La taxe de Legault pour les non-vaxx : une punition pour les hérétiques
Ce qui m’est venu à l’esprit, à l’annonce de la taxe de Legault pour les non-vaccinés, c’est la taxe Djizîa traditionnellement payée par les dhimmis ou non-musulmans en hommage à leurs « supérieurs » disciples de Mahomet. Ici au Québec, ce n’est pas la non-croyance à « Allah » qui est punie, plutôt, c’est le dieu de la « santé » corporelle qui exige un hommage des hérétiques qui refusent de le mettre au centre de leur vie, à l’exclusion du vrai Dieu. Ils doivent payer une cotisation annuelle en souvenir de leur péché… Quant à Legault, il me semble que son air d’avuncularité, de « gentil mononcle », la seule qualité sur laquelle il court depuis des années, est usée à la corde. L’acte a vieilli, car qu’il le sache ou non, Legault s’est montré un instrument souple entre les mains de l’Ennemi de Dieu et de l’homme.
Google finance un consortium de « vérificateurs-de-faits » « catholiques », pro-injection covid
Par Francesca de Villasmundo (Media Presse Info)
Note : J’apporte ici quelques précisions au sujet de cet article — qui tire son origine d’un article de Church Militant — dont certains aspects sont inexacts. Pour mieux refléter ces précisions, j’ai changé le titre du présent article qui était « Soros et Gates financent des médias “vérificateurs-de-faits”, dits “catholiques”, pro-injection covid » pour « Google finance un consortium de “vérificateurs-de-faits” “catholiques”, pro-injection covid ». En effet, entre autres choses, ce n’est pas Soros ou Gates qui finance le consortium de « vérification de faits », mais Google (ce qui à mon avis n’est pas mieux). D’autre part, par exemple, on ne peut pas vraiment affirmer qu’Aleteia (qui dirige le consortium) soit détenu par le groupe Média-Participations, mais on peut voir que celui-ci doit en posséder une part intéressante pour être devenu l’Opérateur industriel d’Aleteia en 2015. Du reste, si Aleteia ou le consortium n’est pas financé par Soros et son confrère Gates, ces derniers financent certains médias avec lesquels Aleteia s’est associé pour faire de la « vérification de faits ». Si l’association entre Aleteia et des médias douteux, ainsi que des financiers non moins douteux, ne semble pas être aussi étroite que le présent article pourrait le suggérer, on ne peut que désapprouver une telle coopération au sein d’un consortium composé en partie par des médias douteux et financé par Google, et avoir quelques réserves quant aux bienfaits qui sortiront d’une telle initiative. Voici le texte publié par Aleteia à sa défense et l’analyse de cette défense par Le Salon Beige où l’on peut voir que certaines rectifications d’Aleteia exagèrent dans le sens opposé aux accusations émises par Church Militant. — 21 janvier 2022, A.H.
Le site américain Church Militant publie dans un récent article des révélations concernant les campagnes de propagande vaccinale anti-covid en direction de la sphère catholique.
« Une opération catholique de “vérification des faits” lancée par un consortium de médias catholiques établis ayant des liens étroits avec le pape François est financée par […] Google, le colporteur de vaccins Bill Gates et l’agitateur de gauche Georges Soros. »
Ce consortium de médias catholiques, catholic-factchecking.com comme il s’autodésigne lui-même, est dirigé par le magazine et site Aleteia, appartenant à la quatrième plus grande maison d’édition de la France, le groupe Média-Participations, est édité en sept langues, et bénéficie d’une étroite collaboration avec le Dicastère du Vatican pour la Communication ainsi qu’avec le Conseil pontifical pour la nouvelle évangélisation.
Le projet vise à faire taire les journalistes catholiques non alignés, et est financé par de grands lobbies internationaux militants contre la vie et la famille, en collaboration avec de grandes entreprises pharmaceutiques qui produisent des vaccins.
Lire la suiteL’assureur Scott Davison signale une surmortalité « jamais vue » parmi les salariés de 18-64 ans en Indiana — Robert Malone fait le lien avec le vaccin covid
Scott Davison.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : capture d'écran vidéo
Le PDG des assurances-vie et santé OneAmerica, Scott Davison, affirme que le nombre de morts dans la catégorie de la population active — les personnes âgées de 18 à 64 ans — a augmenté de 40 % au troisième trimestre de 2021 par rapport aux statistiques habituelles « pré-pandémiques », et que cette tendance s’est poursuivie pendant le quatrième trimestre. Cette surmortalité spectaculaire est totalement inédite aux Etats-Unis.
« Ce sont des chiffres énormes, énormes », a-t-il martelé.
Le nombre de dossiers ouverts pour inaptitude de longue durée au travail, soit pour COVID long, soit pour d’autres raisons est également sans précédent, selon Davison.
Davison s’exprimait à l’occasion d’une conférence de presse virtuelle organisée le 30 décembre dernier par la Chambre de commerce de l’Indiana, aux Etats-Unis, où l’assureur OneAmerica a son siège social depuis 1877. Le groupe « pèse » 100 milliards de dollars et compte 2 400 employés ; il est spécialisé dans la vente d’assurances-vie, notamment les assurances-vie collectives destinées aux employeurs de cet Etat.
Son constat de surmortalité porte précisément sur les employés de ces entreprises. Des gens dans la force de l’âge.
« Nous observons, en ce moment même, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons jamais vus dans l’histoire de cette activité – et pas uniquement chez OneAmerica », a déclaré Scott Davison, ajoutant : « Les données concordent chez tous les acteurs de cette filière. »
Une telle surmortalité — 40 % — c’est du « jamais vu », selon le PDG. Il a pris soin de préciser que la plupart des demandes d’indemnisation pour décès déposées ne sont pas classées dans la catégorie des décès dus au COVID-19.
Davison a ainsi noté : « Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe dite “trois sigmas”, qui n’arrive qu’une année sur 200, correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la période pré-pandémique. Donc 40 %, c’est du jamais vu. »
Lire la suiteWashington annonce un passeport vaccinal qui entrera en vigueur quelques jours avant la Marche pour la Vie de 2022
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 décembre 2021, Washington (LifeSiteNews) — À partir du 15 janvier le gouvernement de Washington, D.C., exigera une preuve de vaccination contre le COVID-19 pour entrer dans les espaces publics intérieurs, notamment les restaurants, les bars, les théâtres, les salles de sport et les lieux de réunion et de congrès.
Les nouvelles mesures rigoureuses, annoncées par le ministère de la Santé de Washington, doivent entrer en vigueur quelques jours avant la 2022 National March for Life [Marche nationale pour la vie de 2022] du 21 janvier, et la marche « Defeat the Mandates » [Marche pour l’abolition des mandats] à Washington du 23 janvier.
Bien que la réglementation n’empêche pas les personnes qui ont choisi de ne pas recevoir le vaccin non testé et contaminé par l’avortement de participer à l’une ou l’autre des marches, elles ne pourront pas dîner dans les restaurants de D.C. ni s’abriter facilement du temps souvent glacial et inclément de janvier dans la capitale du pays.
La réglementation exigera une preuve de vaccination pour l’entrée aux nombreux événements intérieurs entourant la Marche pour la Vie, y compris l’EXPO qui permet aux participants d’entrer en contact avec les nombreuses organisations et les ministères pro-vie de tout le pays, le Dîner annuel de la Rose, et les nombreuses discussions, tables rondes et présentations normalement offertes pour éduquer et encourager ceux qui luttent au nom de la vie et de la dignité humaine.
Lire la suiteL’Académie pontificale pour la vie rejette avec mépris dans des tweets les objections aux vaccins covid liés à l’avortement
Mgr Vincenzo Paglia.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diane Montagna/LifeSiteNews
5 janvier 2022, Rome (LifeSiteNews) — Dans un message bizarre sur Twitter, dimanche, l’Académie pontificale pour la vie (APV) a affirmé que l’avortement n’a « rien à voir » avec les vaccins COVID testés sur des cellules de bébés avortés, tout en saluant les injections comme « la seule façon de revenir à la normale ». L’académie, dirigée par l’archevêque Vincenzo Paglia, s’en est également prise aux critiques catholiques, suggérant que leurs préoccupations concernant les liens entre les vaccins et les tests sur les cellules fœtales sont « de pures absurdités ».
« Certains “catholiques” ne font qu’insulter l’Académie pontificale pour la vie et Mgr Paglia », peut-on lire dans le message. « Mais le COVID-19 existe, et la seule façon de revenir à la normale est de se faire vacciner ».
« Les vaccins qui sauvent la vie et les avortements n’ont rien à voir. Le reste n’est que pure absurdité, information de mauvaise qualité, exploitation du malaise des États-Unis. » On ne sait pas exactement ce que l’APV entend par « malaise des États-Unis ». Le message sur Twitter comprenait des captures d’écran d’un article du New York Times sur l’impact psychologique négatif des confinements aux États-Unis.
L’académie a inclus l’étiquette (tag) de plusieurs journalistes libéraux, nominalement catholiques, comme le père James Martin, SJ, et a plus tard republié un message de Martin, dissident et hérétique, qui plaide pour le « mariage » homosexuel et a publiquement fait référence à Dieu comme étant une femme.
Dans un second tweet, dimanche, contenant le même message, l’APV a également mis l’étiquette du compte Twitter officiel du président Joe Biden, des évêques catholiques américains et de la FDA.
Comme l’APV a omis de le préciser, tous les vaccins COVID disponibles aux États-Unis et en Europe ont utilisé des lignées cellulaires provenant de bébés avortés lors du développement, des tests, ou les deux, ce qui a suscité l’indignation de nombreuses personnes dont les convictions religieuses leur interdisent de participer à l’avortement.
Lire la suiteCanada : le gouvernement libéral prive les non-vaccinés de prestations de chômage
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andrey Popov/Adobe Stock
Le gouvernement libéral (marxiste) de Justin Trudeau a annoncé par le truchement du ministre Carla Qualtrough de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et de l’Inclusion des personnes handicapées (rien que ça !) que les non-vaccinés au covid seront privés de prestations de chômage si la perte de leur emploi était due à leur refus de se faire vacciner, Radio-Canada rapporte :
La ministre fédérale responsable de l’assurance-emploi affirme que les Canadiens sans travail refusant de se faire vacciner pourraient se voir privés de prestations tant que les préoccupations de santé publique resteront au premier plan.
Les libéraux ont ajouté des clauses restrictives pour le versement de prestations, affirmant que le soutien fédéral ne doit pas aller aux travailleurs qui perdent leur emploi ou des heures de travail parce qu’ils refusent de se faire vacciner.
Les règles ne s’appliquent pas à ceux qui ont une exemption médicale.
La ministre de l’Emploi, Carla Qualtrough, a affirmé que la décision était en partie économique, pour s’assurer que les lieux de travail ne soient pas fermés en raison d’une éclosion, et qu’elle visait également à encourager davantage de Canadiens admissibles à se faire vacciner.
Dans une entrevue avec La Presse canadienne, Mme Qualtrough a indiqué que les règles resteront probablement en place tant que la santé publique demeurera une priorité politique absolue.
La dernière série de prestations du gouvernement pour les travailleurs durement touchés devrait durer jusqu’au début de mai, mais les libéraux ont le pouvoir de prolonger l’aide jusqu’à l’été si nécessaire.
Ainsi, il y aura deux sortes de travailleurs durement touchés, ceux recevant les prestations et les autres laissés dans l’oubli.
Me direz-vous quelle raison scientifique justifie un tel geste venant du gouvernement, en quoi le fait de ne pas recevoir de prestations de chômage réduit-il la « propagation » d’un virus ou d’un autre ? Est-ce que l’on exige des gens qui travaillent de se faire vacciner parce que leur emploi les expose théoriquement à des personnes « contaminées », ou est-ce simplement un moyen de les forcer à se faire injecter une substance ? Si c’est parce que leur emploi les expose à la propagation théorique du covid, cette mesure est inutile puisque les chômeurs ne seront de toute façon pas au travail. Est-ce une raison économique ? Il est fort surprenant que le gouvernement se soucie tout d’un coup d’économie, c’est une notion qu’il semble avoir totalement oubliée depuis près de deux ans. Le gouvernement n’a qu’à libérer le pays de ses mesures totalitaires et l’économie pourra rouler à nouveau (quand elle aura fini d’encaisser le choc de la crise financière que les libéraux auront préparé avec autant de zèle). C’est d’ailleurs une des choses que je reproche à ce gouvernement déchaîné, c’est d’avoir plongé le pays dans une crise bien plus grave que le « problème » qu’il prétend résoudre. En fin de compte, cette énième mesure n’a pas de fondement scientifique et est donc illégale ; elle est purement punitive (pour ce que tout ce cirque a de scientifique de toute façon).
Bien sûr, le fait que les vaccins covid disponibles soient liés à l’avortement ne dérange aucunement ce gouvernement pro-mort à tout crin, ni que ces vaccins soient tout à fait expérimentaux, ni que de nombreux effets secondaires graves ont suivi l’injection des produits en question, ni, enfin, que les produits ne sont même pas censés arrêter la « propagation » d’un virus qui ne fait pas grand-chose aux jeunes et aux gens dans la force de l’âge…
Mgr Strickland : « Je préfère mourir que de bénéficier de tout produit issu de l’utilisation d’un enfant avorté »
Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler au Texas.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocese of Tyler
4 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler au Texas, a avoué qu’il préférerait mourir plutôt que de tenter de bénéficier d’un « vaccin » produit en utilisant un enfant avorté.
Mgr Strickland a exprimé son rejet le plus catégorique des vaccins contaminés par l’avortement dans un message sur Twitter le 30 décembre 2021, soutenant les sentiments similaires du Père Mark Goring :
Je suis avec le Père Mark Goring, je préfère mourir que de bénéficier de quoi que ce soit produit en utilisant un enfant avorté...
— Évêque J. Strickland (@Bishopoftyler) 30 décembre 2021
Mgr Strickland et le Père Goring sont tous deux de fervents opposants à l’utilisation de lignées cellulaires fœtales dans le développement de « vaccins » ou de tout autre produit, et ce, depuis le début de l’épidémie de COVID-19. En décembre 2020, ils ont discuté ensemble des problèmes moraux liés aux vaccins COVID développés à partir de lignées cellulaires d’enfants avortés.
À l’époque, Mgr Strickland avait déclaré à propos des vaccins : « L’essentiel est que, s’il s’agit d’enfants à naître qui ont été avortés, tués intentionnellement, et que nous utilisons leurs corps pour produire quelque chose qui aide nos corps, je dis non, et j’encourage les autres à dire non. »
Lire la suiteLes documents secrets de Pfizer : le vaccin covid a provoqué quantité de fausses couches et de mortinaissances
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
23 décembre 2021 (LifeSiteNews) — La semaine dernière, Maya Vander, actrice vedette de Netflix, a raconté à ses admirateurs la douleur qui l’a dévastée d’avoir accouché d’un bébé mort-né à 38 semaines de grossesse le 9 décembre 2021.
« Hier a été le jour le plus difficile de ma vie », a posté Vander, 39 ans, sur Instagram, avec une photo de nouveaux vêtements de bébé dans une boîte à souvenirs qu’elle ramenait de l’hôpital à la place de son petit garçon. « J’en ai toujours entendu parler mais je n’ai jamais imaginé que je ferais partie des statistiques ».
Vander, un agent immobilier de Beverly Hills qui joue dans l’émission « Selling Sunset », avait posté en novembre une photo d’elle lors d’un tournage de grossesse et elle semblait l’image de la santé. Décrite comme « entièrement vaccinée » par le magazine US, Mme Vander a deux autres enfants : Aiden, deux ans, et sa fille Elle, un an.
Après sa perte, elle a écrit dans le magazine Insider qu’elle avait ressenti une diminution des mouvements du bébé quelques jours avant d’apprendre son décès et que son mari et ses deux enfants étaient positifs au COVID, alors qu’elle avait été testée négative. Elle a déclaré que le bébé, qui était « parfait » et pesait trois kilos et quatre onces, sera autopsié.
La perte de Vander a fait l’objet d’un grand nombre de reportages compatissants, mais aucun article n’a osé poser les questions brûlantes : les injections de vaccin COVID pendant sa grossesse ont-elles eu un rapport avec la mort de ce bébé ? Ou bien, le COVID avait-il quelque chose à voir avec la mort du bébé et le vaccin COVID aurait-il échoué ?
Les données que Pfizer ne voulait pas que vous voyiez
Lorsqu’un groupe appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency a demandé à Pfizer de partager les données brutes des essais du vaccin COVID et de la surveillance post-commercialisation qui ont été utilisées pour homologuer l’injection, le géant pharmaceutique s’est associé à la Food and Drug Administration (FDA) pour refuser les demandes de Freedom of Information Act (FOIA). En fait, la FDA (censée servir et protéger la santé publique) a engagé des avocats du ministère de la Justice et est allée en justice pour éviter au géant pharmaceutique de devoir révéler ses données ─ pendant 55 ans. C’est exact. La FDA et Pfizer ne voulaient pas que quelqu’un voie les chiffres derrière leur vaccin COVID avant 2076.
Lire la suiteUn pasteur montréalais : « Je ne prendrai pas part à cet apartheid médical »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Eno1/AdobeStock
En réaction aux nouvelles mesures sanitaires imposées par Legault, le pasteur Carlos Norbal proteste à nouveau contre les restrictions du gouvernement.
Le mercredi 22 décembre à 13 h ce pasteur s’est présenté devant le bureau du premier ministre pour lui demander de cesser « d’oppresser le peuple québécois » et d’arrêter « d’outrager les églises ».
« Imposer le passeport vaccinal comme condition pour entrer dans l’église est une violation de ma conscience en tant que pasteur et berger d’une communauté religieuse. Je ne prendrai pas part à cet apartheid médical qui crée un retour à une nouvelle forme de ségrégation dans notre société », a déclaré le pasteur.
« Ceci est une agressive attaque contre notre droit à la religion. L’État n’a aucune juridiction dans les choses de l’Église*, c’est-à-dire de la maison de Dieu. Si aucune loi n’est brisée dans les opérations relatives à l’Église, ses affaires ne regardent nullement l’État. »
En novembre 2020, ce même pasteur avait défié publiquement les normes gouvernementales, et avait prédit la violation de nos droits, « On a commencé la descente vers la tyrannie, où n’importe quelle loi peut s’inventer, et le peuple est appelé à se soumettre sans réfléchir. On est dans une passe dangereuse. Les droits qui nous sont pris ne seront jamais remis. »
Dans son récent communiqué de presse plus récent, Carlos Norbal a menacé de s’opposer aux lois si celles-ci venaient à contrevenir à la charte canadienne des droits et libertés, « … si les lois sont injustes, immorales et amorales nous ne les suivrons guère. Nous les opposerons pacifiquement et fermement afin d’exercer et protéger nos droits et nos libertés comme citoyen dans un État démocratique. »
Faisant appel à la constitution, les chartes des droits et libertés, la loi et le Code civil, ce pasteur prend une position claire et met l’autorité en garde contre les violations de ceux-ci, « tout policier ou autorité qui nuit, gène, intimide avant, pendant et après des services religieux ou réunion spirituelle est passible jusqu’à 2 ans de prison. Nous poursuivrons personnellement chaque individu impliqué dans cette violation de la loi afin qu’ils subissent la pleine force de la loi. »
*Certes, « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu », et ceci s’applique aux rapports entre l’Église catholique et l’État. Quant aux autres religions, en matière religieuse, l’État devrait consulter l’Église en ce qui concerne la politique à tenir par rapport à celles-ci. — A.H.
Une défense de la condamnation par Pamela Acker des vaccins contaminés par l’avortement
John-Henry Westen (à gauche) et Pamela Acker (à droite).
Par Hugh Owen — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Depuis plus d’un an maintenant, nous, les laïcs catholiques, avons été soumis à toutes sortes d’opinions de la part d’« experts » dans le domaine de la théologie morale et de la bioéthique concernant la licéité morale des vaccins contaminés par l’avortement.
Nous avons discuté du phénomène déconcertant de notre tendance à avoir beaucoup plus d’estime pour ces personnes accréditées dans un article publié le 8 juillet 2021 sur notre site Tradidi Quod et Accepi, intitulé Perpetuating the Myth : Experts and the Application of Principles [Perpétuer le mythe : les experts et l’application des principes].
Cet article était en fait une réfutation d’un article écrit par le père Tadeusz Pacholczyk, directeur du National Catholic Bioethics Center de Philadelphie, paru dans l’édition du 21 avril de Today’s Catholic, le média du diocèse de Fort Wayne — South Bend, Indiana. L’article en question ne peut être décrit que comme une attaque contre Pamela Acker, la biologiste catholique dont l’interview de janvier 2021 par John-Henry Westen a choqué le cybermonde catholique. Nous avons soumis notre réfutation au rédacteur en chef de Today’s Catholic au début du mois de juillet, mais à ce jour, pour autant que nous le sachions, elle n’a jamais été publiée.
Nous avons souvent fait référence à Mlle Pamela Acker sur notre blogue. Les arguments de cette jeune scientifique courageuse sont véridiques, solides, logiques et tout à fait catholiques. Mais dans son article, le père Pacholczyk s’oppose, entre autres, à l’affirmation de Mlle Acker selon laquelle le développement de la lignée de cellules souches embryonnaires/fœtales HEK-293 a impliqué le meurtre de bien plus que le « seul » bébé assassiné (supposément) en 1973. Le père Pacholcyzk a accusé Mlle Acker d’utiliser des « affirmations exagérées » pour « susciter un sentiment d’indignation » chez son public.
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