Un médecin de Vancouver a euthanasié un homme jugé incapable de donner son consentement
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : prostooleh/Freepik
Un article d’Alexander Raikin publié par The New Atlantic en décembre dernier raconte l’histoire d’Ellen Wiebe, qui dirige une clinique d’euthanasie à Vancouver. Cette partie de l’article fait référence au fait que la loi canadienne sur l’euthanasie permet le « magasinage de docteur » et les approbations, par consultation internet, de mort assistée. Raikin a écrit :
Que se passe-t-il si un médecin vérifie consciencieusement l’admissibilité et rejette [la demande de mort assistée de] quelqu’un ? Alors la personne peut simplement aller ailleurs.
Dans un autre enregistrement d’un séminaire de l’ACEPA (Association canadienne des évaluateurs et prestataires de l’AMM), nous apprenons qu’un homme n’a pas été accepté pour l’aide médicale à mourir (AMM) parce que, selon les évaluateurs, il n’avait pas de maladie grave ni la « capacité de prendre des décisions éclairées sur sa propre santé personnelle ». Un évaluateur a conclu « qu’il est très clair qu’il n’est pas admissible ». Mais Mourir dans la Dignité Canada l’a mis en contact avec Ellen Wiebe (prononcez « wîbe »), fournisseuse et promotrice bien connue de l’euthanasie à Vancouver. Elle l’a évalué en ligne, l’a jugé admissible, et a trouvé un deuxième évaluateur pour être d’accord. « Et il a pris l’avion tout seul pour Vancouver », a-t-elle dit. « Je suis allée le chercher à l’aéroport, je l’ai amené à ma clinique et je l’ai soigné », ce qui signifie qu’elle l’a euthanasié.
Raikin nous rappelle ensuite que Wiebe a déclaré lors de discours publics que c’était « le travail le plus gratifiant que nous ayons jamais fait ».
Tuer une personne jugée incompétente est le travail le plus gratifiant qu’elle ait jamais fait ?
L’[approbation] de meurtre à distance de Wiebe m’est revenu à l’esprit lorsque j’ai publié un commentaire sur le récent article d’Erin Anderssen, publié par le Globe and Mail le 18 janvier, concernant l’expérience de plusieurs familles qui pleurent la mort de membres de leur famille décédés par euthanasie.
Lire la suiteUne fillette de 4 ans annonce sa « transition de genre » lors d’une parade de la « fierté »
« Charlie Danger » Lloyd.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alaina Bourrel/Facebook
10 août 2022 (LifeSiteNews) — Lors de la parade de la fierté de Vancouver le 31 juillet, une enfant d’âge préscolaire qui marchait avec sa grand-mère a tiré un pétard bleu de révélation de genre pour annoncer qu’elle allait passer au sexe masculin.
A 4-year-old had a gender reveal and came out as transgender at a pride event. pic.twitter.com/cX4Ll4uS1Z
— Libs of TikTok (@libsoftiktok) August 9, 2022
« Charlie Danger » Lloyd est une petite fille de la Colombie-Britannique, au Canada. Elle n’a que quatre ans. Les enfants de quatre ans ne sont pas capables de comprendre beaucoup de choses. Si je souscrivais à la bifurcation entre sexe et genre de l’idéologie transgenre — ce qui n’est pas le cas — je serais tout à fait convaincu qu’un enfant d’âge préscolaire ne peut pas la comprendre. Les enfants d’âge préscolaire n’ont pas non plus la conscience de soi nécessaire pour déclarer que, sur la base de leurs années de compréhension et d’expérience, ils sont nés dans le mauvais corps.
Mais nous sommes en 2022, et la mère de Lloyd a confirmé son désir d’être un garçon. Lloyd — un enfant d’âge préscolaire — utilise le pronom « il » (avez-vous déjà rencontré un enfant d’âge préscolaire qui savait ce qu’était un pronom ?) et était apparemment ravi de faire l’annonce de sa transition à la Fierté (c’était évidemment l’idée de Lloyd). Selon la mère de Lloyd :
« Une fois la route fermée, Charlie s’est pavané avec Mamie et ils ont fait face à tout le monde et après une courte lutte, le canon a explosé avec de la fumée bleue et des confettis biodégradables. Charlie a sauté de joie alors que la foule l’acclamait. Il n’en revenait pas de l’amour et du soutien que lui témoignaient les spectateurs. »
La mère de Lloyd a déclaré que l’enfant d’âge préscolaire voulait être un garçon depuis l’âge de deux ans. Elle affirme également que la révélation du genre avec le canon lors de la parade de la fierté de Vancouver était une idée de Lloyd. La raison pour laquelle elle et d’autres personnes savaient que Lloyd était un garçon est qu’en tant que petite fille, elle disait souvent qu’elle voulait ressembler « à papa » et insistait sur le fait qu’elle était un garçon. « Il n’était pas la petite fille typique. Il jouait avec d’autres garçons et les parents disaient qu’il était plus garçon que leurs propres enfants », dit-elle.
À l’école maternelle, le personnel et les autres enfants ont félicité Lloyd lorsqu’il est passé au pronom « il » -- la transition, selon la mère de Lloyd, a apparemment commencé il y a plusieurs mois. Le point de bascule n’a pas seulement été le fait de jouer avec les garçons et le comportement de garçon manqué, mais aussi le fait qu’elle voulait se faire couper les cheveux courts.
Lire la suiteCanada: une maison pour famille d’enfant hospitalisé expulse la famille non vaccinée d’un enfant leucémique
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : StockPhotoPro/Adobe Stock
12 janvier 2022, Vancouver, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — Le Manoir Ronald McDonald de Vancouver est sur le point d’expulser les familles qui ne fournissent pas de preuve de vaccination avec l’un des vaccins COVID expérimentaux et contaminés par l’avortement. Les maisons Ronald McDonald accueillent les familles dont les enfants hospitalisés ont moins de 21 ans.
Austin Furgason, père d’un enfant de 4 ans atteint de leucémie et traité depuis octobre, a partagé sur son compte Facebook une vidéo montrant une lettre de l’association Ronald McDonald House Charities British Columbia and Yukon annonçant l’expulsion liée au vaccin.
Dans son échange enregistré avec le directeur de la Maison, M. Furgason a précisé au personnel qu’il n’est pas anti-vaccins en règle générale, et a dit que son enfant avait reçu d’autres vaccins.
Le responsable lui a répondu que cette politique était mise en œuvre « pour réduire les risques pour l’ensemble de la maison », ce qui a immédiatement fait dire à M. Furgason que cela « n’a pas de sens » car on peut toujours propager le virus même si on est vacciné.
Le fait que les vaccins n’empêchent pas la propagation du COVID a été admis par la directrice des Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), Rochelle Walensky. Elle a déclaré à CNN que ce que les vaccins « ne peuvent plus faire, c’est empêcher la transmission ».
Lire la suiteNos pasteurs doivent s’élever contre la coercition covidienne : Lettre ouverte à l’archevêque de Vancouver
Mgr J. Michael Miller, archevêque de l'archidiocèse de Vancouver.
Par Stephanie Gray Connors — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Canuck Clay/YouTube
19 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Cher Monseigneur Miller, il y a environ une semaine, alors que j’allaitais ma fille nouveau-née, j’ai lu les nouvelles concernant la contrainte exercée sur les diacres de l’archidiocèse de Vancouver pour qu’ils reçoivent le vaccin COVID sous peine de ne pas pouvoir exercer leur ministère diaconal. Je suis profondément troublée par votre prise de position.
Je me permets notamment de vous écrire publiquement maintenant parce que je vous ai écrit une lettre privée il y a un an, accompagnée d’une excuse que vous auriez pu utiliser pour résister aux pressions injustes du gouvernement, et pour vous offrir l’aide juridique du meilleur avocat avec lequel j’ai travaillé en 20 ans de résistance à la censure institutionnelle. J’ai observé avec consternation comment, par exemple, vous avez cédé à la pression du gouvernement et fermé vos églises au culte public. Avec cette dernière décision, je suis obligée d’élever à nouveau la voix, et j’espère que le fait de le faire publiquement vous aidera davantage à changer de cap.
Vous savez que j’aime l’Église et l’archidiocèse de Vancouver, dans lequel j’ai été élevée. Vous savez que je l’ai fidèlement servie tout au long de ma vie. En particulier, j’ai formé ses séminaristes et ses prêtres pendant 20 ans, j’ai pris la parole ces dernières années lors d’un séminaire de formation pour ses diacres, j’ai fait partie de son conseil de communication et j’ai formé les parents des écoles catholiques dans le cadre d’un des programmes du CISVA. J’ai été maître de cérémonie à la One Conference. J’ai fait des dons aux paroisses locales ainsi qu’au Projet Advance et à divers ministères gérés par le RCAV. Alors oui, j’aime l’Église catholique et j’aime l’archidiocèse de Vancouver. Mais je suis très, très déçue. Comme l’a dit un jour le Dr Martin Luther King, fils, « Il ne peut y avoir de déception là où il n’y a pas d’amour profond ».
En allaitant mon bébé, je n’ai pu m’empêcher de penser au passage de l’Écriture : « Comme ce sera terrible en ces jours-là pour les femmes enceintes et les mères qui allaitent ! » (Matthieu 24:19) Je dis cela parce que votre position, telle que décrite dans la lettre de Mgr Gregory Smith, ainsi que la façon dont l’archidiocèse a cédé à la pression du gouvernement au cours de l’année dernière, conduit à l’abandon de la prochaine génération de fidèles laïcs.
Lire la suiteUn député canadien diffuse un beau message sur la famille, les pro-avortement se confondent de rage
L'affiche créée par le député Garnett Genuis, novembre 2020.
Par Jonathon Van Maren ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Garnett Genuis/Twitter
11 novembre 2020 (LifeSiteNews) — Dans l’étrange monde où les progressistes vivent, il y a beaucoup d’enfants non désirés, mais pas d’avortements non désirés. L’avortement, selon eux, est un bien intrinsèque qui doit être célébré par tous. Cela est particulièrement vrai pour les libéraux du Canada, qui ne cessent d’évoquer l’avortement tout en refusant de condamner le fœticide, même lorsqu’il vise l’élimination des petites filles. Lors des dernières élections, Justin Trudeau a même tenté de faire entrer l’avortement dans le cycle de l’actualité en annonçant que s’il était auparavant personnellement opposé à l’avortement mais politiquement favorable à celui-ci, il le soutenait désormais à la fois personnellement et politiquement. Quel que soit son niveau de soutien, il s’avère que les bébés avortés restent morts.
Nous avons récemment eu droit à un autre exemple de l’enthousiasme des libéraux pour l’avortement. Une organisation appelée One Child One Planet avait lancé une campagne publicitaire à Vancouver, se présentant sous la forme d’un panneau d’affichage comportant la photo d’un enfant noir et le slogan « Le cadeau le plus affectueux que vous puissiez offrir à votre premier enfant est de ne pas en avoir un autre ». Le député Garnett Genuis riposta à cette campagne dans un éditorial dans The Post Millennial, en qualifiant la publicité de raciste. Il lança alors une campagne publicitaire de son cru dans les transports en commun de Vancouver. Les publicités présentent une photo de trois enfants souriants et une citation de Mère Teresa : « Comment pourrait-il y avoir trop d’enfants ? C’est comme dire qu’il y a trop de fleurs ».
Lire la suiteCertaines personnes ont affiché une annonce raciste à Vancouver, disant à tout le monde de n’avoir qu’un seul enfant ou pas d’enfant du tout. J’y ai répondu avec une annonce dépeignant mes enfants, disant essentiellement que les enfants sont merveilleux. Hedy Fry s’est plainte de la deuxième annonce, mais pas de la première.
– Garnett Genuis (@GarnettGenuis) 3 novembre 2020
Publicités dans les rues de Vancouver : n’avoir qu’un seul enfant ce serait les « aimer »
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Des affiches publicitaires faisant la promotion de l’enfant unique, voire des familles sans enfant, ont fait leur apparition à Vancouver, en Colombie-Britannique, et ses environs. Prenons un exemple — la photographie d’un bébé souriant sous laquelle on peut lire : « Le plus beau cadeau que vous puissiez offrir à votre premier enfant est de ne pas en avoir un autre » ; sur une autre : « Nous avons choisi d’en avoir un ! » ; ou encore : « Nous avons choisi de ne pas avoir d’enfant ! ».
Explicitement, l’objet de cette campagne est de convaincre les jeunes gens de ne pas avoir d’enfant. Raison invoquée ? Sauver la planète. Ces publicités ont en effet été payées par un organisme nommé Une planète, un enfant (One Planet One Child). Le but avoué de ce groupe est de changer la mentalité de la société afin que celle-ci adopte une « norme de petite famille ». En effet, ce groupe croit que l’humanité est bien trop nombreuse. Les membres de ce groupe s’activent afin de diviser par plus de deux la population mondiale en un siècle : d’un total de 7,8 milliards d'hommes aujourd’hui, ce groupe malthusien contemple le chiffre de moins de 3 milliards dans 100 ans. Sur le site internet de ce groupe, celui-ci annonce qu’il a payé des campagnes promotionnelles similaires dans le Minnesota et le Colorado, et qu’il planifie de faire de même prochainement dans d’autres villes américaines et canadiennes.
Le taux de fécondité de remplacement sain est de 2,1 [minimum plutôt, en dessous de ça, c’est le dépeuplement*]. Le taux de fécondité mondial se situe actuellement à 2,4. Cependant, des chercheurs pensent que le taux de fécondité mondial est en baisse, et estiment que celui-ci passera sous la barre des 1,7 d’ici 2100. Toujours selon ces chercheurs, vingt-trois pays devraient connaître une baisse de plus de 50 % de leur population. Selon ces mêmes chercheurs, cette baisse drastique de leur population entraînerait une crise économique, ces pays devenant incapables de soutenir leurs programmes de sécurité sociale. De plus, selon ces mêmes chercheurs, la population active deviendrait insuffisante par rapport à la population retraitée, nécessitant de repousser l’âge de la retraite — de 8,4 ans d’ici 2050 selon les prévisions de ces chercheurs. D’après ces chercheurs, le désastre économique serait si imminent dans certains pays, comme la Hongrie, le Danemark, l’Italie, et Singapour, que ces pays ont mis en place des mesures pour encourager les couples à avoir plus d’enfants, et non moins.
Lire la suiteLe Parti conservateur chasse une candidate pro-vie pour des propos vieux de 10 ans sur les homosexuels
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : truthseeker08/Pixabay
Décidément, lors des élections, c’est à qui déterrera les paroles (maintenant) politiquement incorrectes les plus vieilles et les plus oubliées. C’est parce que les propos vieux de dix ans de Mme Heather Leung, au sujet des personnes de même sexe s’adonnant à des relations contre nature, ont été tirés du passé que le Parti conservateur l’a illico presto éjectée des rangs de ses candidats, laissant vide la circonscription de Burnaby North-Seymour en Colombie-Britannique. D’après Global news :
Le parti a déclaré vendredi que Mme Heather Leung ne représentera plus [les conservateurs dans] la circonscription de Burnaby North-Seymour, quelques heures après la rediffusion d’une vidéo où on la voit disant que « les homosexuels... recrutent de plus en plus de personnes dans leur camp ».
La vidéo réalisée en 2011 par le journal local Burnaby Now de Burnaby Now lors de manifestations contre une politique du conseil scolaire favorable aux LGBTQ2 montre Mme Leung en train de dénoncer les initiatives anti-intimidation, car promouvant « les actes homosexuels, transsexuels, de toutes sortes » aux élèves.
Mme Leung avait probablement raison dans ce qu’elle avait déclaré, si l'on considère l'endoctrinement LGBTQ2... XYZ actuel qui se trame dans les écoles, dans tout le Canada. Extrait de Burnaby Now :
Lire la suiteMme Leung dit dans la vidéo que les commissaires de l’école de Burnaby « creusent un trou profond et sombre pour la prochaine génération ». Parce que ces homosexuels ne peuvent pas produire la prochaine génération. Ils recrutent de plus en plus de gens dans leur camp. »
La championne canadienne de la Vie Mary Wagner encore condamnée pour avoir défendu les enfants à naître
Par Martin M. Barillas — traduit par Campagne Québec-Vie
Vancouver, Colombie-Britannique, 11 septembre 2019 (LifeSiteNews) — La célèbre sentinelle canadienne des droits de la personne Mary Wagner a été reconnue coupable d'intrusion et de perturbation dans le fonctionnement d'une entreprise, après avoir passé plusieurs mois en prison après être entrée dans un centre d'avortement de Vancouver, afin d'informer les femmes enceintes des alternatives à l'avortement.
Dans une déclaration sur Facebook, Wagner a affirmé : « Cette condamnation n'est pas une honte pour moi. Au contraire, je suis heureuse que le tribunal ait trouvé qu'il y avait suffisamment de preuves pour conclure que j'ai entravé l'entreprise de destruction d'enfants à naître sans défense, qui demeurent non protégés et abandonnés par les tribunaux ».
Selon le compte Facebook, Wagner devait être libérer le onze septembre, mais reste sous la garde de la cour.
Mary Wagner (troisième à partir de la droite) avec ses partisans après sa libération,
11 septembre 2019, à Vancouver dans la province de Colombie-Britannique, au Canada.
Lors d'une conversation téléphonique avec LifeSiteNews, l'avocat de la défense Peter Boushy a informé le journal que le tribunal de Vancouver avait déclaré Mme Wagner coupable de méfait en vertu de l'article 430 du Code criminel, mais l'avait condamnée à une peine de prison. Elle était en prison depuis son arrestation du 17 avril. Selon Me Boushy, elle a fait 148 jours de prison. Le droit canadien compte chaque jour passé en prison avant le procès à un taux de 1,5 contre un, ce qui signifie que Wagner a déjà purgé plus que la peine maximale permise pour l'infraction qui lui a été imputée. Bien que la Couronne ait demandé trois ans de probation, le tribunal n'a accordé que deux ans de probation.
Lors de la prononciation de la sentence, le juge Mark Jette a dit directement à Wagner : « J'apprécie que vous veniez d'une famille forte et bonne et que vous soyez une bonne personne », a rapporte Me Boushy. Alors que la Couronne eût demandé 30 jours de service communautaire dans le cadre de la peine, le juge a déclaré : « Je suis convaincu que vous redonnez à la collectivité sur une base quotidienne. C'est dans votre ADN. » Me Boushy a dit qu'il n'avait jamais entendu un tel compliment de la part des juges. Il a noté que le juge avait qualifié Wagner de « guerrier » dans ses propos. Wagner n'aura pas à faire de service communautaire dans le cadre de sa peine.
Lire la suiteUn Canadien paralytique mort par «suicide assisté», le gouvernement lui refusait notamment les soins à domicile
Saen Tagert.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Sean Tagert était atteint de sclérose latérale amyotrophique et ne pouvait plus bouger, ne communiquant que par le biais d’un système informatique de suivi oculaire. Il désirait recevoir les traitements dont il avait besoin 24 heures sur 24 à la maison, ce qui lui a été refusé, ne pouvant par conséquent recevoir ces soins que dans un centre. M. Tagert voulait rester dans sa maison pour pouvoir être auprès de son fils de onze ans, considérant l’offre des services de santé comme une « condamnation à mort ». Et maintenant, il a décédé par suicide assisté. Extrait de LifeSiteNews :
Lire la suiteUn Canadien atteint de sclérose latérale amyotrophique a choisi d’être euthanasié après que le gouvernement provincial eût refusé de financer les soins 24 heures sur 24 dont il avait besoin pour rester à la maison avec son fils de 11 ans.
Sean Tagert, âgé de 41 ans, a été tué par suicide médicalement assisté à son domicile de Powell River le 7 août, a rapporté CBC.
« Lorsque vous refusez les soins nécessaires, il arrive parfois qu’une personne, désespérée, demande l’euthanasie », a déclaré Alex Schadenberg, directeur général de la Coalition pour la prévention de l’euthanasie.
« J’avais prédit que cela arriverait et, malheureusement, c’est maintenant une réalité », a-t-il déclaré à LifeSiteNews.
M. Tagert, qui s’était vu diagnostiquer de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) en 2013, a déclaré à la CBC en septembre dernier que le Vancouver Coastal Health avait accepté de financer des soins à domicile de 20 heures par jour.
Mais l’ancien mécanicien de machinerie lourde, qui avait épuisé ses économies à ce moment-là, avait besoin de soins 24 heures sur 24, en particulier pour le retrait des fluides s’amassant dans sa trachéotomie, et être retourné toutes les demi-heures, selon la CBC.
Trudeau veut dépenser 1,4 milliard de dollars, dont la moitié pour l’avortement, etc
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Presidencia de la República Mexicana/Flickr
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
À quel point Justin Trudeau peut être zélé pour l’avortement dépasse toute imagination. Le Canada dépense actuellement 1,1 milliard de dollars dans pour la santé des femmes, dont 400 millions pour l’avortement et la « santé sexuelle et reproductive » dans le monde, notamment dans les pays en développement. Extrait de la CBC :
Le premier ministre Justin Trudeau a fait plusieurs allusions, pas trop subtiles, au président américain mardi dernier alors qu'il s'engageait à augmenter graduellement l'aide internationale pour la santé des femmes à 1,4 milliard de dollars par année, la moitié étant consacrée à assurer aux femmes l'accès à des avortements sans risque et à des services de santé reproductive dans le monde.
Le Canada augmentera le financement des services de santé pour les femmes dans le monde entier, le faisant passer de 1,1 milliard de dollars actuellement à 1,4 milliard d'ici 2023.
Ceci comprend l'augmentation de 400 millions de dollars à 700 millions de dollars du montant consacré à la santé sexuelle et reproductive.
M. Trudeau a fait cette annonce lors d'une importante conférence mondiale sur l'égalité entre les sexes à Vancouver, affirmant que le Canada augmente les fonds là où d'autres pays se sont retirés.
L’annonce de l’ouverture prochaine des vannes de l’argent canadien faisait écrire à Maxime Bernier, chef du Parti populaire du Canada, sur son compte Twitter :
Trudeau veut dépenser 1,4G$ PAR ANNÉE (1,1G$ maintenant) sur des services de santé aux femmes dans les pays en développement, dont 700M$ pour des avortements et santé reproductive.
Débile. Est-ce qu’il s’imagine déjà en train de diriger un gouvt mondial?