Agitation anticatholique et proavortement en Pologne
Manifestants féministes pro-avortement (communistes ? voyez les poings brandis), sacrilèges par-dessus le marché, interrompant la messe dans la cathédrale de Poznań en Pologne.
Par Sébastien Meuwissen (Visegrád Post) — Photo : WTK/YouTube
Pologne – En Pologne, les féministes radicaux et l’extrême gauche déclarent la guerre au christianisme et au gouvernement. Le jeudi 22 octobre, le Tribunal constitutionnel polonais a jugé les avortements dits eugéniques contraires à la Constitution. Jusqu’à maintenant, les avortements étaient autorisés dans les cas suivants : risque pour la vie de la mère, viol, inceste et « forte probabilité de handicap grave et irréversible du fœtus ou de maladie incurable menaçant la vie. » C’est précisément ce dernier point qui a été actualisé.
En effet, le Tribunal constitutionnel a estimé que le fait de pouvoir décider de la vie ou de la mort d’un enfant à naître sur la base de son état de santé représentait une discrimination et une violation du droit des enfants (la Constitution polonaise stipule qu’on à affaire à un enfant de la conception jusqu’à l’âge de dix-huit ans).
Dès sa publication, cette décision fait loi et ne peut être renvoyée à la Cour d’appel. Il est à souligner que seuls deux juges sur quinze siégeant au Tribunal constitutionnel se sont prononcés contre l’actualisation de la loi. Si les pro-avortement désirent revenir en arrière à ce sujet, il leur faudrait obtenir une majorité des deux tiers au Parlement, ce qui, sur la scène politique polonaise tient pratiquement de la science-fiction dans un futur proche.
Violences et profanations en guise de réponse
À la suite de l’annonce du Tribunal constitutionnel, les mouvements féministes radicaux et d’extrême gauche sont descendus dans les rues des principales villes du pays pour manifester leur colère. En plus de manifester en face des résidences de membres du gouvernement, les groupes de radicaux ont décidé de s’en prendre aux chrétiens. C’est ainsi que le dimanche 25 octobre, de nombreuses organisations catholiques, patriotiques et nationalistes, appuyées par des ultras de football, ont improvisé un plan de défense des lieux de cultes.
Ce plan consiste à placer un petit groupe de personnes (généralement des jeunes hommes) qui montent la garde devant l’entrée des églises afin d’empêcher les manifestants scandant des cris vulgaires de pénétrer à l’intérieur des lieux de culte durant la messe. Malgré cela, il y eut de nombreux cas où les féministes sont entrés dans des églises afin d’y perturber la cérémonie.
Les rassemblements des pro-avortement, aux cris de « c’est la guerre », déclarant la « grève des femmes » et prenant pour symbole un éclair rouge, ont notamment depuis cette fin de semaine causé toute une série de complications, en particulier dans le trafic automobile, rendant le passage difficile même pour les ambulances.
Lire la suiteAprès l’arrestation en Pologne d’un militant LGBT pour des faits de violence, la gauche s’enflamme
Par Olivier Bault (Visegrád Post) — Photo : asier_relampagoestudio/Freepik
L’agression a eu lieu le 27 juin dernier rue Wilcza à Varsovie. Un groupe de militants LGBT a alors encerclé une fourgonnette de l’organisation pro-vie Pro-Prawo do Życia. Parmi eux, Michał Sz., qui semblait entraîner les autres. Le conducteur de la fourgonnette a filmé l’incident, tandis que le passager est descendu et a cherché à calmer les esprits, les pneus du véhicule ayant de toute façon été crevés par les agresseurs. Un des militants LGBT a cherché à le renverser sans y parvenir, mais il a rapidement été aidé par Michał Sz. qui l’a fait tomber à terre avant de lui assener quelques coups puis de le laisser, repartant accompagné de ses acolytes.
Aujourd’hui, sur la base des vidéos en possession du parquet, Michał Sz. est aussi accusé d’être un des auteurs des dommages causés à la fourgonnette (pneus et bâche de la remorque lacérés au couteau, rétroviseur cassé, plaques d’immatriculation arrachées…), et il a en outre appelé ultérieurement, sur les réseaux sociaux, à commettre d’autres agressions physiques du même type contre la fourgonnette de Pro-Prawo do Życia.
Comme nous l’expliquions en mai dernier sur le Visegrád Post à propos des agressions qu’ont à subir régulièrement les militants de Pro-Prawo do Życia :
« Ce qui a énervé les agresseurs, ce sont les inscriptions sur la fourgonnette dans le cadre d’une campagne contre la pédophilie et contre l’imposition dans certaines grandes villes dirigées par les libéraux de la Plateforme civique (PO), dont Varsovie, des Standards pour l’éducation sexuelle en Europe de l’OMS, avec notamment sur le côté du camion les mots suivants, écrits en lettres majuscules :
Qu’est-ce que le lobby LGBT veut enseigner aux enfants ?
- La masturbation à 4 ans,
- Le consentement au sexe à 6 ans,
- Les premières expériences sexuelles et l’orgasme à 9 ans »
Des inscriptions que la justice polonaise a refusé d’interdire au motif que « les informations présentées sur ce panneau et concernant l’éducation sexuelle ne sont pas fausses puisqu’elles proviennent de la matrice de l’éducation sexuelle élaborée par le bureau régional de l’OMS pour l’Europe et le BZgA » et qu’« il est de notoriété publique que le mouvement LGBT est favorable à l’éducation sexuelle selon les standards de l’OMS » (jugement du tribunal de Gdańsk prononcé en 2019, quand le juge a ordonné le retrait provisoire de plusieurs banderoles en attente d’un jugement définitif face à une plainte déposée par des organisations LGBT, tout en autorisant la Fondation Pro-Prawo do Życia à continuer de déployer les banderoles portant l’inscription ci-dessus).
Lire la suiteSofiane Ghazi condamné pour le meurtre de son enfant à naître
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : jcomp/Freepik
Mercredi dernier la Cour supérieure du Québec a rendu son verdict sur les actes de Sofiane Ghazi qui attendait la conclusion de ce procès depuis trois ans. Il écopera dix ans de prison pour le meurtre au deuxième degré de l’enfant à naître que sa femme portait en elle quand il poignarda cette dernière de plusieurs coups, l’enfant étant mort après sa naissance par césarienne. Ayant déjà passé trois ans en prison en attendant l’issue du procès, ce qui compte pour temps et demi, il ne purgera que dix autres années sur les quinze que lui inflige la condamnation, avant de pouvoir demander une libération conditionnelle. Radio-Canada rapporte :
La peine a été imposée mercredi matin par le juge Jean-François Buffoni, de la Cour supérieure au palais de justice de Montréal, qui a qualifié ces crimes d’horribles, d’une cruauté extrême, commis dans un contexte d’extrême violence conjugale.
En juillet 2017, Sofiane Ghazi avait poignardé 19 fois son épouse, dont 12 fois du côté gauche de son ventre et 7 fois dans le haut de sa cuisse gauche.
Parmi ces nombreux coups portés avec une fourchette à viande, neuf ont blessé le bébé qui se trouvait dans le ventre de sa mère, alors enceinte de 36 semaines.
Les voies de fait perpétrées sur son épouse lui ont valu onze ans de prison qu’il purgera en même temps que l’autre peine… curieux système. Enfin, la reconnaissance de la gravité de son acte envers l’enfant à naître aura alourdi quelque peu le poids de la sentence.
Mais remarquez qu’il aurait tout aussi bien pu ne pas se faire condamner pour meurtre si son enfant à naître était mort avant la naissance, étant donné l’état lamentable de la législation canadienne. Oui ! Pour les mêmes coups de fourchette, si l’enfant à naître était mort avant de naître il n’aurait pas été reconnu comme personne humaine digne d'être défendue par la loi, par contre mourant après avoir été extrait du ventre de sa mère blessée, il devenait un être ayant le droit d’être défendu et d’être vengé.
Voyez-vous l’horreur et le grotesque que constitue la légalisation (ou plutôt la décriminalisation dans le cas du Canada) de l’avortement ? L’être humain, avant qu’il ne soit né, peut se faire tuer selon le bon plaisir de sa mère, jusqu’à la naissance, et se faire assassiner par un individu sans qu'il n'encoure une condamnation pour meurtre.
La loi est juste, car elle condamne le meurtre d’un enfant à naître, mais elle est illogique et injuste, car elle laisse impunis les millions de meurtres d’enfant à naître canadiens perpétrés depuis la décriminalisation de l’avortement, dans le pays allant d’un océan à l’autre.
Inutile de souligner que Radio-Canada emploie le mot « bébé » pour ce qu’il aurait sans doute appelé un « fœtus » dans le cas d’un avortement…
Homos et lesbiennes courraient un risque plus grand d'agression de leur « partenaire » que les hétéros
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Ake/Rawpixel
D’après le National Intimate Partner and Sexual Violence Survey du CDC, sur l’ensemble de leur vie, les femmes homosexuelles ont une probabilité plus importante d’être victime de violences de la part de leur partenaire que les femmes hétérosexuelles.
Dans le cas des viols, la comparaison entre lesbiennes et hétérosexuelles était impossible, car l’erreur type était trop importante, mais notez que les femmes bisexuelles ont une probabilité plus de 2 fois plus importante d’être violées par leur partenaire que les hétéros.
Une étude de Statistique Canada indique par exemple qu’au cours de l’année 2004, 15 % des homosexuels et des lesbiennes ont été victimes de violences conjugales contre 7 % des hétéros.
Selon le site rezosante.org, certains chercheurs américains considèrent même que la violence conjugale est le 3e problème de santé chez les homosexuels, après le VIH et la consommation de drogue.
Une méta-analyse italienne qui souligne que la violence chez les homosexuels est probablement sous-déclarée, de peur que celle-ci serve à stigmatiser les homosexuels, conclut :
Malgré le mythe selon lequel la violence envers les partenaires intimes (VPI) n’est un problème que dans les relations hétérosexuelles, son apparition parmi les couples LGB s’est avérée comparable ou supérieure aux cas hétérosexuels (Messinger, 2011 ; Kelley et al., 2012 ; Barrett et St.Pierre, 2013 ; Breiding et al., 2013). [...]
Même s'il existe quelques études sur la violence entre partenaires intimes de même sexe (SSIPV), elles soulignent que le phénomène se produit à un taux comparable (Turell, 2000) voire plus élevé que le VPI hétérosexuel (Messinger, 2011; Kelley et al. , 2012; Barrett et Saint-Pierre, 2013).
[...]
Cependant, selon l’un des rapports d’étude les plus récents et les plus représentatifs, près d’un tiers des hommes des minorités sexuelles et de la moitié des femmes des minorités sexuelles aux États-Unis ont affirmé avoir été victimes d’abus physiques ou psychologiques dans une relation amoureuse. De plus, plus de 50 % des hommes gais et près de 75 % des femmes lesbiennes ont déclaré avoir été victimes de VPI psychologique (Breiding et al., 2013). Breiding et coll. (2013) ont identifié que 4,1 millions de personnes de la communauté LGB ont subi la VPI au cours de leur vie aux États-Unis.
La prévalence du VPI au cours de la vie dans les couples LGB semble être similaire ou supérieure à celle des couples hétérosexuels : 61,1 % des femmes bisexuelles, 43,8 % des femmes lesbiennes, 37,3 % des hommes bisexuels et 26,0 % des hommes homosexuels ont subi la VPI au cours de leur vie, tandis que 35,0 % des femmes hétérosexuelles et 29,0 % des hommes hétérosexuels ont subi le VPI. Lorsque les épisodes de violence grave étaient pris en compte, la prévalence était similaire ou plus élevée chez les adultes LGB (femmes bisexuelles : 49,3 % ; femmes lesbiennes : 29,4 % ; hommes homosexuels : 16,4 %) par rapport aux adultes hétérosexuels (femmes hétérosexuelles : 23,6 % ; hommes hétérosexuels : 13,9 %). (Breiding et al., 2013).
Ces faits n’ont pas empêché Alice Coffin, élue « écologiste » française d’affirmer à la télévision : « Ne pas avoir un mari, ça m’expose plutôt à ne pas être violée, ne pas être tuée, ne pas être tabassée. »
Montée de la haine en Pologne : les pro-avortements et les pro-LGBT se déchaînent
Par Olivier Bault (Visegrád Post)
Pologne — Même si les initiatives citoyennes visant à restreindre les possibilités d’avorter en Pologne ont jusqu’ici été bloquées par la majorité parlementaire PiS, depuis l’arrivée des conservateurs au pouvoir à l’automne 2015 une partie de l’opposition s’est saisie du sujet pour tenter de retourner les électeurs en leur faveur. Les campagnes de désinformation menées par certains leaders politiques et certains médias ont ainsi contribué à instaurer un climat de haine à l’encontre des défenseurs du droit à la vie. Ceux-ci sont malheureusement le plus en plus souvent l’objet d’attaques verbales d’une rare violence qui dégénèrent parfois en violences physiques. C’est ainsi que le 26 avril dans une rue de Varsovie, plusieurs voitures conduites par des hommes ont barré la route à une fourgonnette de la fondation pro-vie Pro-Prawo do Życia (Pro-Droit à la vie). Les agresseurs ont alors crié au chauffeur de la fourgonnette d’aller se faire […] qu’il était une ordure et qu’ils allaient lui « casser la gueule ».
Photo de l’agression du 26 avril, partagée sur Twitter par le président d’Ordo Iuris.
Ce qui a très probablement énervé les agresseurs, ce sont les inscriptions sur la fourgonnette dans le cadre d’une campagne contre la pédophilie et l’imposition dans certaines grandes villes dirigées par les libéraux de la Plateforme civique (PO), dont Varsovie, des Standards pour l’éducation sexuelle en Europe de l’OMS, avec notamment sur le côté du camion les mots suivants, écrits en lettres majuscules :
Qu’est-ce que le lobby LGBT veut enseigner aux enfants ?
- La masturbation à 4 ans,
- Le consentement au sexe à 6 ans,
- Les premières expériences sexuelles et l’orgasme à 9 ans
Des inscriptions que la justice polonaise a refusé d’interdire au motif que « les informations présentées sur ce panneau et concernant l’éducation sexuelle ne sont pas fausses puisqu’elles proviennent de la matrice de l’éducation sexuelle élaborée par le bureau régional de l’OMS pour l’Europe et le BZgA » et qu’« il est de notoriété publique que le mouvement LGBT est favorable à l’éducation sexuelle selon les standards de l’OMS » (jugement du tribunal de Gdańsk prononcé en 2019, quand le juge a ordonné le retrait provisoire de plusieurs banderoles en attente d’un jugement définitif face à une plainte déposée par des organisations LGBT, tout en autorisant la Fondation Pro-Prawo do Życia à continuer de déployer les banderoles portant l’inscription ci-dessus).
Lire la suiteLe prêtre qui a brûlé les Pachamama parle : elles « parodient » Notre Dame de Guadalupe
Par Bree A. Dail (LifeSiteNews) — Traduit par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : capture d'écran vidéo
Notre-Dame de Guadalupe est la patronne des pro-vie, aussi ne saurions-nous rester indifférents aux actes d’idolâtrie rendus aux statuettes de Pachamama, parodies de N.-D. de Guadalupe selon un exorciste mexicain, actes qui, outre leur sens idolâtre, blasphèment contre la Sainte Vierge par le culte qu’ils rendent à une caricature diabolique de l’Auguste Mère de Dieu.
Si nous parlons de cette affaire, c’est également parce que l’un des buts de notre organisme est de promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun. Et un autre, de promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes.
Pour promouvoir la foi chrétienne il faut donc la défendre de toutes atteintes qui lui sont portées. — A. H.
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Les « Pachamama » vénérées de manière idolâtre au Vatican et dans la ville de Rome au moment du synode sur l’Amazonie étaient une « parodie » de la Vierge de Guadalupe, selon un exorciste mexicain cité par le prêtre qui a brûlé des effigies de la statuette il y a quelques jours au cours d’un rite de réparation que l’on peut voir ici sur le blog d’Yves Daoudal.
Ce prêtre catholique de l’archidiocèse de Mexico, le P. Hugo Valdemar Romero, a expliqué dans un entretien avec LifeSiteNews pourquoi il a décidé de brûler des statues païennes de la « Pachamama ». Son geste, visant à expier le péché public d’idolâtrie au synode sur l’Amazonie, se justifiait par la « loi de Dieu », a-t-il déclaré.
La vidéo de la cérémonie qui a eu lieu en fin de semaine dernière est vite devenue virale sur les réseaux sociaux.
Le P. Hugo Valdemar Romero, ancien porte-parole de l’Archidiocèse de Mexico, actuellement grand pénitencier, a déclaré à LifeSiteNews qu’il avait invité les fidèles à participer à cette cérémonie en raison du « scandale et de la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, réalisés au Vatican avec les idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie ».
Voici ma traduction intégrale de l’interview du P. Hugo Valdemar Romero avec Bree A. Dail de LifeSiteNews.
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Qu’est-ce qui a inspiré votre geste, c’est-à-dire la décision de prendre la tête des fidèles pour prononcer des prières de réparation, puis brûler les effigies de la Pachamama ?
Ce sont le scandale et la douleur causés par les graves actes d’idolâtrie, perpétrés au Vatican avec des idoles amazoniennes pendant le synode sur l’Amazonie. De nombreux fidèles, très blessés et en colère, se sont tournés vers moi ; ils nous demandaient (au clergé) de faire quelque chose pour montrer que nous rejetions l’idolâtrie et pour demander pardon à Dieu pour tant de sacrilèges et de profanations. J’ai donc décidé de faire ces actes de réparation.
Avez-vous parlé à des exorcistes d’Amérique latine et croyez-vous que ces rituels relevaient d’une influence démoniaque ?
Oui, j’ai parlé à un exorciste de Mexico qui m’a affirmé que la figure de la Pachamama était une parodie de la Vierge de Guadalupe. La Sainte Vierge, Notre Dame de Guadalupe apparaît dans sa sainte image comme une femme enceinte. Elle est venue pour donner naissance à Jésus, Lumière du Monde et seul Vrai Dieu, le seul but de notre vie. Elle est venue comme la Femme de l’Apocalypse, revêtue de soleil, et la lune à ses pieds. Cette Pachamama, en revanche, est sur le point de donner naissance à une créature rouge, de couleur démoniaque, et cette créature n’est rien de moins qu’une « nouvelle église ». Cette « église » est née du synode qui vient de s’achever — cette soi-disant « église à visage amazonien » qui prétend célébrer des rites orthodoxes, mais qui promeut (la notion de) diacres féminins et de prêtres mariés, l’exact contraire de la doctrine catholique et de la tradition de l’Église (romaine).
Dans votre vidéo, nous vous voyons parler de Notre-Dame de Guadalupe. A S. Maria in Traspontina, l’image de Notre-Dame de Guadalupe pouvait se voir, poussée sur le côté d’un des autels latéraux — où les Pachamamas ont été placées. Estimez-vous que c’est important ?
Bien sûr, c’est la grande imposture de la déesse satanique Pachamama. Elle cherche à usurper la place de Notre Dame de Guadalupe, à ôter de la foi catholique Celle qui est la Mère du Vrai Dieu, et à mettre à la place de Notre Dame la Terre-Mère, qui en réalité est idolâtrie, panthéisme et superstition.
Lire la suiteDes féministes pro-avortement ont tenté d’incendier la cathédrale de Mexico
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
Mexique — Samedi, à Mexico, les mouvements féministes pro-avortement ont organisé une manifestation très anti-catholique et très violente.
La capitale mexicaine s’attendait à une « marée verte » (la couleur choisie par ces mouvements pro-avortement) dont la christianophobie ne faisait aucun doute. S’attendant à ce que les lieux de culte soient pris pour cibles, des fidèles avaient constitué des chaînes humaines pour faire rempart.
Mais les furies féministes pro-avortement, assistées par des groupuscules communistes et anarchistes, ont assiégé la cathédrale de Mexico avec la ferme intention de l’incendier !
L'employé transgenre d'un café injurie une activiste pro-famille de 23 ans et la met à la porte
Marilyn Synek, employée du Nebraska Family Alliance.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Et voilà un transgenre pris sur le fait en train d’intimider une personne ordinaire. Attendez, qui déjà, d’après ce que l’on entend dire, subirait la haine et l’intimidation des « cisgenre » (les personnes normales dans le jargon LGBT+) ? Extrait de LifeSiteNews :
La semaine dernière, un serveur transgenre a insulté une cliente régulière du café où il travaillait, et l’a mise à la porte après avoir découvert qu'elle était une activiste pro-vie et pro-famille.
Le café Cultiva Espresso & Crepes de Lincoln, au Nebraska, a congédié l'employé belliqueux et s'est excusé auprès de Marilyn Synek, mais a ensuite fait marche arrière sous la pression des médias. Mlle Synek est une jeune diplômée d'université aux manières douces qui travaille pour la Nebraska Family Alliance et a effectué un certain nombre de stages pro-vie et conservateurs.
« L'une de mes traditions hebdomadaires préférées est de commencer ma journée à 7 heures du matin par un petit-déjeuner Cultiva », explique Synek dans un post du 11 septembre sur Facebook. « Je le fais loyalement une fois par semaine depuis que j'ai déménagé à Lincoln. Aujourd'hui, un employé du magasin s'est approché de moi et m'a dit : "Marilyn Synek ! Je ne vous avais pas reconnue jusqu'à maintenant, mais je viens de réaliser qui vous êtes, ce que vous représentez et le travail que vous faites. Vous êtes une *** ordure fanatique, et nous ne voulons pas de vous dans notre restaurant. Plus de 80% des gens qui travaillent ici sont queers. Vous n'êtes pas *** bienvenue dans notre restaurant, alors sortez et ne revenez pas ! Si vous essayez de revenir, nous refuserons tous de vous servir." Plusieurs autres clients étaient présents dans le café et ont pu voir l'incident se produire. »
« Je n'ai jamais diffusé mes opinions politiques dans la boutique auparavant, et j'ai toujours traité les employés de Cultiva avec respect et courtoisie, » poursuivit Mlle Synek [...]
Après que l'histoire eut fait l'objet d'une première couverture dans la presse conservatrice et qu'un des propriétaires de Cultiva eut contacté Synek pour s'excuser et lui dire qu'elle était la bienvenue au café (Synek a écrit sur Facebook qu'elle avait accepté les excuses), le récit a commencé à se transformer en une histoire de victime transgenre. La nouvelle employée de la Nebraska Family Alliance, « la source de beaucoup de stress personnel » ?
Des pro-avortement contre-manifestent violemment contre la 10e Marche pour la Vie de Zurich
Émeutes anti-Sarkozy, Place de la Bastille, le 6 mai 2007.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Mikael Marguerie/Wikimedia Commons/Flickr
À l’image de l’avortement qu’ils défendent, ces gens sont violents. Extrait de LifeSiteNews :
Le 17 septembre dernier, la dixième Marche pour la Vie à Zurich a été perturbée par de violents manifestants de gauche anti-vie, dont au moins 175 ont été arrêtés par la police, certains de ceux-ci pour résistance aux autorités et violence.
Des militants pro-vie pacifiques ont défilé sous la devise « Merci de m’avoir permis de vivre ! » dans la métropole suisse samedi dernier. Des militants pro-vie d’Autriche, d’Allemagne et de Pologne se sont joints à la marche, qui comptait plus de 1 200 participants. Les pro-vie se sont mobilisés avec des banderoles qui appelaient à un retour à la protection de la vie humaine à naître.
Selon des rapports locaux, malgré une forte sécurité pour protéger les pro-vie, les contre-manifestants sont devenus violents. Dans le passé, les militants pro-vie avaient dû annuler des événements en raison de menaces de violence [...] Les contre-manifestants pro-avortement ont jeté des bouteilles et des pierres sur la police, en en blessant deux. La police a tiré des balles en caoutchouc et des gaz irritants sur les contre-manifestants et leur marche non autorisée. La police a également séparé les deux groupes et a brièvement interrompu le déroulement de la marche pro-vie. La marche a repris à 15 h 45, heure locale.
Les contre-manifestants ont mis le feu à plusieurs poubelles et bloqué les rues avec des débris. Ils ont également attaqué les pompiers qui sont venus éteindre l’incendie. Certains des pompiers ont été blessés par les troupes pro-avortement. Selon 20 Minuten, un véhicule de police a été gravement endommagé dans la bagarre.
[...]
En dépit d’une pétition diffusée par les chrétiens en février, le gouvernement suisse a semblé indifférent au rétablissement de la protection de la vie humaine à naître. La pétition comptait 24 000 signataires, qui ont demandé au gouvernement suisse de « sensibiliser le public aux conséquences de l’avortement ». Selon les pétitionnaires, les hôpitaux et les centres d’avortement n’offrent que des informations partiales sur l’avortement et ses conséquences.
L’homme qui avait poignardé sa conjointe enceinte, tuant le bébé, retire sa déclaration de culpabilité
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Petr Kratochvil/PublicDomainPictures
Sofiane Ghazi a donc changé de position deux semaines après avoir plaidé coupable aux accusations de meurtre de son bébé proche de naître et de voies de faits graves sur sa conjointe, prétextant que ses avocats l’avaient mal conseillé et refusant de continuer le procès avec leur aide.
Le procès reprendra donc sur une nouvelle lancée pour déterminer, entre autres, si l’enfant à naître de 36 semaines de grossesse mourut quelques minutes après la naissance ou avant de naître, par césarienne. Car au Canada, d’après Radio-Canada :
En vertu de la loi, tant qu’il n’est pas né, l’enfant n’a pas de statut juridique. Par contre, si le bébé est mort après avoir vu le jour, il est considéré comme un être humain et des accusations de meurtre peuvent alors être portées.
Si cette loi illogique n’avait des applications sérieuses et même graves, on pourrait en rire comme d’un exemple affligeant et farfelu de la législation d’un royaume imaginaire.
D’après Radio-Canada, ce procès soulevait, donc soulèvera, des questions délicates :
Ce procès très médiatisé soulevait certaines considérations délicates sur le statut du fœtus [humain], puisqu’au Canada, si l’enfant se trouve encore dans le ventre de sa mère lors de sa mort, celui ou celle qui a provoqué sa mort ne peut être accusé du meurtre.
L’interruption du procès (ou plutôt abréviation) avait sans doute dû soulager les milieux de militantisme proavortement, qu’inquiète sans doute un possible regain d’intérêt pour cette affaire dont l’une des deux victimes, le bébé, était tout aussi vivant dans le ventre de sa mère que peu après en dehors. Car, quelle est la différence entre une « interruption de grossesse » (avortement) ou l’on empoisonne, écrase, démembre ou aspire l’enfant à naître, traitement dont il se tire rarement vivant hors du corps de sa mère, et des coups de fourchette à viande ? Les gens ordinaires peuvent comprendre ce genre de chose, et les partisans de l’avortement n’aiment pas que ceux-ci réalisent qu’on leur cache quelque chose.