrably-Lévy fait référence à Freude en toute fin de l’article. mais quel bel exposé!
Discours complet du Président Trump pour la marche pour la Vie à Washington
Donald Trump, Président des États-Unis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo officielle de la maison blanche par Shealah Craighead
Voici le texte du discours que le Président des États-Unis, Donald Trump a prononcé hier lors de la Marche pour la Vie à Washington de 2019. C’est la deuxième fois que Trump donne un discours lors d’une Marche pour la Vie, il tient somme toute, un langage très pro-vie. Extrait du The Mike Church Show World HQ :
Je suis très fier d’accueillir des dizaines de milliers de familles, d’étudiants et de personnes de toutes confessions et de tous horizons dans notre capitale nationale à l’occasion de la 46e Marche pour la vie. C’est un mouvement fondé sur l’amour et fondé sur la noblesse et la dignité de toute vie humaine. Quand nous regardons dans les yeux d’un nouveau-né, nous y voyons la beauté, l’âme humaine et la majesté de la création de Dieu.
Nous savons que chaque vie a un sens et que chaque vie vaut la peine d’être protégée. En tant que président, je défendrai toujours le premier droit de notre Déclaration d’indépendance — le droit à la vie. Au cours de ma première semaine au pouvoir, j’ai rétabli la politique de Mexico. Nous avons pris des mesures audacieuses pour protéger les libertés religieuses des médecins, des infirmières et des organismes de bienfaisance comme les Little Sisters Of The Poor (Petites sœurs des pauvres). Nous avons fait une nouvelle proposition visant à empêcher que l’argent des contribuables servant au Title Ten s’en aille financer toutes les cliniques qui effectuent des avortements.
Nous appuyons le choix affectueux de l’adoption et du placement en famille d’accueil, y compris par le soutien de services d’adoption confessionnels. Et j’appuie les efforts du Sénat américain pour rendre permanent l’amendement Hyde, qui interdit le financement de l’avortement par les contribuables dans les projets de loi de dépenses. Aujourd’hui, j’ai signé une lettre que j’ai adressée au Congrès, lui signifiant clairement que s’il m’envoyait une loi qui amoindrissait la protection de la vie humaine je lui opposerai le veto.
Et nous avons l’appui nécessaire pour maintenir ces vetos. Chaque enfant est un don sacré de Dieu. Comme l’indique le thème de la Marche pour la vie de cette année, chaque personne est unique dès le premier jour. C’est une phrase très importante. Unique dès le premier jour. Et si vrai. Je tiens à remercier les Américains qui ont traversé le pays pour marcher pour la vie, et je tiens particulièrement à remercier tant de jeunes gens qui nous donnent espoir en l’avenir.
Ensemble, nous travaillerons pour sauver la vie des enfants à naître, afin qu’ils aient la chance de vivre et d’aimer, de s’épanouir et de rêver, de bénir notre nation et de réaliser leur plein et glorieux potentiel. Je vous remercie. Que Dieu vous bénisse, vous et vos familles, et que Dieu bénisse les États-Unis.