Trudeau veut dépenser 1,4 milliard de dollars, dont la moitié pour l’avortement, etc
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Presidencia de la República Mexicana/Flickr
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
À quel point Justin Trudeau peut être zélé pour l’avortement dépasse toute imagination. Le Canada dépense actuellement 1,1 milliard de dollars dans pour la santé des femmes, dont 400 millions pour l’avortement et la « santé sexuelle et reproductive » dans le monde, notamment dans les pays en développement. Extrait de la CBC :
Le premier ministre Justin Trudeau a fait plusieurs allusions, pas trop subtiles, au président américain mardi dernier alors qu'il s'engageait à augmenter graduellement l'aide internationale pour la santé des femmes à 1,4 milliard de dollars par année, la moitié étant consacrée à assurer aux femmes l'accès à des avortements sans risque et à des services de santé reproductive dans le monde.
Le Canada augmentera le financement des services de santé pour les femmes dans le monde entier, le faisant passer de 1,1 milliard de dollars actuellement à 1,4 milliard d'ici 2023.
Ceci comprend l'augmentation de 400 millions de dollars à 700 millions de dollars du montant consacré à la santé sexuelle et reproductive.
M. Trudeau a fait cette annonce lors d'une importante conférence mondiale sur l'égalité entre les sexes à Vancouver, affirmant que le Canada augmente les fonds là où d'autres pays se sont retirés.
L’annonce de l’ouverture prochaine des vannes de l’argent canadien faisait écrire à Maxime Bernier, chef du Parti populaire du Canada, sur son compte Twitter :
Trudeau veut dépenser 1,4G$ PAR ANNÉE (1,1G$ maintenant) sur des services de santé aux femmes dans les pays en développement, dont 700M$ pour des avortements et santé reproductive.
Débile. Est-ce qu’il s’imagine déjà en train de diriger un gouvt mondial?
Vancouver : un refuge pour femmes menacé parce qu’il refuse les transgenres
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Patricia Keith/PublicDomainPictures
Il est pourtant évident qu’un refuge pour femmes ne devrait pas accueillir des hommes « transgenres » (qui sont toujours des hommes). Extrait du site Le Peuple :
Le Vancouver Rape Relief & Women’s Shelter ne recevra plus de financement de la ville de Vancouver.
L’administration de Vancouver a décidé de couper les vivres à un refuge pour femmes victimes de viol parce qu’il refuse d’accepter la clientèle transgenre. Pour les responsables du Vancouver Rape Relief & Women’s Shelter, seules les personnes nées femmes peuvent être admises au refuge, une position que Vancouver juge discriminatoire.
La ville évoque à ce titre une loi provinciale adoptée en 2016 et une autre fédérale de 2017 qui interdisent toute discrimination basée sur l’identité de genre. Ces textes juridiques, jumelés à un lobbying intense des transactivistes, aura donc fait plier Vancouver.
Le refuge ne cédera pas à cette pression.