France : levée des restrictions au don de sang d’homosexuel…
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : Piqsels
S’il en est un que le pouvoir macronien ne veut pas fâcher, bichonne, caresse, c’est bien le lobby arc-en-ciel qui veut tous les droits, et tant pis si ces droits-là sont la négation de ceux des autres.
L’été d’après confinement, les Français abrutis par des mois sans liberté et aux envies de soleil et de vacances, permet au gouvernement de Macron de faire passer certaines lois en catimini, en suivant servilement l’agenda du lobby Lgbtqi. On parle un peu, enfin à la droite de l’échiquier politique et parce que les mouvements attachés à la famille s’essayent de faire entendre leur voix dans un univers médiatique hostile, de la loi bioéthique, anti-éthique, favorisant PMA et autres déviances contre nature, qui sera en discussion à l’Assemblée nationale à partir du 27 juillet.
On n’a guère parlé d’une nouvelle disposition concernant le don du sang, et pourtant elle s’inscrit dans cette révolution arc-en-ciel, nihiliste, dont le but est la mort de l’homme ancien pour créer un homme nouveau sans frontière, sans pays, nomade et sans famille, mais pratiquant de multiples nouvelles formes d’unions, sans enfants naturels mais en achetant par des biais monstrueux, sans civilisation, sauf la contre-civilisation colorée.
Le vote est passé presque inaperçu : le 1er juillet, des députés, principalement de gauche, ont voté en commission spéciale bioéthique la suppression de la période d’abstinence de quatre mois demandée aux hommes homosexuels avant de pouvoir donner leur sang, par le biais d’un amendement du corapporteur, le député socialiste Hervé Saulignac. « Les critères de sélection du donneur ne peuvent être fondés sur le sexe du ou des partenaires avec lesquels il aurait entretenu des relations sexuelles », écrivent les députés.
« Fier d’avoir cosigné et voté à l’instant en commission spéciale bioéthique l’amendement d’Hervé Saulignac visant à supprimer le délai d’abstinence sexuelle imposé aux homosexuels et bisexuels pour le don du sang », s’est félicité sur Twitter Matthieu Orphelin, député LREM et homosexuel notoire.
Lire la suiteLes personnes homosexuelles sont 19 fois plus à risque d'être exposées au VIH que la population en général
Sur le site de Radio-Canada du 11 juillet 2014 :
(Photo : wikipédia)
(...)L'OMS « recommande fortement aux hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes » de combiner l'utilisation de préservatifs avec la prise quotidienne d'une pilule comprenant deux antirétroviraux, dont l'efficacité préventive a été confirmée dès 2012.
Selon Gottfried Hirnschall de l'OMS, les autorités sanitaires constatent une « explosion de l'épidémie » pour ce groupe à risque.
(...)
Chaque année, la moitié des nouvelles contaminations au VIH touchent les populations à risque, c'est-à-dire les homosexuels, les transsexuels, les prisonniers, les consommateurs de drogues et les prostitués.
Selon l'OMS, les efforts de prévention ont tendance à viser la population en général au détriment des groupes qui sont particulièrement touchés. (...)
Des statistiques et des constatations que plusieurs lobbys définiront comme clairement « homophobes »...
Pourquoi 5 années de continence demandées avant d'accepter les dons de sang des personnes homosexuelles
Sur le site de l'agence publique de santé du Canada:
Bien que l'impact du VIH/sida sur la communauté gaie ait diminué depuis le milieu des années 1980, le groupe des hommes qui ont des relations sexuelles avec d'autres hommes (HRSH), un terme épidémiologique qui décrit un comportement et qui englobe des personnes de tous les horizons de la société, continue de composer la majorité des diagnostics déclarés de VIH et de sida. Ce groupe s'étend à toutes les catégories sociales et recoupe d'autres populations et facteurs d'importance, comme l'âge, l'appartenance ethnique, le comportement sexuel ou la consommation de drogue, qui peuvent apporter d'importants renseignements pour l'établissement d'approches à la prévention, aux soins, au traitement et au soutien.
Que révèlent les statistiques?À la fin de 2008, environ 48 % (31 330) de tous les cas de VIH prévalents étaient associés à la catégorie d'exposition des HRSH.1En 2008, les HRSH représentaient une proportion estimée à 44 % de toutes les nouvelles infections au Canada.1Environ 19 % des HRSH infectés par le VIH en 2008 n’étaient pas au courant de leur statut à l'égard du VIH.1En 2009, la catégorie d’exposition des HRSH avait accumulé 66,3 % des résultats d'analyse positifs aux tests de sérodiagnostic du VIH chez les hommes adultes.2À la fin de 2009, la catégorie d’exposition des HRSH comptait cumulativement 74,9 % des cas déclarés de sida chez les hommes adultes.2
Mais certains diront que l'Agence de la santé publique du Canada est homophobe pour publier des données aussi clairement « homophobes »...
Le journal Le Devoir du 23 mai 2013 donne des détails sur la décision de conserver une période de cinq années avant de permettre le don de sang :
(...)Certains pourraient être d'avis que la période d'attente de cinq ans est encore trop longue, a reconnu Dana Devine, vice-présidente aux affaires médicales et scientifiques de la Société canadienne du sang, qui gère l'approvisionnement hors Québec.
«Toutefois, compte tenu de l'historique du système d'approvisionnement en sang au Canada, nous le considérons comme une première étape prudente», a-t-elle déclaré, soulignant que l'organisme réviserait la politique.
Chez Héma-Québec, le vice-président aux affaires médicales, le docteur Marc Germain, a expliqué que les données scientifiques récentes et les progrès en matière de sécurité transfusionnelle ont permis la levée de l'interdiction.
«Un tel changement est scientifiquement justifié et ne mettra aucunement en péril le très haut niveau de sécurité des produits sanguins», a-t-il déclaré.
Héma-Québec a rappelé que la possibilité de transmission du VIH par transfusion est extrêmement faible, soit de l'ordre de 1 sur 30 millions au Québec. La modification maintiendra cette probabilité au même niveau, a soutenu l'organisme.
L'ombre du scandale du sang contaminé au Canada a plané sur les discussions pour modifier les règles de dons de sang, qui ont duré plusieurs années. (...)
Chaque jour, trois personnes sont infectées par le VIH au Québec
Un article dans la Presse du 3 janvier 2012 rappelle que le VIH frappe toujours et ce, malgré toutes les campagnes de prévention et le matraquage idéologique fait dans les écoles. Les solutions préconisées par nos bouilles dénuées d'imaginations? Encore des cours de tuyauterie sexuelle et encore des campagnes d'apprentissages sexuels précoces appelées campagnes de prévention. L'organisme Ruban parcourt les écoles depuis 17 ans, avec les résultats que l'on connaît.
Autant d'obstinations à utiliser des moyens qui font preuves de façon permanente de leur inutilité manifeste un préjugé idéologique bloquant toute action de l'intelligence.
Une petite anecdote
Un seul pays africain, l'Ouganda, a réussi à faire diminuer de façon significative l'infection au VIH. C'est aussi le seul pays où l'on enseigne la chasteté dans les écoles.
La chasteté? Cela ne fait pas partie du programme d'essais sexuels préconisés par nos fonctionnaires. Ils ont un mode de vie à protéger, le libertinage, quitte à ce que le prix à payer soit la santé sexuelle et affective de nos enfants.
Chaque jour, trois personnes sont infectées par le VIH au Québec
Un article dans la Presse du 3 janvier 2012 rappelle que le VIH frappe toujours et ce, malgré toutes les campagnes de prévention et le matraquage idéologique fait dans les écoles. Les solutions préconisées par nos bouilles dénuées d'imaginations? Encore des cours de tuyauterie sexuelle et encore des campagnes d'apprentissages sexuels précoces appelées campagnes de prévention. L'organisme Ruban parcourt les écoles depuis 17 ans, avec les résultats que l'on connaît.
Autant d'obstinations à utiliser des moyens qui font preuves de façon permanente de leur inutilité manifeste un préjugé idéologique bloquant toute action de l'intelligence.
Une petite anecdote
Un seul pays africain, l'Ouganda, a réussi à faire diminuer de façon significative l'infection au VIH. C'est aussi le seul pays où l'on enseigne la chasteté dans les écoles.
La chasteté? Cela ne fait pas partie du programme d'essais sexuels préconisés par nos fonctionnaires. Ils ont un mode de vie à protéger, le libertinage, quitte à ce que le prix à payer soit la santé sexuelle et affective de nos enfants.
La fondation québécoise du Sida utilise la plus grande partie de l'argent des donateurs pour la recherche... de donateurs!
Plutôt que d'utiliser l'argent des donateurs pour la recherche de nouveaux médicaments, la Fondation Québécoise du Sida préfère utiliser la majeure partie de cet argent pour travailler à trouver de nouveaux donateurs!
"Selon les rapports financiers déposés ces quatre dernières années auprès de Revenu Canada, 80 % des dépenses de la Fondation sont consacrés aux campagnes de collecte des dons ainsi qu'au règlement des factures de l'organisme. Seul un cinquième de l'argent amassé est donc alloué aux activités de bienfaisance."
Le site de Radio-Canada du 7 novembre 2011 nous rapporte cette nouvelle.
Quand la santé n'est pas la première préoccupation de l'Organisation Mondiale de la Santé...
L'organisation mondiale de la santé ne se préoccupe pas de l'effet d'un contraceptif hormonal "Depo-Provera" sur la possibilité d'attraper le sida. Selon la revue médicale américaine «The Lancet», «les risques de contracter le virus doubleraient en cas d’utilisation de ce contraceptif.»
Radio Ville-Marie relate ce fait dans sa revue de presse du 13 octobre 2011.