Un médecin belge « complète » une euthanasie avec un oreiller
Par Wesley J Smith (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Joeahead/Adobe Stock
Cet article a été publié par National Review en ligne le 9 septembre 2023.
L’euthanasie n’est pas une pratique médicale. Elle ne fait que donner une patine « médicale » à l’homicide.
La preuve : lorsqu’un médecin a tenté de faire une injection létale à une patiente à sa demande et qu’elle n’est pas morte, il l’a étouffée avec un oreiller. Extrait de l’article du Daily Telegraph New Zealand :
Une femme belge en phase terminale a été « euthanasiée » par un médecin qui l’a étouffée avec un oreiller après que les médicaments létaux qu’elle avait demandé qu’on lui administre pour mettre volontairement fin à sa vie se soient révélés insuffisants, selon les médias belges... Le cocktail de médicaments n’ayant pas eu l’effet escompté, le médecin aurait utilisé un oreiller pour étouffer la femme et mettre fin à ses jours. L’autopsie a révélé des signes de suffocation, rapporte 7sur7.
Un spécialiste de l’euthanasie médicalisée n’est pas satisfait des modalités de la mort :
Lire la suite« Ce qui s’est passé n’est pas une euthanasie », a déclaré Jacques Brotchi, médecin et homme politique belge, au micro de RTL Info. « Une telle définition de cette terrible situation dévalorise le geste de l’euthanasie, qui accompagne une personne jusqu’à la fin sans douleur ».
Des pro-avortement frappent des conseillers de trottoir pro-vie devant le Planned Parenthood de Washington
Michael Gribblin attaqué par un pro-avortement devant le Planned Parenthood de Washington D.C.
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
24 juillet 2023, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — Des partisans de l’avortement ont attaqué deux militants pro-vie qui prodiguaient des conseils sur le trottoir devant le méga-centre d’avortement de Planned Parenthood à Washington, D.C., samedi. Malgré la vidéo des attaques, la police de D.C. ne portera pas d’accusations, ont déclaré les militants pro-vie.
Progressive Anti-Abortion Uprising (PAAU) est un groupe anti-avortement qui s’allie à des libéraux sur d’autres questions, notamment le soutien à Black Lives Matter et à ce qu’il appelle les « droits des trans », selon son site internet. Samedi, des membres du groupe ont également été attaqués dans un autre lieu où ils distribuaient gratuitement des fournitures pour aider les femmes enceintes et les mères.
Des militants de l’avortement ont « agressé » Terrisa Bukovinac et Michael Gribbin, tous deux membres du PAAU, « devant le Planned Parenthood de Washington » samedi matin, selon un communiqué de presse du groupe.
Mme Bukovinac a déclaré que « l’incident a commencé lorsqu’une femme s’est approchée d’elle et lui a jeté du café au visage et dans les cheveux. Lorsque Gribbin a voulu saisir la tasse de café, son partenaire masculin l’a agressé », précise le communiqué de presse. La vidéo montre également Mme Bukovanic se faire gifler par la femme qui lui a jeté du café au visage.
La police de Washington a refusé de porter des accusations, selon les militants anti-avortement, malgré les preuves vidéo de l’agression (attention, grossièretés). LifeSiteNews a contacté le bureau des relations avec les médias de la police de D.C. lundi, mais a été dirigé vers une boîte vocale.
Lire la suiteLe Canada abandonne-t-il ses femmes enceintes ?
Par Liana Gordon (The Interim) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Unsplash
Arianna Goberdhan avait 27 ans lorsqu’elle a été brutalement assassinée par son mari à Pickering, en Ontario. Elle était enceinte de neuf mois de leur bébé, Asaara, le premier petit-enfant de Sherri Goberdhan. Selon elle, Asaara avait de longs cils et des cheveux noirs, tout comme sa mère. Bien qu’elle repose dans les bras de sa mère, la loi canadienne reconnaît qu’une seule victime a été enterrée ce jour-là.
Cette histoire s’est répétée au moins 80 fois dans l’histoire récente du Canada.
Le corps de Carolyn Marie Sinclair, enceinte, a été découvert dans un sac à ordures à Winnipeg. Bien qu’il ait tué deux femmes — dont l’une était enceinte — et qu’il ait été condamné à 99 reprises, son meurtrier ne fait face qu’à 18 ans de prison.
Liana White avait 29 ans et était enceinte de quatre mois de son deuxième enfant lorsqu’elle a été assassinée à Edmonton. Son meurtrier a bénéficié d’une libération conditionnelle partielle sous la forme de multiples permissions de sortir sans surveillance après avoir purgé 15 ans de prison et a obtenu une libération conditionnelle totale en juin.
Cheryl Bau-Tremblay avait 28 ans lorsqu’elle a été assassinée par son ex-mari à Belœil, au Québec. Bien qu’elle ait été enceinte de cinq mois, aucune charge supplémentaire n’a été retenue contre son meurtrier pour la mort de son enfant à naître. Son meurtrier a été condamné à 12 ans de prison sans possibilité de libération conditionnelle.
Lire la suiteLes pro-vie de Baltimore sauvagement agressés devant l’avortoir de Planned Parenthood s’expriment
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jim Hale
Quelques jours après l’agression brutale, Mark Crosby et Dick Schaefer, conseillers pro-vie sur le trottoir, sont retournés au Planned Parenthood de Baltimore où ils exercent fidèlement leur ministère en priant, en distribuant des chapelets et en exhortant les femmes enceintes à choisir la vie.
1er juin 2023, Baltimore (LifeSiteNews) — Les deux conseillers catholiques pro-vie âgés qui ont été violemment agressés devant la clinique d’avortement de Planned Parenthood à Baltimore ont parlé à Jim Hale de LifeSiteNews dans un reportage vidéo le 1er juin.
Dans la vidéo, les hommes décrivent l’attaque et appellent les hommes catholiques plus jeunes à soutenir les conseillers de trottoir qui risquent leur propre sécurité physique pour essayer de protéger les enfants à naître.
LifeSiteNews a précédemment rapporté que les activistes pro-vie Mark Crosby, 73 ans, et Dick Schaefer, 80 ans, ont été attaqués alors qu’ils exerçaient leur ministère pro-vie sur le trottoir devant le centre d’avortement Planned Parenthood sur North Howard Street à Baltimore.
Schaefer se serait rétabli chez lui, mais Crosby s’est rendu au centre de traumatologie de l’Université du Maryland pour y être soigné de graves blessures au crâne et à l’orbite d’un œil, ainsi qu’aux genoux et aux doigts.
Son œil droit est devenu aveugle et il a subi une commotion cérébrale.
Dans le rapport vidéo du 1er juin, Hale note que cinq jours seulement après avoir été sauvagement battus, Crosby et Schaefer étaient déjà de retour devant le Planned Parenthood de Baltimore où ils effectuent le travail souvent ingrat et parfois dangereux de prier devant la clinique d’avortement, de distribuer des chapelets et d’exhorter les mères enceintes à choisir la vie.
Lire la suiteDes transgenres agressent une championne de natation parce qu’elle demande que le sport féminin soit réservé aux femmes
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info)
Riley Gaines, une nageuse de l’Université du Kentucky, 12 fois championne, a été agressée à l’Université d’État de San Francisco par un groupe de militants pro-transgenres et a été évacuée sous protection policière. Riley Gaines devait prononcer un discours défendant le sport féminin, qui est affecté par la participation d’athlètes transgenres biologiquement masculins.*
Riley Gaines avait déjà dénoncé la participation du nageur transgenre Lia Thomas aux championnats universitaires féminins.
Le grand avantage physique de Thomas sur ses rivales a suscité beaucoup de controverses et de nombreuses voix se sont élevées contre cette intrusion des hommes se déclarant femmes dans des compétitions féminines. Riley Gaines avait déjà prononcé un discours énergique contre cette dérive.
Elle avait dit alors :
« Je suis l’une des 200 nageuses papillon les plus rapides de tous les temps, mais le 17 mars de l’année dernière, mes coéquipières et moi, ainsi que d’autres nageuses d’autres universités, avons été contraintes de concourir contre un homme biologique nommé Lia Thomas. Thomas a été autorisé à concourir dans la division féminine après avoir fait partie de l’équipe masculine de natation de l’Université de Pennsylvanie pendant trois ans. Nous avons vu Thomas remporter le titre national au 500 m libre, battant les athlètes féminines les plus impressionnantes et les plus établies du pays, y compris les détentrices de records nationaux et olympiques. »
Riley Gaines a également dénoncé le fait d’avoir été forcée de partager un vestiaire avec quelqu’un qui avait encore des organes génitaux masculins.
Riley Gaines est devenue la cible des militants transgenres et LGBT.
La nageuse a assuré qu’elle refusait de se taire malgré cette agression.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » (ou de personnes biologiquement masculines) quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
Tucker Carlson : la fusillade de Nashville prouve que « le mouvement transgenre cible les chrétiens »
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie
31 mars 2023 (LifeSiteNews) — Au lendemain de la tragique tuerie commise par une femme souffrant de confusion du genre dans une école chrétienne, l’animateur de Fox News Tucker Carlson a déclaré que le mouvement transgenre « s’en prend aux chrétiens ».
Le commentateur conservateur a fait ces remarques lors de l’émission « Tucker Carlson Tonight » de mardi, un jour après qu’Audrey Hale — qui s’identifie comme un « homme transgenre » — ait tué trois enfants de 9 ans et trois adultes dans une école primaire privée presbytérienne à Nashville, dans le Tennessee.
« Le mouvement transgenre s’en prend aux chrétiens, y compris par la violence », a déclaré M. Carlson après avoir souligné que la tragédie n’était pas « accidentelle ». « Le mouvement transgenre est l’image inversée du christianisme et donc son ennemi naturel. »
« Dans le christianisme, le prix de l’admission est de reconnaître que l’on n’est pas Dieu. Les chrétiens admettent ouvertement qu’ils n’ont aucun pouvoir réel sur quoi que ce soit... Le mouvement transgenre adopte le point de vue opposé. L’idéologie trans prétend dominer la nature elle-même. Nous pouvons changer l’identité avec laquelle nous sommes nés, vous diront-ils avec une certitude aveugle. Les chrétiens ne pourront jamais être d’accord avec cette affirmation, car ils croient qu’il s’agit de pouvoirs que Dieu seul possède », a-t-il déclaré.
M. Carlson a poursuivi en affirmant que certains partisans de l’idéologie transgenre sont « enragés » par le fait que les chrétiens rejettent leurs croyances. « Les gens qui se prennent pour Dieu ne supportent pas qu’on leur rappelle qu’ils ne le sont pas », a-t-il déclaré.
Lire la suiteLa violence est au cœur même du mouvement radical pour l’avortement au Canada
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Miguel Bruna/Unsplash
16 mars 2023 (LifeSiteNews) — Si vous écoutez le premier ministre Justin Trudeau, Joyce Arthur de la Coalition pour le droit à l’avortement au Canada, ou une grande partie des médias canadiens, vous pourriez avoir l’impression que les militants de l’avortement et les cliniques d’avortement ont besoin d’être protégés contre les pro-vie pacifiques. C’est pourquoi les politiciens progressistes de tout le pays ont adopté des « zones tampons » autour des cliniques d’avortement, et pourquoi Arthur et d’autres ont accusé les pro-vie de violence simplement pour avoir souligné que l’avortement est un acte de violence qui met fin à la vie d’un enfant humain.
C’est pourquoi je félicite CTV Kitchener d’avoir rapporté une histoire qui aurait ordinairement été ignorée par les médias canadiens :
Lire la suiteUne femme de 28 ans de Guelph a été accusée d’agression armée après avoir prétendument jeté du café sur deux manifestants anti-avortement au centre-ville. Selon la police, l’incident s’est produit mardi vers 9 h 30 près du chemin Eramosa et de la rue Woolwich.
La police indique que les deux pro-vie manifestaient silencieusement lorsque l’accusée est passée en voiture et a fait un « geste obscène » à leur égard. La police affirme que la femme s’est ensuite arrêtée à proximité et a jeté le contenu d’un thermos sur les manifestants, qui ont tous deux reçu du café. La conductrice aurait également déclaré que si les manifestants étaient toujours là dans une heure, elle reviendrait « avec des balles ». La police a retrouvé la femme un peu plus loin et l’a inculpée de deux chefs d’agression armée et de deux chefs de menaces. Elle doit comparaître devant un tribunal de Guelph le 2 mai.
Deux militants de l’avortement arrêtés pour attaques contre des centres de grossesse pro-vie
Par Steven Ertelt (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : andranik123/Adobe Stock
Le ministère de la Justice a finalement arrêté et inculpé des militants de l’avortement en relation avec 250 autres cas de violence contre des églises et des centres de grossesse.
Deux résidents de Floride ont été inculpés par un grand jury fédéral [le « grand jury », à ne pas confondre avec le jury, est un trait particulier de la justice américaine, il est composé de juristes qui décident s’il y a assez de preuves réunies pour qu’il y ait un procès] pour avoir écrit des menaces au jet de peinture sur des centres de grossesse pro-vie qui offrent aux femmes des alternatives à l’avortement. L’acte de mise en examen, rendu par un grand jury fédéral dans le Middle District of Florida, allègue que Caleb Freestone, 27 ans, et Amber Smith-Stewart, 23 ans, ont attaqué plusieurs centres de grossesse pro-vie en Floride.
Freestone et Smith-Stewart ont ciblé des centres de ressources pour la grossesse et les ont vandalisés avec des menaces peintes au jet, notamment « Si les avortements ne sont pas sûrs, vous ne l’êtes pas non plus », « VOTRE TEMPS EST ÉCOULÉ », « NOUS VENONS POUR VOUS » et « Nous sommes partout », sur un centre de santé reproductive à Winter Haven, en Floride. L’acte de mise en examen allègue également que des installations à Hollywood et à Hialeah, en Floride, ont également été visées.
Ces incidents ont eu lieu après une marche pro-avortement organisée par des antifas et d’autres gauchistes radicaux.
Selon le site du Département de la Justice des États-Unis :
Lire la suiteL’acte de mise en examen allègue également que Freestone et Smith-Stewart ont enfreint le FACE Act en menaçant d’employer la force pour intimider et perturber les employés d’un établissement de services de santé reproductive à Winter Haven parce que ces employés fournissaient ou cherchaient à fournir des services de santé reproductive. L’acte de mise en examen allègue également que Freestone et Smith-Stewart ont enfreint le FACE Act en endommageant et en détruisant intentionnellement les biens de l’établissement parce que celui-ci fournit des services de santé génésique.
S’ils sont reconnus coupables de ces délits, Freestone et Smith-Stewart risquent chacun un maximum de 12 ans de prison, trois ans de liberté surveillée et des amendes pouvant atteindre 350 000 dollars.
The Atlantic minimise la violence radicale en faveur de l’avortement mais qualifie le Rosaire d’« extrémiste »
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Thérèse Westby/Unsplash
15 août 2022 (LifeSiteNews) — Quelques jours seulement après avoir minimisé le groupe pro-avortement radical et souvent violent appelé Jane’s Revenge, le magazine américain The Atlantic a tenté de dépeindre le Saint Rosaire comme un outil « extrémiste » utilisé par des catholiques « radicaux-traditionnels ».
Dans un article publié par The Atlantic le 12 août intitulé « The Right's New Bogeyman », le magazine populaire tente de minimiser l’importance du groupe pro-avortement souvent violent appelé Jane’s Revenge en mettant en doute la réalité du groupe et en se demandant si le collectif radical est réellement à l’origine des actes de violence et de vandalisme dont il s’est attribué le mérite.
Deux jours plus tard, le 14 août, The Atlantic a publié un autre article intitulé « How Extremist Gun Culture Co-Opted the Rosary » (Comment la culture extrémiste des armes a coïncidé avec le rosaire), qui cherche à démontrer qu’un certain nombre de « traditionalistes radicaux armés ont repris une notion spirituelle selon laquelle le rosaire peut être une arme dans la lutte contre le mal et l’ont transformée en quelque chose de dangereusement littéral ».
Il convient également de noter que, si le titre actuel de l’article est assez nuancé, le titre de l’article a été modifié à de multiples reprises. On pouvait lire auparavant « Guns and Rosaries » et « How the Rosary Became an Extremist Symbol ».
Néanmoins, on ne peut s’empêcher de remarquer le contraste frappant entre la couverture par The Atlantic de l’organisation Jane’s Revenge, certes violente, et celle des catholiques traditionnels américains qui considèrent le chapelet comme une arme tout en soutenant leur droit au deuxième amendement.
Jane’s Revenge, qui s’est attribuée le mérite d’avoir incendié un cabinet médical pro-vie à Buffalo, dans l’État de New York, ainsi que d’autres actes de destruction dans « 16 villes des États-Unis », est qualifiée de « mystérieuse » dans The Atlantic, et malgré des actes réels de violence et de vandalisme, l’article précise que cela « n’implique pas l’existence d’une campagne complexe et coordonnée de violence ».
Cependant, lorsqu’il s’agit de ceux qui créent et diffusent « des images de chapelets drapés sur des armes à feu, de guerriers en prière... des représentations humoristiques de croisés, et des exhortations pour que les hommes se lèvent et deviennent des militants d’église », eh bien ce groupe fait partie des « constellations de milieux en ligne violents, racistes et homophobes » qui sont connus pour « fournir une voie vers la radicalisation et des attaques terroristes réelles ».
Lire la suite« J’vais t’mettre une balle dans la tête » : un homme agresse une pro-vie canadienne
Par Pete Baklinski (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une femme pro-vie, à la tête d’un groupe de jeunes venu témoigner en public de la vérité sur l’avortement, a été violemment agressée par un homme. L’homme a d’abord menacé [verbalement] de lui tirer dessus, puis l’a agressée, la frappant et lui arrachant sa caméra des mains.
Josie Luetke, 26 ans, se trouvait jeudi après-midi à Jackson Square, à Hamilton (Ontario), avec une poignée de jeunes gens, pour témoigner de l’horrible réalité de l’avortement qui tue les enfants. Ils tenaient de grandes pancartes montrant les morts violentes que subissent ces enfants. Luetke, qui est la coordinatrice jeunesse de Campaign Life Coalition (CLC), travaillait avec les jeunes, tous stagiaires d’été à CLC, pour leur apprendre à s’engager dans le militantisme pro-vie au nom des enfants à naître.
Vers 2 h 30 de l’après-midi, un homme barbu et tatoué portant un short noir à rayures vertes et un chandail noir, s’est approché de Luetke, lui demandant agressivement de regarder quelque chose sur son téléphone. Luetke a refusé parce que, plus tôt dans la journée, le groupe avait été harcelé par un autre homme qui leur avait jeté au visage des images pornographiques provenant de son téléphone.
« Je veux te montrer quelque chose », a dit l’homme tatoué à Luetke, mentionnant quelque chose à propos de son « fils » avant de lui crier « f*ck you, f*ck you ».
L’échange a été capturé par Luetke sur une caméra vidéo portative, qui enregistrait déjà par mesure de sécurité.
« Non, merci », a répondu Luetke à l’homme.
L’homme s’est ensuite éloigné, et Luetke a continué à enregistrer, mais sans filmer l’homme, tout en demandant à une jeune manifestante du groupe si elle allait « bien ».
À ce moment-là, les images vidéo montrent l’homme en train de crier, menaçant de tirer sur Luetke.
Lire la suite