Pressée d’avorter après un viol, Amy a choisi la vie pour son fils et ne l’a jamais regretté
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/Adobe Stock
Il y a tout juste trois ans, Amy Walker était une jeune femme de 19 ans qui rêvait de faire des études qui la mèneraient à une carrière épanouissante. Amy a traversé sa part de difficultés alors qu’elle traçait son chemin. Mais au fond d’elle-même, elle luttait en silence contre le poids de la culpabilité, de la dépression et de l’anxiété, car contrairement à la plupart des femmes, Amy avait été victime d’un viol collectif un an auparavant.
En quête d’aide pour un traumatisme lié à un viol, Amy a été poussée à avorter
Amy a raconté à Live Action News : « Je suivais des cours d’été en Caroline du Nord après avoir obtenu mon diplôme de fin d’études secondaires et j’étais à une réunion avec des amis lorsque cela s’est produit. C’est trop horrible pour en parler, même aujourd’hui, quatre ans plus tard. Mais après le viol, j’ai souffert d’anxiété et de dépression. Je n’arrivais pas à nouer des relations saines. Je n’étais pas en bons termes avec mes parents. À ce moment-là, je voulais juste que la douleur s’arrête. J’ai fait une overdose dans l’espoir de mettre fin à ma vie ».
La famille d’Amy est intervenue et l’a fait entrer dans un centre de réadaptation pour la mettre sur la voie de la guérison et du pardon de soi. C’est pendant son séjour là-bas qu’elle a commencé à se sentir mal et a demandé un traitement médical. Des analyses de sang ont révélé qu’elle était enceinte. Une infirmière praticienne qui s’occupait d’elle lui a conseillé vivement de se faire avorter.
Elle n’avait pas de ressources financières et pensait que l’homme qu’elle fréquentait par hasard ─ qui est décédé quelque temps après d’une overdose de drogue ─ était le père de son enfant. Elle a découvert plus tard, grâce à un test ADN, qu’il ne l’était pas. Elle savait qu’elle serait seule responsable de l’éducation de son bébé. Pourtant, elle ne pouvait pas envisager d’interrompre sa grossesse.
Lire la suiteLa Suisse reconnaît par referendum le « mariage » homosexuel
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : AdobeStock
27 septembre 2021 (LifeSiteNews) — La Suisse est le dernier pays européen à reconnaître officiellement le « mariage » homosexuel dans la loi, dimanche, lors d’un referendum.
« Les résultats officiels ont montré que la mesure a été adoptée avec 64,1 % des voix, tandis que plus de la moitié des électeurs l’ont approuvée dans chacun des 26 cantons, ou états, de la Suisse », a rapporté CBS News. « Le vote, qui a été préparé pendant des années, devrait permettre à la nation alpine de s’aligner sur de nombreux autres pays d’Europe occidentale et met fin à une campagne souvent tendue entre les parties rivales. »
Les partenaires de même sexe bénéficient d’une union civile depuis 2007, mais leurs liaisons seront désormais reconnues comme égales au mariage d’un homme et d’une femme.
La loi permettra également aux femmes lesbiennes de se procurer le sperme d’un donneur pour se féconder elles-mêmes, ainsi qu’aux duos de même sexe d’adopter des enfants.
« Grâce à cela, tous les couples seront à l’avenir traités de manière égale devant la loi : tous pourront contracter un mariage civil, avec les mêmes droits et obligations », a déclaré la ministre de la Justice, Karin Keller-Sutter.
Les opposants conservateurs ont déclaré qu’ils espéraient que leurs efforts de sensibilisation pour empêcher le referendum conduiraient à une meilleure compréhension des méfaits de l’agenda LGBT.
« De notre côté, nous avons essayé d’attirer l’attention sur le problème central, celui des enfants et de la procréation médicalement assistée », a déclaré Benjamin Roudit, du Parti populaire chrétien-démocrate, selon CBS News. « Sur ce point, je pense que nous avons réussi à sensibiliser la population suisse et nous serons encore là lorsque d’autres démarches seront proposées. »
Lire la suiteCanada : des « transgenres » meurtriers et violeurs bientôt dans les prisons pour femmes
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pxfuel/Burst
Faut-il le rappeler ? Grâce à la loi C-16 de Justin Trudeau votée le 17 juin 2017, l’« orientation de genre » a été reconnue au Canada… jusque dans les pénitenciers. Ce qui fait qu’aujourd’hui, on en parlait depuis un certain temps, des « transgenres » ou hommes se prétendant « femmes » seront transférés en tant que « femmes » dans les établissements réservés à la gent féminine. Or, dans ce lot, on trouve un nombre significatif de meurtriers, de violeurs et même de pédophiles — ce qui est encore plus inquiétant quand on songe que certaines prisons pour femmes peuvent permettre à celles-ci de voir leurs enfants.
Selon le Toronto Sun, d’après la traduction d’Eugène d’Estimauville de Beaumouchel sur Horizon Québec Actuel, les détenues sont inquiètes du prochain transfère d’une douzaine de « transgenres » dans leurs établissements :
Ce qui attise cette peur est l’arrivée de « détenues » ayant commis des agressions sexuelles violentes — et des meurtres.
Une douzaine d’autres transgenres devraient arriver à Grand Valley [qui ne comprend pas le programme mère-enfant]*.
« C’est bizarre, parmi les conditions qu’on leur a imposées, il y a de ne pas s’approcher des femmes et des enfants. Où sont-ils placés ? Avec des femmes et des enfants », a déclaré Mason au Toronto Sun.
Elle décrit les têtes d’affiche de cette audacieuse réforme qui chamboule le Service correctionnel du Canada (SCC) :
Matthew Harks, Tara Pearsall, Fallon Aubee, Tara Desousa et Jean Boulachanis.
Un pédophile en série, un délinquant sexuel en série, un tueur à gages, un tueur d’enfants et un meurtrier.
Ces criminels qui se prétendent transgenres sont dangereux. Et les détenues de sexe féminin le savent.
La liste des exigences du SCC pour être transféré d’une prison pour hommes à une prison pour femmes est dérisoire.
Enfin, après avoir lu ceci, je ne pense pas que vous voterez pour Trudeau…
*Commentaire d’A.H.
Californie : des « ressources de grossesse » dans les prisons pour femmes en prévoyance de transferts d’hommes…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Matthew Henry/Burst
Le système pénitencier californien, dans la section féminine, a mis en place de nouvelles mesures et des « ressources de grossesse » (de vraies : soins prénataux, adoption ; et de fausses : préservatifs, contraception, avortement), en prévoyance du transfert d’hommes se prétendant « femmes » vers leurs établissements, permis par une nouvelle loi de l’État. Ces mesures sont un aveu implicite que ces « femmes transgenres » n’en sont pas de vraies femmes et qu’il en résultera des incidents fâcheux. Selon le Women Liberation Front (un site féministe que je ne citerai pas souvent) :
Les femmes incarcérées dans la plus grande prison pour la gent féminine de Californie décrivent leurs conditions comme « le pire des cauchemars » après l’introduction de nouvelles ressources de grossesse dans les cliniques du Central California Women’s Facility (CCWF). Ces nouvelles ressources constituent un aveu tacite de la part des responsables que les femmes doivent s’attendre à être violées lorsqu’elles sont logées en prison avec des hommes, où toute relation sexuelle est considérée comme non consensuelle par défaut dans le système.
De nouvelles affiches sont récemment apparues dans les salles médicales, décrivant les options disponibles pour les « personnes enceintes » en prison, notamment les soins prénataux, l’avortement et l’adoption. L’affiche déclare également que les femmes ont droit à « des conseils offerts par un prestataire de soins de santé agréé sur la contraception et le choix des méthodes de régulation des naissances dans les 60 à 180 jours précédant la date de libération prévue ». Cependant, les seules méthodes disponibles pour les femmes incarcérées afin de prévenir une grossesse sont les préservatifs, qui sont apparus peu après les hommes, et les contraceptifs d’urgence Plan B.
« Personnes enceintes » ! L’idéologie du genre, à l’origine du transfert d’hommes se prétendant « femmes » dans les établissements destinés à ces dernières, se rencontre jusque sur les affiches s’adressant aux futures victimes… (Au passage, les « contraceptifs d’urgence Plan B » sont en fait des abortifs, mais ceci n’est pas le sujet de mon billet.)
Lire la suiteLa Cour suprême du Mexique invalide une loi limitant au 1er trimestre de la grossesse les avortements après viol
Par Anne Marie Williams (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Daniel Jedzura/AdobeStock
La Cour suprême de justice de la nation du Mexique (SCJN) a jugé inconstitutionnel un article du Code pénal d’un État qui stipulait que les avortements après un viol ne doivent avoir lieu qu’au cours du premier trimestre.
La SCJN s’est réunie virtuellement pour statuer sur une affaire de 2018 concernant une jeune fille mineure atteinte de paralysie cérébrale de l’État du Chiapas, qui est devenue enceinte à la suite d’un viol. Lorsque la jeune fille s’est présentée dans un hôpital public de la ville frontalière de Tapachula, elle a été refusée parce qu’elle était enceinte de plus de 90 jours (trois mois). Bien que 30 des 32 États mexicains autorisent l’avortement à la suite d’un viol, l’âge gestationnel limite pour ce type d’avortement a toujours été de 12 semaines, soit 90 jours. La jeune fille s’est fait avorter ailleurs.
Un article de l’Agence France Presse indique que la jeune mineure et sa mère se sont vu accorder des dommages financiers dans la décision du tribunal, parce que la décision de l’hôpital de Tapachula « implique une ignorance totale de la dignité humaine » et parce que « le refus de l’autorité sanitaire a entraîné une série de violations graves des droits humains de la victime et de sa mère ».
Les mêmes mots de compassion, de chaleur et de compréhension que le tribunal a adressés à la jeune mère qui avait subi l’injustice brutale du viol n’ont pas été étendus à son enfant à naître.
Comme la jeune mère était enceinte de plus de 90 jours, elle était au moins enceinte de trois mois au moment où son bébé a été avorté. À cet âge, le cœur du fœtus bat, son nez et ses lèvres sont formés, ses reins produisent de l’urine, ses empreintes digitales se développent, il s’entraîne à avaler et il peut sucer son pouce. Tous ses organes sont présents et il est sensible au toucher et capable de ressentir la douleur. Mais l’humanité de l’enfant est passée inaperçue et n’a pas été reconnue par la Cour suprême mexicaine, alors qu’il a été victime lui aussi d’une violation de ses droits humains ─ le meurtre intentionnel d’une personne vulnérable et innocente.
Bien que l’arrêt de la Cour suprême se limite au seul cas du Chiapas, les militants de l’avortement sont susceptibles d’utiliser cette affaire comme un précédent pour tenter d’étendre l’avortement légal à tout le pays. Le jour même où l’arrêt a été rendu, l’État d’Hidalgo est devenu le troisième État du pays à légaliser l’avortement dans les cas autres que le viol. La décision de la Cour suprême fait également suite à une déclaration du président mexicain lors d’une conférence de presse en avril, annonçant que des termes tels qu’« autonomie reproductive » et « services de santé sexuelle et reproductive » ne seraient pas ajoutés à la Constitution du pays. La Chambre des députés mexicaine avait fait pression en mars pour que ces termes soient ajoutés, ce qui était considéré par beaucoup comme un pas vers la légalisation de l’avortement dans tout le pays.
Rescapée d’un viol : « Toute femme est assez forte » pour choisir la vie plutôt que l’avortement
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : tirachardz/Freepik
Dans un documentaire intitulé « Except in Cases of Rape » (Sauf en cas de viol), Liz Carl a raconté son histoire. Droguée et violée à 17 ans alors qu’elle était en dernière année de lycée, elle a découvert quelques semaines plus tard qu’elle était enceinte. Liz a été élevée dans la religion catholique, elle dit qu’elle savait « ce qu’était un avortement » et elle connaissait bien l’existence du mouvement pro-vie. Mais elle a tout de même envisagé l’avortement, déclarant : « Quand je me suis retrouvée dans ma situation, j’ai eu l’impression de ne pas avoir le choix. J’étais vulnérable et il me semblait qu’à ce moment-là, c’était la solution de facilité... Voilà pourquoi cela ne devrait pas être une option. »
Elle a pris rendez-vous dans un centre d’avortement. Mais le jour de l’avortement, la sonnerie du réveil qu’elle avait programmé ne s’est pas déclenchée, elle s’est réveillée trop tard et a manqué le rendez-vous. Elle n’en a pas repris d’autre. Au lieu de cela, elle a décidé de mettre au monde son bébé.
Liz ne se sentait pas prête à élever un enfant, et elle a plutôt choisi de confier son fils à des parents adoptifs. Elle explique : « J’étais jeune. On m’élevait encore. Ma mère me préparait mes lunchs tous les jours pour l’école et je n’étais pas en mesure d’être un parent. » Lorsqu’elle a rencontré le couple qu’elle allait choisir comme parents adoptifs de son enfant, Brian et Jen, elle a senti que « c’était la bonne chose à faire. À un moment de ma vie où il y avait tant de malheurs, cela m’a fait du bien d’avoir enfin quelque chose de bon. »
Des années plus tard, elle ne regrette pas l’adoption. Elle dit : « Ils forment une famille maintenant. Nous sommes, tous ensemble, une famille géante, confuse et désordonnée. Mais c’est génial. Mon fils est là où il faut. »
Lire la suite« Nous allons nous en sortir ensemble » : une femme enceinte suite à un viol s’est sentie soulagée après avoir choisi de garder son bébé
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Shauna Prewitt a été violée durant sa dernière année d’université et est devenue enceinte à la suite de ce viol. Plutôt que de choisir l’avortement après le viol, elle a choisi la vie, et a raconté son histoire dans un documentaire intitulé « Sauf en cas de viol ».
Prewitt dit avoir cherché de l’aide auprès de conseillers du campus. Ils l’ont encouragée à avorter, lui disant que la naissance de son enfant serait trop traumatisante pour elle :
Quand j’ai découvert que j’étais enceinte, j’ai demandé l’aide de quelques conseillers du campus. Et tous les trois m’ont dit des femmes qui sont violées, qu’il est très traumatisant pour elles d’avoir des enfants survenant de ces viols. Je leur ai demandé si elles avaient déjà conseillé des femmes qui étaient dans ma situation. Ils m’ont répondu que non, mais que c’était une question de connaissance commune.
Mais Prewitt ne voulait pas avorter. Elle a ressenti un sentiment de camaraderie envers son bébé à naître.
Je ne pouvais vraiment pas comprendre ce qu’ils me disaient, car même si je comprenais ce qu’ils disaient — que la vie serait peut-être difficile pour mon enfant s’il découvrait un jour les circonstances de sa conception.
Je n’ai ressenti que de l’amour pour mon enfant. J’avais l’impression que nous étions en quelque sorte des coéquipiers dans cette maltraitance, que nous traversions cette épreuve ensemble. Je n’arrivais pas à me décider à aller dans une clinique pour me faire avorter.
Lorsque Prewitt a décidé de ne pas avorter, elle a été remplie de soulagement et de joie.
Je me souviens très bien du jour où j’ai décidé d’avoir mon enfant, et je crois que c’était la première fois que je souriais en trois mois. C’était un tel soulagement. Et j’ai ressenti une joie absolue en sachant que mon enfant allait naître. Et je me suis dit : « On va y arriver, et on va y arriver ensemble. »
Prewitt ne voyait pas sa fille à naître comme une ennemie. Au contraire, elle avait l’impression que son bébé était un partenaire dans sa guérison, un enfant pour lequel elle devait se battre.
Lire la suiteUn artiste influent sur TikTok déclare ses opinions pro-vie à ses 26 millions d’adeptes
Naim Darrechi.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo (rognée) : Instagram
Un artiste espagnol influent sur TikTok, comptant plus de 26 millions d’adeptes, s’est déclaré pro-vie le mois dernier, suscitant à la fois des éloges et des réactions négatives. Il a expliqué qu’il pense que l’avortement « ne devrait pas être légal ou gratuit, point final. Parce que c’est tuer quelqu’un ».
Dans une série de vidéos répondant aux questions de ses admirateurs, Naim Darrechi, 19 ans, musicien et auteur d’un livre, a livré ses opinions et ses pensées sur l’avortement. Il savait que ce qu’il avait à dire sur ce sujet controversé pourrait provoquer des remous, mais il a décidé de le dire quand même.
« Un avortement, c’est interrompre une vie », a-t-il dit. « Quand une femme est enceinte, si elle ne prend rien, si elle n’avorte pas, le cycle naturel va faire émerger une vie. »
Il a ajouté : « Mais ici, un des plus grands arguments des gens qui sont en faveur de l’avortement, c’est : “non, mais le fœtus ne souffre pas, ça n’a rien à voir, il ne souffre pas”. Ici, la question n’est pas de savoir s’il souffre ou non. La question ici, c’est qu’on lui enlève la vie ».
Un enfant à naître souffre effectivement [sauf sans doute lors des avortements les plus tôt comme ceux opérés par pilules dites « du lendemain »*] pendant un avortement, car son corps est déchiré par la machine à succion dans le cas d’un curetage du premier trimestre ou par les outils de démembrement de l’avorteur dans le cas d’un curetage du deuxième trimestre. La pilule abortive affame l’enfant à naître et, lors d’un avortement par induction au troisième trimestre, les enfants à naître ─ capables de survivre en dehors de l’utérus ─ sont tués lorsque l’avorteur provoque un arrêt cardiaque. L’avortement n’a rien de paisible ou d’indolore, et les chercheurs ont découvert que les enfants à naître sont capables de ressentir la douleur dès la huitième semaine de grossesse. Cependant, malgré ces faits, la capacité de ressentir la douleur ne change rien au droit à la vie d’un individu.
Lire la suitePlusieurs États démocrates veulent permettre aux hommes se disant femmes d’être internés dans les prisons féminines
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Burst
1er juin 2021 (LifeSiteNews) — Les États bleus multiplient les projets visant à transférer les condamnés de sexe masculin qui s’identifient comme femmes dans des prisons pour femmes, malgré les récents rapports d’agressions sexuelles commises derrière les barreaux par des hommes confus au sujet de leur sexe.
La semaine dernière, les législateurs du Maine ont présenté le projet de loi LD 1044, qui exige que les prisonniers soient logés dans des établissements en fonction de leur « identité sexuelle ». Un article du projet de loi intitulé « affirmation de genre » stipule que les détenus doivent être traités « indépendamment de leur anatomie ou de leur physique » pour le logement et les « procédures de fouille ». Le comité du Maine sur la justice pénale et la sécurité publique a approuvé le LD 1044 par un vote unanime mardi dernier.
La volonté du Maine d’éliminer les prisons spécifiquement destinées à un sexe intervient dans un contexte d’intégration massive d’hommes biologiques* dans des établissements correctionnels féminins en Californie, avec peu de considération pour leur possible statut de délinquant sexuel.
Depuis que la Californie a révisé les règles pénitentiaires l’année dernière, plus de 260 détenus étant confus au sujet de leur sexe ont demandé à changer d’établissement, rapportait Breitbart en avril. La quasi-totalité des demandes émanent d’hommes souhaitant être placés avec des femmes, et aucune d’entre elles n’a été refusée en vertu de la loi, qui, comme dans le Maine, ne tient pas compte de l’anatomie.
Onze hommes, dont certains sont des violeurs ou des meurtriers, ont déjà été placés dans la Central California Women’s Facility, la plus grande prison exclusivement féminine des États-Unis, selon le World News Group.
Lire la suiteViolée à 14 ans, elle choisit de donner le jour à son bébé malgré les pressions dont elle était l’objet
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
La Canadienne Patti Harrison n’avait que 14 ans lorsqu’elle fut brutalement violée par plusieurs hommes, elle fut aussi sauvagement battue et gardée captive dans un sous-sol pour plusieurs jours. Harrison a récemment raconté son histoire lors d’un événement parrainé par les clubs Mac Lifeline et Queen’s Alive.
Harrison fut dépressive après son viol et tenta de mettre fin à sa vie, se retrouvant à l’urgence où elle découvrit qu’elle était enceinte de l’un de ces violeurs ; elle venait d’avoir 15 ans.
Du côté de son père, plusieurs membres de sa famille voulaient vraiment qu’elle mette fin à sa grossesse, parce que ses violeurs étaient noirs et que donc le bébé était métis ; Harrison raconte : « Mon grand-père paternel m’avertit qu’il me déshériterait si je gardais le bébé ». En fait, la chose qu’elle dit avoir été le plus difficile en choisissant la vie était que cela mettrait fin à sa relation avec son grand-père, de qui elle a été très proche depuis l’enfance. Son grand-père tint promesse et la déshérita. Maintenant, 25 ans plus tard, Harrison ne parle presque plus à sa famille du côté de son père, car la plupart d’entre eux l’ont jugé comme étant une très mauvaise influence pour avoir donné naissance à son enfant. Par contre ses parents eux l’ont encouragée et supportée après le choc initial et l’aidèrent du mieux qu’ils le purent.
Sa mère l’amena à Rose of Durham, une maison pour des adolescentes enceintes, ainsi elle pouvait vivre sa grossesse entourée de personnes qui voulaient son bien et celui de son bébé. Harrison raconte :
Lire la suiteIls m’ont donné le courage de vivre ma grossesse, c’était tellement différent de tous ces médecins lors de mes échographies qui eux m’encourageaient et cherchaient à me convaincre d’avorter. Ils me dirent toutes sortes d’horreur comme : mon fils serait difforme, il ne serait pas en bonne santé et ne se rendrait même pas à la naissance, j’étais si jeune après tout et j’avais toute ma vie devant moi. Ils m’ont donné toutes les raisons du monde pour que je ne le garde, mais aucune pour que je le garde.