Un enseignant suspendu pour avoir refusé de mentir à ses élèves en leur disant qu’un « garçon biologique peut être une fille »
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Leesburg, Virginie, 1er juin 2020 (LifeSiteNews) — Un enseignant d’une école publique a été placé en congé administratif pour avoir osé informer le conseil scolaire du comté, lors d’une réunion publique, que ses politiques d’affirmation de genre nuisent aux enfants et constituent un abus d’enfant.
Lors d’une audience du conseil des écoles publiques (LCPS) du comté de Loudoun, en Virginie, mardi dernier, l’enseignant de l’école primaire Byron « Tanner » Cross a expliqué qu’il partageait la préoccupation du conseil pour les élèves qui luttent contre la dysphorie de genre, mais qu’il était fortement en désaccord avec les politiques et les méthodes prescrites par le LCPS.
« Je parle par amour pour ceux qui souffrent de dysphorie de genre », a déclaré Cross. « Dimanche dernier, l’émission “60 Minutes” a interviewé plus de trente jeunes qui ont effectué une transition, mais qui ont l’impression d’avoir été induits en erreur en raison de l’absence de réaction critique et de la facilité avec laquelle ils ont pu modifier leur corps en trois mois seulement. Ils sont maintenant en train “détransitionner”. »
« J’aime tous mes étudiants, mais je ne leur mentirai jamais, quelles qu’en soient les conséquences », a poursuivi Ross. « Je suis un enseignant, mais je sers Dieu en premier, et je n’affirmerai pas qu’un garçon biologique¹ peut être une fille et vice versa parce que c’est contre ma religion. C’est mentir à un enfant, c’est abuser d’un enfant, et c’est pécher contre notre Dieu. »
Deux jours après sa présentation, le conseil d’administration de la LCPS a envoyé à M. Cross une lettre indiquant qu’il était placé en congé administratif « dans l’attente d’une enquête sur l’allégation selon laquelle il a eu une conduite qui aurait perturbé le fonctionnement de l’école primaire de Leesburg ».
M. Cross n’a désormais plus accès aux bâtiments et terrains de la LCPS et il lui est interdit de participer aux activités scolaires et extrascolaires.
Lire la suiteProjets de loi pour protéger l’enfant à naître en Floride, Caroline du Sud et au Kentucky
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pickpik
En Caroline du Sud, le Sénat a approuvé en première lecture un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque que l’on peut détecter le battement de cœur de l’enfant à naître, ce qui arrive généralement vers la sixième semaine de grossesse, selon LifeNews :
Le Sénat de l’État de Caroline du Sud approuvé en première lecture un projet de loi qui interdirait les avortements lorsque le cœur du bébé à naître commence à battre. Le vote final devrait avoir lieu jeudi.
Le South Carolina Fetal Heartbeat and Protection from Abortion Act (Senate Bill 1) a reçu un vote favorable par 29 voix contre 17 en deuxième lecture.
Le projet de loi interdirait les avortements après que les battements de cœur du bébé à naître sont détectables, généralement aux alentours six semaines de grossesse.
En Floride, un projet de loi qui interdirait l’avortement lorsque l’enfant à naître est supposé sentir la douleur, ce qui est généralement admis autours des 20 semaines de grossesse (bien qu’il puisse la sentir bien plus tôt) a été introduit au Parlement floridien, selon un autre article de LifeNews :
Deux législateurs de Floride, le sénateur Ana Maria Rodriguez [...] et le représentant Tommy Gregory […] ont déposé le SB 744 & HB 351, intitulé Florida Pain-Capable Unborn Child Protection Act, un projet de loi visant à interdire l’avortement dès le moment où l’enfant à naître ressent de la douleur.
S’il est adopté, ces projets de loi interdiraient l’avortement lorsqu’un enfant à naître a atteint le seuil de développement in utero auquel il est capable de ressentir la douleur. Les preuves scientifiques situent ce moment à environ cinq mois.
Malheureusement, en général, ce type de projets de loi son accompagnés d’exceptions.
Lire la suiteRetour de bâton aux autorités qui ont interdit les offices religieux
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Les autorités avaient cru avoir la partie belle en interdisant les rassemblements religieux au nom du confinement, ce qui au passage montre leur laïcisme viscéral. Cependant, maintenant que le mal a été fait ― Pâques ayant été interdit ― les poursuites pour violations injustifiables des droits (et devoirs) des citoyens en matière religieuse se profilent, tant au Canada qu’aux États-Unis. En Saskatchewan, selon LifeSiteNews :
Les autorités sanitaires d’une province du centre du Canada ont interdit un service en plein air qui eût eu lieu le dimanche de Pâques à une église canadienne d’une petite ville, affirmant que cela aurait constitué un « rassemblement de masse » contrevenant aux ordonnances sanitaires relatives au coronavirus.
Suite à cette interdiction, le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCFF), situé au Canada, a adressé hier un avertissement légal à l’autorité sanitaire de Saskatchewan, indiquant qu’elle violait les droits et libertés des fidèles de l’Église apostolique de Nipawin.
« Nous vous écrivons pour vous faire part de notre inquiétude face aux récentes mesures prises par l’autorité sanitaire de Saskatchewan, qui ont injustement violé les libertés de réunion pacifique, d’association et de religion inscrites dans la Charte », indique l’avertissement légal du JCFF.
L’église de Nipawin, située dans le nord de la Saskatchewan, avait prévu organiser un service du dimanche de Pâques en plein air pour permettre à ses fidèles de se rassembler tout en suivant les directives de santé publique mises en place en raison de la pandémie de coronavirus.
Précisons qu’il s’agit là d’un service religieux protestant, mais si eux réussissaient à obtenir le droit de procéder en paix, je ne vois pas pourquoi les catholiques ne feraient pas de même avec la messe.
Tandis qu’aux États-Unis, selon un deuxième article de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn représentant du département de la Justice des États-Unis s’est engagé à prendre des « mesures » concernant les violations de la liberté de religion des Américains qui ont eu lieu cette semaine.
« Pendant cette semaine sacrée pour de nombreux Américains, A. G. Barr surveille la réglementation gouvernementale des services religieux. Si les politiques de distanciation sociale sont appropriées dans cette situation d’urgence, elles doivent être appliquées de manière équitable et non cibler les organismes religieux. Attendez-vous à une intervention du département de la Justice la semaine prochaine ! » écrivait dans un tweet Kerri Kupec le 12 avril.
Kupec est directeur des communications et des affaires publiques du département de la Justice depuis décembre 2018.
Les démocrates de Virginie adoptent des lois permettant aux non-médecins de pratiquer des avortements
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Ces pro-avortement n’ont pas l’air de se soucier de ce que l’avortement soit moins « sécuritaire » et la femme moins informée à son sujet. Remarquez que cela va à l’encontre de la logique pro-avortement, selon laquelle « normalement » (sont-ils logiques ?) seul un médecin devrait pouvoir pratiquer un avortement afin que celui-ci soit le plus « sécuritaire » possible (ce qui n’est de toute façon pas le cas). Mais il y a une autre façon de penser pro-avortement (qui est au fond celle de base, l’autre n’étant qu’un prétexte) qui veut l’avortement à tout prix, même si cela devait être plus dangereux (mais où sont-elles donc leurs lamentations sur les avortements sanglants à coups de cintres et réalisés dans des arrière-boutiques ?). Selon LifeSiteNews :
Mardi et mercredi, la Chambre et le Sénat de Virginie ont respectivement voté pour autoriser les non-médecins à pratiquer des avortements et pour mettre fin à l'obligation faite aux femmes de passer par une échographie pré-avortement, de bénéficier de conseils et d'une période d'attente de 24 heures.
Le Sénat a voté par 20 contre 20 sur le projet de loi, le sénateur démocrate Joe Morrissey s'opposant à la ligne de son parti et le lieutenant-gouverneur Justin Fairfax faisant basculer l'égalité. Les projets de loi assouplissent également les exigences en matière de santé et de sécurité des centres d'avortement.
Toutes les divergences entre les versions de la Chambre et du Sénat devront être résolues avant que le projet de loi ne soit signé.
Les différences des projets de loi :
Le projet de loi de la Chambre des représentants étendrait la pratique de l'avortement, au cours du premier trimestre de la grossesse, aux sages-femmes, infirmières praticiennes et aux assistants-médecins. Le projet de loi du Sénat n'habilite que les infirmières praticiennes et les sages-femmes, et non les assistants-médecins, à pratiquer des avortements. Les projets de loi suppriment également les exigences relatives à une période d'attente de 24 heures avant qu'une femme enceinte ne subisse un avortement, aux conseils préalables à l'avortement, et à l'échographie. Les échographies sont de toute façon couramment pratiquées dans le cadre des avortements, pour déterminer l'âge du bébé à tuer.
Il a été démontré que le fait de montrer aux femmes leur bébé par échographie contribue à réduire le taux d'avortement.
Les projets de loi ne suppriment pas la nécessité d'obtenir le consentement écrit de la femme enceinte avant d'avorter.
On dit l’avortement être en baisse, sans tenir compte des avortements auto-administrés par pilules
Par Tessa Longbons (LifeSiteNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
8 novembre 2019 (Daily Signal) — Les pro-vie ont annoncé de bonnes nouvelles récemment : le taux d’avortement aux États-Unis est tombé à un niveau record, selon un récent rapport du Guttmacher Institute.
Cependant, le rapport contenait aussi de mauvaises nouvelles. Sur les plus de 860 000 avortements aux États-Unis en 2017, les avortements chimiques ont augmenté de 25 % par rapport à 2014 et représentent maintenant près de 4 avortements sur 10.
Et cela n’inclut pas les avortements effectués soi-même, qui, selon le rapport, sont en hausse.
En 2014, 12 % des centres d’avortement traitaient une femme qui avait tenté un avortement de son propre chef et qui avait souffert de complications, mais en 2017, ce chiffre avait atteint 18%. Ce pourcentage est peut-être encore à la hausse en raison d’Aid Access, une organisation d’avortement relativement nouvelle qui vise à répandre la pratique des avortements chimiques auto-induits aux États-Unis.
Aid Access est une entreprise américaine dérivée de Women on Web, qui est une organisation créée pour la promotion de l’avortement chimique dans les pays où il est interdit par la loi, ou difficilement accessible.
Depuis un an et demi, Aid Access a illégalement expédié plus de 7 000 paquets de pilules d’avortement à des Américaines. Aid Access a publié des témoignages de femmes de Géorgie, du Dakota du Sud, de Pennsylvanie et de Virginie et reconnaît qu’au moins 39 résidentes de l’Idaho ont reçu des pilules.
En mars, la Food and Drug Administration des États-Unis a ordonné à Aid Access de cesser ses activités, mais cette dernière a ignoré l’avertissement et a réagi en intentant un procès contre la FDA. La poursuite d’Aid Access prétend que la FDA a saisi jusqu’à 10 cargaisons de pilules abortives.
Lire la suiteLe message pro-vie d’un couple a encouragé des femmes à ne pas se faire avorter
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Max Pixel
Un couple de Virginiens avait mis sur Facebook un message s’adressant aux femmes enceintes pensant ne pas pouvoir s’occuper de leur enfant à naître une foi né, les encourageant à mettre leur enfant en adoption plutôt que le faire avorter, le couple offrant même de prendre dans leur famille un de ces bébés, selon Breitbart :
Un couple de Virginie est venu à la connaissance du public par le biais d'un message pro-vie sur Facebook, cette année, dans lequel il exhortait les femmes à mettre leur bébé en adoption plutôt que de le faire avorter [...]
Blake et Sarah Thomas, de Radford en Virginie, ont affiché une photo sur Facebook il y a plusieurs mois, encourageant les femmes enceintes prévoyant avorter de n'en rien faire.
« S'il vous plaît, n'avortez pas. Nous allons adopter votre bébé », peut-on lire au bas de la photo.
[…]
Ce couple de Virginie dit que des douzaines de mères leur ont répondu, leur disant qu'elles avaient été inspirées de garder leur bébé après avoir vu leur message sur Facebook.
Actuellement il ont adopté un enfant de onze ans et ne reçoivent plus les messages qui sont redirigés vers un centre de grossesse.
La fédération de dynamophilie révoque les titres de l’athlète masculin qui a «battu» des records féminins
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : qimono/Pixabay
Le monde de l’athlétisme ne peut pas complètement tomber dans le délire idéologique de la théorie du genre, à moins de laisser tomber la section féminine (ce qui ne serait pas plus mal que ça, ce genre de métier d’athlète n’étant typiquement pas féminin). Que se passe-t-il ? Un homme d’abord reconnu comme femme, participe et gagne aux épreuves féminines. Le fait étant flagrant que M. Gregory gagnait trop facilement parce que n’étant pas femme (comme s’il avait fallu attendre qu’il concourût pour qu’on s’en aperçût), on lui a retiré toutes ses victoires qu’il avait volées à la gent féminine… sans péril.
Il demeure tout de même un fait agaçant, c’est que les responsables de ses épreuves athlétiques semblent considérer comme vraie la distinction entre « classification physiologique », selon laquelle ils semblent préférer trier les athlètes (ce qui est sensé), et l’« identification » (auto-identification au sexe opposé). Si l’on suivait une telle distinction, nous pourrions dire qu’il y aurait quatre types de personnes :
- Les hommes-hommes (physiques-selon l’identité).
- Les hommes-femmes (physiques-selon l’identité).
- Les femmes-femmes (physiques-selon l’identité).
- Les femmes-hommes (physiques-selon l’identité).
Et encore faut-il considérer ceux qui ne sont pas opérés ou qui n’ont pas pris d’hormones. En partant de ces quatre catégories, on peut conclure que s’il y en a qui veulent organiser des compétitions transgenres, il faudra probablement mettre en place deux catégories : celle des hommes-femmes et celle des femmes-hommes (au minimum). Cela ne fera sûrement pas l’affaire des transgenres qui veulent avoir les droits du sexe qu’ils revendiquent, mais se retrouvant dans une autre classe que celle recherchée.
Pour couper court à toutes ces spéculations, on ne peut s’empêcher de voir dans ces récents événements la reconnaissance implicite de la part du monde athlétique de la nature physique de la notion d’homme ou de femme, et que l’« identité de genre » ne fera pas de quelqu’un autre qu’il ne l’est. Car les prétentions des transgenres sont réellement d’être femmes quand ils sont hommes et d’être hommes quand ils sont femmes, avec tous les attributs sociaux et officiels qui viennent avec le sexe revendiqué, bien que cela soit, soit impossible, soit non raisonnable, étant donné leur nature propre.
Lire la suitePrès de 7 000 personnes se rassemblent pour la toute première Marche pour la Vie de Virginie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Au passage, n’oubliez pas que la Marche pour la Vie d’Ottawa a lieu le 9 mai prochain et que nous organisons des autobus pour ceux qui sont intéressés à y aller. Extrait de LiveActionNews :
Mercredi, des milliers de Virginiens pro-vie se sont rassemblés devant le Capitole à Richmond. La toute première Marche pour la Vie de Virginie a été inspirée en partie par le projet de loi extrême en faveur de l’avortement proposé en Virginie plus tôt cette année. Le 3 avril était la session Veto de l’Assemblée législative de Virginie, ce qui signifie que tous les législateurs de l’État étaient présents au Capitole pendant le pacifique rassemblement pro-vie.
Selon le Richmond Times-Dispatch, la police du Capitole estime à 6 500 le nombre de participants. Bon nombre d’entre eux portaient des pancartes en support à la vie, dont une pancarte fait-maison annonçant un centre pro-vie de ressources sur la grossesse et une mère et sa fille portant des pancartes disant : « Je pensais que l’avortement était la seule solution... mais je suis partie » ; et « En 1998... j’ai survécu au rendez-vous de ma mère pour un avortement. »
En janvier dernier, une vidéo montrant la députée démocrate Kathy Tran de Virginie admettant que le projet de loi qu'elle présentait autoriserait l'avortement, même lorsque la mère est en travail et sur le point de mettre au monde [...]
[...]
L’événement a été organisé par l’organisation nationale March for Life, la Family Foundation, la Virginia Catholic Conference et la Virginia Society for Human Life. Parmi les conférenciers figuraient Melissa Ohden, survivante de l’avortement, Ryan Bomberger, fondateur de la Radiance Foundation, Jeanne Mancini, présidente de la March for Life, ainsi que plusieurs autres militants pro-vie et législateurs pro-vie de l’État.
Banqueroute morale
Par Paul-André Deschesnes — Photo : Chronomarchie/Pixabay
Madame Nathalie Elgrably-Levy, va-t-elle perdre son emploi comme chroniqueuse au Journal de Montréal ?
Le 8 février 2019, cette courageuse journaliste a écrit un article incroyable [encore que…] intitulé « La faillite morale des démocraties ».
Elle est indignée et écœurée. En Occident nos belles démocraties de gauche revendiquent « le monopole de la compassion et de la supériorité morale ». C’est une des pires supercheries des temps modernes.
Mme Elgrably-Levy crie haut et fort son indignation devant l’horreur qui vient de s’abattre en Virginie aux États-Unis. Regardons les faits en enlevant nos œillères féministes de gauche.
Dans cet état américain, gouverné par les démocrates, on se prépare à voter une loi pour interdire l’épandage d’un insecticide afin de tuer une chenille qui dérange. Il faut bien protéger cette gentille bibitte !
« Au cours de la même journée », nous dit notre brave chroniqueuse, la démocrate gauchiste qui demandait pitié pour les pauvres chenilles, déposait un projet de loi visant à permettre l’avortement sans aucune restriction (comme au Québec et au Canada), même si la mère est en [entrée en travail...]
Lire la suiteUn centre de grossesse de Virginie vandalisé après que l’Assemblée de l’État ait rejeté un projet de loi infanticide
« You hate women » (Vous haïssez les femmes) gribouillé sur une pancarte du Culpeper Pregnancy Center.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jon Russel
Encore un exemple de la haine des partisans de l’avortement. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteQuelques jours à peine après que la Chambre des délégués de Virginie eût rejeté un projet de loi légalisant l’avortement jusqu’à la naissance, un centre d’aide aux femmes enceintes pro-vie de Culpeper, en Virginie, a été vandalisé avec des messages haineux peints au pulvérisateur tôt vendredi matin.
« You hate women » (Vous haïssez les femmes), dit l’un des messages sur le panneau du Culpeper Pregnancy Center, l’un des quatre établissements gérés par The Pregnancy Centers of Central Virginia.
Ce n’était pas tout. Le Culpeper Star-Exponent rapporte :
« Vous haïssez les femmes » et « Jesus hates this [vulgarité effacée] » (Jésus déteste ça) ainsi que « FAKE » (Faux) en grosses lettres noires ont été gribouillées à l’extérieur du petit office situé sur Sunset Lane, tout près du Culpeper Hospital et en face du Farmington Elementary School. Une vitre avant a été brisée et l’un des panneaux centraux a été recouvert de peinture rouge et un visage triste a été dessiné en dessous.