Canada : le gouvernement libéral prive les non-vaccinés de prestations de chômage
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andrey Popov/Adobe Stock
Le gouvernement libéral (marxiste) de Justin Trudeau a annoncé par le truchement du ministre Carla Qualtrough de l’Emploi, du Développement de la main-d’œuvre et de l’Inclusion des personnes handicapées (rien que ça !) que les non-vaccinés au covid seront privés de prestations de chômage si la perte de leur emploi était due à leur refus de se faire vacciner, Radio-Canada rapporte :
La ministre fédérale responsable de l’assurance-emploi affirme que les Canadiens sans travail refusant de se faire vacciner pourraient se voir privés de prestations tant que les préoccupations de santé publique resteront au premier plan.
Les libéraux ont ajouté des clauses restrictives pour le versement de prestations, affirmant que le soutien fédéral ne doit pas aller aux travailleurs qui perdent leur emploi ou des heures de travail parce qu’ils refusent de se faire vacciner.
Les règles ne s’appliquent pas à ceux qui ont une exemption médicale.
La ministre de l’Emploi, Carla Qualtrough, a affirmé que la décision était en partie économique, pour s’assurer que les lieux de travail ne soient pas fermés en raison d’une éclosion, et qu’elle visait également à encourager davantage de Canadiens admissibles à se faire vacciner.
Dans une entrevue avec La Presse canadienne, Mme Qualtrough a indiqué que les règles resteront probablement en place tant que la santé publique demeurera une priorité politique absolue.
La dernière série de prestations du gouvernement pour les travailleurs durement touchés devrait durer jusqu’au début de mai, mais les libéraux ont le pouvoir de prolonger l’aide jusqu’à l’été si nécessaire.
Ainsi, il y aura deux sortes de travailleurs durement touchés, ceux recevant les prestations et les autres laissés dans l’oubli.
Me direz-vous quelle raison scientifique justifie un tel geste venant du gouvernement, en quoi le fait de ne pas recevoir de prestations de chômage réduit-il la « propagation » d’un virus ou d’un autre ? Est-ce que l’on exige des gens qui travaillent de se faire vacciner parce que leur emploi les expose théoriquement à des personnes « contaminées », ou est-ce simplement un moyen de les forcer à se faire injecter une substance ? Si c’est parce que leur emploi les expose à la propagation théorique du covid, cette mesure est inutile puisque les chômeurs ne seront de toute façon pas au travail. Est-ce une raison économique ? Il est fort surprenant que le gouvernement se soucie tout d’un coup d’économie, c’est une notion qu’il semble avoir totalement oubliée depuis près de deux ans. Le gouvernement n’a qu’à libérer le pays de ses mesures totalitaires et l’économie pourra rouler à nouveau (quand elle aura fini d’encaisser le choc de la crise financière que les libéraux auront préparé avec autant de zèle). C’est d’ailleurs une des choses que je reproche à ce gouvernement déchaîné, c’est d’avoir plongé le pays dans une crise bien plus grave que le « problème » qu’il prétend résoudre. En fin de compte, cette énième mesure n’a pas de fondement scientifique et est donc illégale ; elle est purement punitive (pour ce que tout ce cirque a de scientifique de toute façon).
Bien sûr, le fait que les vaccins covid disponibles soient liés à l’avortement ne dérange aucunement ce gouvernement pro-mort à tout crin, ni que ces vaccins soient tout à fait expérimentaux, ni que de nombreux effets secondaires graves ont suivi l’injection des produits en question, ni, enfin, que les produits ne sont même pas censés arrêter la « propagation » d’un virus qui ne fait pas grand-chose aux jeunes et aux gens dans la force de l’âge…
Mgr Strickland : « Je préfère mourir que de bénéficier de tout produit issu de l’utilisation d’un enfant avorté »
Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler au Texas.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocese of Tyler
4 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Mgr Joseph Strickland, évêque de Tyler au Texas, a avoué qu’il préférerait mourir plutôt que de tenter de bénéficier d’un « vaccin » produit en utilisant un enfant avorté.
Mgr Strickland a exprimé son rejet le plus catégorique des vaccins contaminés par l’avortement dans un message sur Twitter le 30 décembre 2021, soutenant les sentiments similaires du Père Mark Goring :
Je suis avec le Père Mark Goring, je préfère mourir que de bénéficier de quoi que ce soit produit en utilisant un enfant avorté...
— Évêque J. Strickland (@Bishopoftyler) 30 décembre 2021
Mgr Strickland et le Père Goring sont tous deux de fervents opposants à l’utilisation de lignées cellulaires fœtales dans le développement de « vaccins » ou de tout autre produit, et ce, depuis le début de l’épidémie de COVID-19. En décembre 2020, ils ont discuté ensemble des problèmes moraux liés aux vaccins COVID développés à partir de lignées cellulaires d’enfants avortés.
À l’époque, Mgr Strickland avait déclaré à propos des vaccins : « L’essentiel est que, s’il s’agit d’enfants à naître qui ont été avortés, tués intentionnellement, et que nous utilisons leurs corps pour produire quelque chose qui aide nos corps, je dis non, et j’encourage les autres à dire non. »
Lire la suiteLes documents secrets de Pfizer : le vaccin covid a provoqué quantité de fausses couches et de mortinaissances
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
23 décembre 2021 (LifeSiteNews) — La semaine dernière, Maya Vander, actrice vedette de Netflix, a raconté à ses admirateurs la douleur qui l’a dévastée d’avoir accouché d’un bébé mort-né à 38 semaines de grossesse le 9 décembre 2021.
« Hier a été le jour le plus difficile de ma vie », a posté Vander, 39 ans, sur Instagram, avec une photo de nouveaux vêtements de bébé dans une boîte à souvenirs qu’elle ramenait de l’hôpital à la place de son petit garçon. « J’en ai toujours entendu parler mais je n’ai jamais imaginé que je ferais partie des statistiques ».
Vander, un agent immobilier de Beverly Hills qui joue dans l’émission « Selling Sunset », avait posté en novembre une photo d’elle lors d’un tournage de grossesse et elle semblait l’image de la santé. Décrite comme « entièrement vaccinée » par le magazine US, Mme Vander a deux autres enfants : Aiden, deux ans, et sa fille Elle, un an.
Après sa perte, elle a écrit dans le magazine Insider qu’elle avait ressenti une diminution des mouvements du bébé quelques jours avant d’apprendre son décès et que son mari et ses deux enfants étaient positifs au COVID, alors qu’elle avait été testée négative. Elle a déclaré que le bébé, qui était « parfait » et pesait trois kilos et quatre onces, sera autopsié.
La perte de Vander a fait l’objet d’un grand nombre de reportages compatissants, mais aucun article n’a osé poser les questions brûlantes : les injections de vaccin COVID pendant sa grossesse ont-elles eu un rapport avec la mort de ce bébé ? Ou bien, le COVID avait-il quelque chose à voir avec la mort du bébé et le vaccin COVID aurait-il échoué ?
Les données que Pfizer ne voulait pas que vous voyiez
Lorsqu’un groupe appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency a demandé à Pfizer de partager les données brutes des essais du vaccin COVID et de la surveillance post-commercialisation qui ont été utilisées pour homologuer l’injection, le géant pharmaceutique s’est associé à la Food and Drug Administration (FDA) pour refuser les demandes de Freedom of Information Act (FOIA). En fait, la FDA (censée servir et protéger la santé publique) a engagé des avocats du ministère de la Justice et est allée en justice pour éviter au géant pharmaceutique de devoir révéler ses données ─ pendant 55 ans. C’est exact. La FDA et Pfizer ne voulaient pas que quelqu’un voie les chiffres derrière leur vaccin COVID avant 2076.
Lire la suiteUn pasteur montréalais : « Je ne prendrai pas part à cet apartheid médical »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Eno1/AdobeStock
En réaction aux nouvelles mesures sanitaires imposées par Legault, le pasteur Carlos Norbal proteste à nouveau contre les restrictions du gouvernement.
Le mercredi 22 décembre à 13 h ce pasteur s’est présenté devant le bureau du premier ministre pour lui demander de cesser « d’oppresser le peuple québécois » et d’arrêter « d’outrager les églises ».
« Imposer le passeport vaccinal comme condition pour entrer dans l’église est une violation de ma conscience en tant que pasteur et berger d’une communauté religieuse. Je ne prendrai pas part à cet apartheid médical qui crée un retour à une nouvelle forme de ségrégation dans notre société », a déclaré le pasteur.
« Ceci est une agressive attaque contre notre droit à la religion. L’État n’a aucune juridiction dans les choses de l’Église*, c’est-à-dire de la maison de Dieu. Si aucune loi n’est brisée dans les opérations relatives à l’Église, ses affaires ne regardent nullement l’État. »
En novembre 2020, ce même pasteur avait défié publiquement les normes gouvernementales, et avait prédit la violation de nos droits, « On a commencé la descente vers la tyrannie, où n’importe quelle loi peut s’inventer, et le peuple est appelé à se soumettre sans réfléchir. On est dans une passe dangereuse. Les droits qui nous sont pris ne seront jamais remis. »
Dans son récent communiqué de presse plus récent, Carlos Norbal a menacé de s’opposer aux lois si celles-ci venaient à contrevenir à la charte canadienne des droits et libertés, « … si les lois sont injustes, immorales et amorales nous ne les suivrons guère. Nous les opposerons pacifiquement et fermement afin d’exercer et protéger nos droits et nos libertés comme citoyen dans un État démocratique. »
Faisant appel à la constitution, les chartes des droits et libertés, la loi et le Code civil, ce pasteur prend une position claire et met l’autorité en garde contre les violations de ceux-ci, « tout policier ou autorité qui nuit, gène, intimide avant, pendant et après des services religieux ou réunion spirituelle est passible jusqu’à 2 ans de prison. Nous poursuivrons personnellement chaque individu impliqué dans cette violation de la loi afin qu’ils subissent la pleine force de la loi. »
*Certes, « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu », et ceci s’applique aux rapports entre l’Église catholique et l’État. Quant aux autres religions, en matière religieuse, l’État devrait consulter l’Église en ce qui concerne la politique à tenir par rapport à celles-ci. — A.H.
Une défense de la condamnation par Pamela Acker des vaccins contaminés par l’avortement
John-Henry Westen (à gauche) et Pamela Acker (à droite).
Par Hugh Owen — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Depuis plus d’un an maintenant, nous, les laïcs catholiques, avons été soumis à toutes sortes d’opinions de la part d’« experts » dans le domaine de la théologie morale et de la bioéthique concernant la licéité morale des vaccins contaminés par l’avortement.
Nous avons discuté du phénomène déconcertant de notre tendance à avoir beaucoup plus d’estime pour ces personnes accréditées dans un article publié le 8 juillet 2021 sur notre site Tradidi Quod et Accepi, intitulé Perpetuating the Myth : Experts and the Application of Principles [Perpétuer le mythe : les experts et l’application des principes].
Cet article était en fait une réfutation d’un article écrit par le père Tadeusz Pacholczyk, directeur du National Catholic Bioethics Center de Philadelphie, paru dans l’édition du 21 avril de Today’s Catholic, le média du diocèse de Fort Wayne — South Bend, Indiana. L’article en question ne peut être décrit que comme une attaque contre Pamela Acker, la biologiste catholique dont l’interview de janvier 2021 par John-Henry Westen a choqué le cybermonde catholique. Nous avons soumis notre réfutation au rédacteur en chef de Today’s Catholic au début du mois de juillet, mais à ce jour, pour autant que nous le sachions, elle n’a jamais été publiée.
Nous avons souvent fait référence à Mlle Pamela Acker sur notre blogue. Les arguments de cette jeune scientifique courageuse sont véridiques, solides, logiques et tout à fait catholiques. Mais dans son article, le père Pacholczyk s’oppose, entre autres, à l’affirmation de Mlle Acker selon laquelle le développement de la lignée de cellules souches embryonnaires/fœtales HEK-293 a impliqué le meurtre de bien plus que le « seul » bébé assassiné (supposément) en 1973. Le père Pacholcyzk a accusé Mlle Acker d’utiliser des « affirmations exagérées » pour « susciter un sentiment d’indignation » chez son public.
Lire la suiteUn évêque québécois dénonce le passeport sanitaire
Guy Desrochers, évêque de Pembroke (Ontario et Québec).
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Site du Diocèse de Pembroke
Lundi 20 décembre, Mgr Guy Desrochers a remis en question le passeport sanitaire dans sa déclaration aux fidèles du diocèse de Pembroke.
Sa déclaration va droit au but : pourquoi des passeports vaccinaux obligatoires pour les lieux de culte ? « … veuillez prendre note que les évêques du Québec n’ont même pas été consultés avant la publication de cette annonce qui m’apparaît totalement injuste pour une partie de nos fidèles, et qui, de toute évidence, ne comporte aucun fondement scientifique, puisque même les vaccinés peuvent être contaminés et en contaminer d’autres, comme l’ont révélé les scientifiques et les médias encore dernièrement. Si tel est le cas, comment pouvons-nous justifier cette idée d’imposer un passeport vaccinal, comme si, par magie, on pouvait ainsi éviter la contamination ? »
S’appuyant sur le droit canonique lui-même, l’évêque québécois rappelle que l’État ne doit pas enfreindre les lois de l’Église, « Je me demande sérieusement si la ligne de séparation entre ce que l’État peut et ne peut pas dicter aux diverses communautés religieuses ne vient pas d’être franchie avec cette obligation de présenter des passeports vaccinaux à l’entrée de nos églises. Le Code de droit canonique est pourtant clair : aucun fidèle ne doit être privé des sacrements. »
Lançant un puissant appel à ses fidèles, Mgr Desrochers les invite à oser, « interpeller vos représentants de gouvernement à modifier cette loi qui outrepasse en fait le rôle et le devoir qu’ils doivent jouer dans notre société. Leur rôle est terrestre, et nous reconnaissons que c’est Dieu lui-même qui leur a confié cette responsabilité, mais le nôtre est céleste, car le Christ lui-même nous confie la gérance spirituelle de son Royaume. Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu, nous dit notre Maître et Sauveur. »
Big Pharma, Gates, Fauci, des responsables britanniques accusés de crimes contre l’humanité dans une plainte déposée devant un tribunal international
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OSeveno/Wikimedia Commons
16 décembre 2021 (LifeSiteNews) — Un groupe qui comprend l’ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a déposé une plainte auprès de la Cour pénale internationale (CPI) au nom de citoyens britanniques contre Boris Johnson et des fonctionnaires britanniques, Bill et Melinda Gates, des directeurs généraux de sociétés Big Pharma, le président exécutif du Forum économique mondial, Klaus Schwab, et d’autres personnes pour crimes contre l’humanité.
Le groupe britannique, composé d’un astrophysicien et d’un entrepreneur de pompes funèbres, a également accusé le Dr Anthony Fauci, Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), June Raine, directrice générale de la Medicines and Healthcare products regulatory agency (MHRA), le Dr Peter Daszak, président d’EcoHealth Alliance, comme « responsables de nombreuses violations du code de Nuremberg ... de crimes de guerre et de crimes d’agression » au Royaume-Uni et dans d’autres pays.
Après avoir tenté en vain, à plusieurs reprises, de saisir la justice anglaise, les requérants se sont résolus à demander de « toute urgence » à la CPI « d’arrêter le déploiement des vaccinations COVID, l’introduction de passeports de vaccination illégaux et tous les autres types de guerres illégales... menées contre la population du Royaume-Uni ».
Dans sa plainte déposée le 6 décembre, le groupe présente des preuves que les « vaccins » COVID-19 sont en fait des thérapies géniques expérimentales conçues à partir de recherches sur les gains de fonction des coronavirus de chauve-souris, et affirme que ces « vaccins » ont causé des décès et des blessures massifs et que le gouvernement britannique n’a pas enquêté sur ces décès et blessures signalés ; que les chiffres de cas et de décès du COVID ont été artificiellement gonflés ; que les masques faciaux sont nocifs en raison de l’hypoxie, de l’hypercapnie et d’autres causes ; et que les tests PCR sont « totalement peu fiables » et « contiennent de l’oxyde d’éthylène cancérigène ».
Ils ont également fait valoir que des traitements efficaces contre le COVID-19, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été supprimés, ce qui a entraîné un nombre de décès dus au COVID-19 supérieur à ce qui aurait dû être le cas.
Lire la suiteDes évêques, des prêtres et des journalistes catholiques signent la «Déclaration de Bethléem» qui s’oppose aux vaccins covid «moralement illicites»
Par Pierre-Alain Depauw (Medias Presse Info) d'après LifeSiteNews
Un groupe de prélats catholiques, d’universitaires et de journalistes catholiques a lancé une pétition appelant la hiérarchie de l’Église, les fidèles laïcs et « toutes les personnes de bonne volonté » à « s’opposer avec véhémence » aux injections expérimentales contre le COVID-19, ainsi qu’à l’obligation vaccinale, qualifiant ces injections de « moralement illicites ».
« La Déclaration de Bethléem », parrainée par le diacre Nick Donnelly du diocèse de Lancaster, en Angleterre, a été approuvée par les évêques Athanasius Schneider, Marian Eleganti et Rene Henry Gracida, ainsi que plusieurs prêtres et autres universitaires tels que les Drs Peter Kwasniewski des États-Unis, Berthold Wald d’Allemagne et Caroline Farey du Royaume-Uni.
Au total, 52 personnes sont répertoriées comme « signataires initiaux » de la pétition.
Outre, les aspects liés aux avortements qui ont servi à la réalisation de ces « vaccins », la Déclaration observe que les injections disponibles dans le monde occidental « sont vraiment des traitements médicaux basés sur les gènes », « remettant ainsi en question » l’applicabilité de l’enseignement de l’Église sur les vaccins standard qui sont « qualitativement différents ».
Traitant spécifiquement la « thérapie génique », une instruction de l’Église catholique souligne qu’en raison des « risques importants » de cette forme de traitement, la science doit « établir au préalable » que le patient n’est pas « exposé à des risques excessifs pour sa santé ou son intégrité physique, ou disproportionné par rapport à la gravité de la pathologie pour laquelle un remède est recherché ».
Le document poursuit en proposant qu’en l’absence d’expérimentation animale préalable, de comités de sécurité standard et de données transparentes, « il est impossible d’affirmer que les avantages de ces injections sont proportionnés aux effets secondaires nocifs, comme il est moralement nécessaire de le savoir avant de telles thérapies géniques expérimentales peuvent être moralement acceptables ».
Lire la suiteLe Nouveau-Brunswick retire ses mesures vaccinales pour les épiceries devant le tollé public
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Farknot Architect/Adobe Stock
20 décembre 2021, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — Les Canadiens non vaccinés du Nouveau-Brunswick sont maintenant autorisés à accéder de nouveau à toutes les épiceries, après que la pression intense de la population ait conduit le gouvernement à se rétracter de sa politique qui laissait aux entreprises le soin de [décider comment] traiter les personnes qui refusent le vaccin COVID, contaminé par l’avortement.
Vendredi, la province du Nouveau-Brunswick a fait marche arrière sur un aspect de son « plan d’hiver » COVID-19 qui obligeait les épiceries soit à appliquer la distance sociale, soit à exiger que tous les clients soient « entièrement vaccinés ». Cette mesure avait été initialement mise en place le 4 décembre et avait immédiatement suscité une forte opposition de la part de la population, des médias indépendants et du Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF).
« Une option permettant aux magasins qui vendent des produits d’épicerie de demander aux clients de 12 ans et plus une preuve de vaccination, au lieu de mettre en œuvre des exigences de distanciation, est retirée du décret obligatoire de la province », a écrit la province vendredi. « L’intention initiale était de donner le choix aux magasins, et que ceux qui choisissent l’option de la preuve de vaccination offrent la livraison ou le ramassage en bordure de rue ; il n’a jamais été question que quiconque croie qu’il ne pouvait pas avoir accès aux produits d’épicerie. »
Trois jours seulement après l’annonce de la mesure coercitive, la JCCF a envoyé une « mise en demeure » à la province pour lui reprocher sa politique ─ désormais annulée ─ tout en l’informant que la mesure transgressait la loi.
Lire la suite« Je préfère mourir que de perdre ma liberté » : le président brésilien dénonce les passeports vaccinaux
Jair Bolsonaro, président du Brésil.
Par Tim Jackson — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Palácio dol Planalto/Flickr
10 décembre 2021, Brésil (LifeSiteNews) — Le président brésilien Jair Bolsonaro a comparé les passeports vaccinaux à une laisse pour chien alors que son administration se bat pour empêcher la mesure discriminatoire d’être mise en œuvre au niveau fédéral au Brésil.
L’ancien officier de l’armée a déclaré aux journalistes au Palácio do Planalto, à Brasília, qu’il « préférerait mourir » plutôt que de perdre sa liberté.
« Nous avons demandé [au régulateur de la santé], pourquoi le passeport sanitaire ? Quelle est cette laisse qu’ils veulent mettre au peuple brésilien ? Où est notre liberté ? Je préfère mourir que de perdre ma liberté », a déclaré M. Bolsonaro.
Suite à ces commentaires, le ministre brésilien de la Santé, Marcelo Queiroga, a confirmé que l’administration avait exclu d’exiger un certificat de vaccination contre le COVID-19 pour les voyageurs entrant dans le pays, déclarant aux journalistes qu’« on ne peut pas faire de discrimination entre les personnes vaccinées et non vaccinées pour imposer des restrictions ».
« Parfois, il vaut mieux perdre sa vie que de perdre sa liberté », a ajouté M. Queiroga.
Le régulateur national de la santé, Anvisa, avait recommandé d’exiger une preuve de vaccination des voyageurs étrangers dans les aéroports, la Cour suprême du Brésil ayant déterminé que le gouvernement devait exposer sa position cette semaine.
En annonçant sa décision de rejeter les laissez-passer pour le vaccin COVID, l’administration Bolsonaro a toutefois instauré une nouvelle obligation pour les voyageurs non vaccinés, qui devront rester en quarantaine à partir de samedi dans un lieu de leur choix pendant cinq jours avant de subir un test PCR.
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