Le pape François révoque brusquement un évêque fidèle qui s’opposait à l’obligation des vaccins covid
Mgr Daniel Fernández Torres, évêque d'Arecibo au Porto Rico.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocèse d'Arecibo
9 mars 2022, Arecibo, Porto Rico (LifeSiteNews) — Le pape François a destitué sans procédure formelle Mgr Daniel Fernández Torres, évêque conservateur du diocèse d’Arecibo à Porto Rico, en raison d’allégations de désobéissance et de manque de collégialité avec ses confrères portoricains.
Le Saint-Siège a annoncé que le pape François avait « relevé » l’évêque d’Arecibo de la charge pastorale de son diocèse dans un note publié le 9 mars 2022.
Mgr Fernández Torres, 57 ans, ardent défenseur de la vie et de la famille et s’opposant aux mandats de vaccination COVID, a protesté contre sa destitution qu’il juge « totalement injuste » dans une déclaration mercredi.
L’évêque, qui a dirigé le diocèse d’Arecibo pendant près de 12 ans, a noté que le délégué apostolique du pape François à Porto Rico lui a demandé verbalement de démissionner, mais il dit qu’il a refusé de le faire, car il « ne voulait pas devenir complice d’une action totalement injuste ».
« Aucun processus n’a été engagé contre moi », écrit Mgr Fernández Torres, « je n’ai pas été formellement accusé de quoi que ce soit, et simplement un jour, le délégué apostolique m’a communiqué verbalement que Rome me demandait de démissionner ».
« Un successeur des apôtres est maintenant remplacé sans même entreprendre ce qui serait une procédure canonique régulière pour destituer un curé », ajoute l’évêque.
« On m’a informé que je n’avais commis aucun crime, mais que j’avais soi-disant “manqué d’obéissance au pape et n’avais pas été suffisamment en communion avec mes frères évêques de Porto Rico” », a-t-il ajouté. « On m’a suggéré que si je démissionnais du diocèse, je resterais au service de l’Église au cas où, à un moment donné, on aurait besoin de moi à un autre poste ; une offre qui prouve en fait mon innocence. »
« Cependant, je n’ai pas démissionné parce que je ne voulais pas devenir complice d’une action totalement injuste et que, même maintenant, je suis réticent à l’idée que cela puisse arriver dans notre Église ».
« Je regrette profondément que dans l’Église où l’on prêche tant la miséricorde, en pratique, certains manquent d’un minimum de sens de la justice », a-t-il poursuivi. « J’exprime ma communion dans la foi catholique, avec le pape et mes frères dans l’épiscopat, malgré ma perplexité face à un arbitraire incompréhensible ».
Lire la suiteUne université canadienne publie des études sur des « souris humanisées » à l’aide de tissus de bébés avortés
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
28 février 2022, Saskatoon, Saskatchewan (LifeSiteNews) — De nouveaux documents de recherche ont été publiés à la suite d’expériences sur des « souris humanisées » financées par le gouvernement à l’Université de la Saskatchewan, les contribuables canadiens devant payer pour une recherche médicale controversée utilisant les organes de bébés avortés.
Dr Kerry Lavender est professeur adjoint de biochimie, de microbiologie et d’immunologie à la faculté de médecine de l’université de la Saskatchewan, où sa biographie officielle mentionne les souris humanisées comme l’un de ses domaines de prédilection, lui attribuant le « développement du modèle de souris humanisée TKO-BLT en vue de la découverte et de l’évaluation de thérapies et de stratégies de guérison du VIH-1 » en collaboration avec le National Institute of Allergy & Infectious Diseases (NIAID) des National Institutes of Health (NIH) des États-Unis.
Ces expériences, qui font l’objet d’une controverse depuis des années aux États-Unis, consistent à implanter des tissus fœtaux humains et des cellules souches fœtales humaines dans des souris afin de doter les animaux d’un système immunitaire plus proche de celui des humains dans le but de tester des médicaments.
Vote Family rapporte qu’en 2020, Mme Lavender a reçu une subvention de 317 258 $ des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) pour d’autres études sur les souris humanisées, qui consistent cette fois à
des plaques de poumon fœtal humain par voie sous-cutanée sur l’épaule de souris immunodéficientes. Lavender, qui a qualifié ses créations de « mignonnes », disposerait de plus de 150 souris de ce type.
Lire la suiteLes autopsies montrent que des personnes meurent à cause des vaccins covid
Par Joel S. Hirschhorn (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Yuttana Studio/Adobe Stock
Campagne Québec-Vie aborde le sujet des vaccins du covid-19, dont l’imposition est le sujet ici, car il a un impact sur nos sujets habituels comme l’avortement. En effet, les vaccins du covid-19 actuellement disponibles sont liés à l’avortement par les lignées cellulaires issues de bébés avortés, comme HEK 293, dans leur développement, leur production ou leur testage. Voici un texte plus détaillé sur la question de notre implication dans ce débat. — A.H.
25 février 2022 (TrialSiteNews) — Imaginez des parents trouvant leurs fils adolescent mort dans son lit le matin, sans aucune indication préalable qu’ils étaient sérieusement malades. Imaginez le chagrin des parents qui se sont laissés convaincre par la coercition et la propagande pour faire vacciner leurs enfants, malgré toutes les données du CDC montrant que le COVID présente peu de risques d’effets graves sur la santé des enfants. Aujourd’hui, leurs enfants sont morts dans leur sommeil peu après avoir été vaccinés.
Notez qu’un excellent article paru en juin 2021 était intitulé : « Si les vaccins Covid-19 peuvent provoquer une inflammation cardiaque, la prudence s’impose chez les personnes à risque ». Il disait ceci : « Bien que la plupart des cas rapportés à ce jour soient légers et se résolvent sans conséquence, la myocardite peut être une affection grave. Elle peut entraîner un déclin important de la fonction cardiaque, nécessiter une hospitalisation, une pompe cardiaque artificielle, voire une transplantation cardiaque, et peut même être fatale ». Les médecins auteurs ont noté : « Pourtant, en tant que prestataires de soins de santé, nous ne devons pas donner l’impression de minimiser les complications graves comme la myocardite chez les personnes potentiellement à risque ». Mais qui est à risque ? Il semble maintenant clair que les jeunes hommes sont à risque. Ce qui est moins clair, c’est de savoir quels adultes sont à risque, sauf que nous savons que ce sont les hommes qui sont le plus à risque.
Un article médical récent a présenté des données sur la fréquence de la myocardite ; voici ses conclusions : « Dans cette étude descriptive de 1626 cas de myocardite dans un système national de déclaration passive, les taux bruts de déclaration dans les 7 jours suivant la vaccination ont dépassé les taux attendus dans de multiples strates d’âge et de sexe. Les taux de myocardite étaient les plus élevés après la deuxième dose de vaccination chez les adolescents de sexe masculin âgés de 12 à 15 ans (70,7 par million de doses du vaccin [Pfizer]), chez les adolescents de sexe masculin âgés de 16 à 17 ans (105,9 par million de doses du vaccin [Pfizer]) et chez les jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans (52,4 et 56,3 par million de doses du vaccin [Pfizer] et du vaccin [Moderna], respectivement)… Ce risque doit être considéré dans le contexte des avantages de la vaccination par le COVID-19. » Mais les avantages sont minimes pour les jeunes gens en bonne santé.
Lire la suiteVaccination covid et grossesse
Par le Swiss Policy Research — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : uni/Adobe Stock
Selon une analyse préliminaire des données britanniques, la vaccination contre le covid pendant la grossesse pourrait être associée à un risque accru de 33 % de mortinatalité.
Remarque : cet article ne constitue pas un avis médical ; les lecteurs sont priés de consulter leur médecin.
Une analyse bayésienne préliminaire des données britanniques sur la mortinatalité, ajustée en fonction de l’âge et du trimestre, réalisée par un analyste de données indépendant, a révélé que la vaccination contre le covid pendant la grossesse était associée à une augmentation de 33 % du risque de mortinatalité par rapport aux [grossesses des] femmes non vaccinées (estimation min./max. : 11 % et 57 %).
Il convient de noter que le risque absolu de mortinatalité (après la 20e semaine) est plutôt faible (généralement environ 0,5 %) et que les données britanniques ne font pas de distinction entre la première et la deuxième vaccination. En outre, les données couvrent la période de janvier à août 2021, au cours de laquelle seules 25 000 des 355 000 femmes enceintes ont été vaccinées, et la plupart d’entre elles (71 %) n’ont reçu le premier vaccin covid qu’au troisième trimestre de leur grossesse. Enfin, la Grande-Bretagne a surtout utilisé le vaccin ADN d’AstraZeneca.
Néanmoins, si les 355 000 femmes enceintes avaient toutes été vaccinées, et si l’estimation du risque supplémentaire de 33 % est correcte et liée à la cause, cela aurait représenté environ 600 bébés mort-nés supplémentaires en Grande-Bretagne et environ 6 000 aux États-Unis et en Europe combinés.
Il convient de noter que le CDC américain a constaté qu’un « diagnostic de covid » peut également augmenter le risque de mortinatalité, mais toutes les femmes enceintes ne contractent pas le covid et la vaccination ne prévient pas forcément le covid.
Lire la suiteUn prêtre propose trois étapes pour libérer la société de l’emprise du covidisme
Le Père James Mawdsley.
Par Joseph Summers — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo/The Remnant TV
Campagne Québec-Vie aborde le sujet des vaccins du covid-19, dont l’imposition est le sujet ici, car il a un impact sur nos sujets habituels comme l’avortement. En effet, les vaccins du covid-19 actuellement disponibles sont liés à l’avortement par les lignées cellulaires issues de bébés avortés, comme HEK 293, dans leur développement, leur production ou leur testage. Voici un texte plus détaillé sur la question de notre implication dans ce débat. — A.H.
17 février 2022 (LifeSiteNews) — Un prêtre a publié mercredi une vidéo qui utilise des principes catholiques pour surmonter les mesures tyranniques du COVID.
La vidéo du Père James Mawdsley à The Remnant TV, qui a été retirée de YouTube le 10 février, expliquait trois étapes pour surmonter les mesures mises en place pour combattre le COVID-19.
La première étape proposée est qu’il ne faut rien faire qui soit en contradiction avec la conscience. Concernant la piqûre, le Père Mawdsley a déclaré : « Si prendre une thérapie génique dérivée d’embryons est contraire à votre conscience, ne vous en approchez pas. » Le P. Mawdsley a également conseillé de ne pas agir de manière irrationnelle, affirmant que le diable cherche à cacher l’image de Dieu par un comportement irrationnel.
À propos de l’utilisation de masques, le P. Mawdsley a déclaré : « Si vous comprenez qu’il est irrationnel de porter un masque dans votre voiture, ou n’importe où à l’extérieur, ou même à l’intérieur, alors vous ne pouvez pas le faire. Si quelqu’un a peur et pense qu’un masque fait partie de la solution, alors personne ne va lui faire la vie dure pour l’avoir porté. Mais ce n’est pas de la charité que de nourrir une maladie mentale », a déclaré le P. Mawdsley. « Porter un masque n’est pas sans coût. Il renforce un récit de peur, de désespoir, et pire, c’est un signe d’assujettissement. Rien de tout cela n’est de la charité. »
La deuxième étape décrite par le P. Mawdsley consiste à ne pas contraindre les autres à se conformer aux mandats. « Les tyrans dépendent absolument des couches de la population qui exercent un contrôle sur les couches inférieures », explique le P. Mawdsley, ajoutant que tout ce dont un tyran a besoin pour être obéi, c’est de la conformité de quelques-uns, qui à leur tour amèneront les autres à se conformer à eux.
Lire la suiteLes restrictions partiellement levées en Autriche : le chapelet est une arme puissante et efficace
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash
En Autriche, à la fin du mois de novembre 2021, au milieu de la crise sociétale et dans le tourbillon des événements du monde, un père de famille décida d’agir.
« Notre pays, qui traverse actuellement l’une des crises les plus graves de son histoire, doit être confié à notre Sainte Mère. »
C'est alors qu’il a lancé l’Autriche prie qui compte maintenant plus de 250 chapelets publics récités chaque semaine.
Qu’en est-il advenu ? Les fruits sont visibles. « Le chancelier autrichien a annoncé, mercredi 16 février, la levée prochaine de la plupart des mesures contre le Covid-19. Il ne sera ainsi plus nécessaire de montrer un pass vaccinal à l’entrée des hôtels, restaurants, concerts et événements sportifs. Le couvre-feu est aussi supprimé », selon franceinfo.
« À partir du 5 mars, toutes les mesures seront supprimées, à l’exception du masque FFP2 dans les transports en commun et dans les commerces de proximité. » selon austria.info
Une volonté d’agir, une simple prière, et une confiance inébranlable : voilà ce qui a attiré la protection de Notre-Dame sur ce pays majoritairement catholique.
Suite à leur demande de « retrouver la paix et la liberté dans la société dans le respect de l’ordre et du droit naturel et divin. », les Autrichiens reprennent petit à petit leur liberté, et surtout, savent plus que jamais que leur force, leur courage et leur espoir se trouvent dans le chapelet.
L’obligation vaccinale du Vatican viole le code de bioéthique et doit cesser maintenant, selon un expert du covid-19
Le Dr Peter McCullough.
Traduit par Campagne Québec-Vie
15 février 2022, Rome (LifeSiteNews) — Dans une nouvelle entrevue avec le journaliste Edward Pentin, une autorité de premier plan sur le COVID-19 a appelé le Vatican à abandonner immédiatement son plaidoyer et ses mandats en faveur des vaccins, avertissant que sa position sur les vaccins le rend complice des décès dus aux vaccins et viole l'essentiel du code de bioéthique.
Le Dr Peter McCullough, interniste, cardiologue et épidémiologiste basé à Dallas, qui compte 54 publications évaluées par des pairs sur le COVID-19 et a témoigné devant le Sénat américain sur la réponse à la pandémie, a également appelé le Vatican à « lancer immédiatement une campagne d’intérêt public sur les blessures et les décès dus aux vaccins ».
McCullough s’est entretenu avec Pentin par téléphone, le 11 février, et a déclaré que le Vatican devra déjà « rendre compte des centaines de milliers de vies potentiellement perdues à cause du vaccin dans le monde entier » parce qu’il a violé le Code de Nuremberg — un ensemble de principes éthiques qui excluent toute pression, coercition ou menace de représailles pour tout traitement médical, surtout s’il est nouveau et expérimental.
Malgré l’enseignement du Vatican selon lequel la vaccination « n’est pas, en règle générale, une obligation morale et que, par conséquent, elle doit être volontaire », il impose désormais à tous les employés et visiteurs — à l’exception de ceux qui assistent aux liturgies et aux audiences papales -- d’être entièrement vaccinés ou d’avoir récemment récupéré du virus pour pouvoir entrer sur le territoire du Vatican.
Vous trouverez ci-dessous un extrait de l’entretien. L’intégralité de l’entretien peut être consulté ici :
Dr McCullough, en tant qu’expert interniste, cardiologue, épidémiologiste, vous avez examiné de près les complications cardiovasculaires à la fois de l’infection virale et des lésions se développant après le vaccin COVID-19. Vous avez également produit 54 publications évaluées par des pairs sur le COVID-19. En tant que personne éminemment qualifiée dans ce domaine, pourriez-vous résumer brièvement vos préoccupations concernant les vaccins, et les vaccins à ARNm en particulier ?
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L’industrie de l’avortement continuera à se développer si nous ne refusons pas d’en bénéficier
Par Leila Marie Lawler (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : SciePro/Adobe Stock
3 février 2022 (Happy Despite Them) — Cet article de Monica Seeley, paru dans Crisis : Why the Blackout on Fetal Tissue Research Among Pro-Lifers? [Pourquoi le silence des pro-vie à propos de la recherche sur les tissus fœtaux ?] offre un aperçu utile de l’utilisation des tissus de fœtus avortés dans les vaccins COVID. Il est important de dire la vérité sur la façon dont ces lignées cellulaires sont développées et comment notre système médical est corrompu par elles, entraînant nos consciences avec elles — au point que même les opposants à l’avortement s’abstiennent de les mentionner.
J’ai publié de nombreux articles sur ce sujet (vous pouvez consulter les archives ici — cet article contient des informations qui remettent en question une assurance courante, à savoir que l’ADN de la source ne se retrouve pas dans le vaccin lui-même).
Il reste encore beaucoup à faire pour exposer ce qui ne peut être décrit que comme une énorme industrie, prête à dépasser sa part déjà importante de l’économie — la monétisation de la santé sous tous ses aspects. (Pour plus d’informations sur ce sujet, qui se trouve malheureusement derrière un « paywall » dans le Wall Street Journal, voir « Will We All Soon Live in Cancerland? Les nouvelles technologies promettent de nous aider à découvrir davantage de cancers à temps pour les traiter. Mais elles risquent aussi d’entraîner même les bien-portants dans un royaume de la maladie généralisée »).
Alors que la population est envahie par la peur de la maladie, le complexe médico-pharmaceutique-et-assurance a tout à gagner, notamment en proposant — ou en imposant — des produits qui manipulent les processus génétiques mêmes de notre corps.
Les vaccins COVID ont fourni le prétexte pour aller de l’avant dans ce domaine épouvantable. Malgré les protestations de gardiens éthiques autoproclamés comme le père Matthew Schneider, LC, c’est vraiment ce virus particulier et aucun autre qui a encouragé [l’usage du] tissu fœtal avorté.
Cette évolution est résumée dans un article paru le 16 mars 2021 dans la MIT Technology Review : Scientists plan to drop the 14-day embryo rule, a key limit on stem cell research [Les scientifiques envisagent d’abandonner la règle des embryons de 14 jours, une limite qui est un élément-clé de la recherche sur les cellules souches].
Lire la suiteUn hôpital du Wisconsin a refusé de réanimer une patiente trisomique non vaccinée
Cindy, Grace et SCott Schara.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : OurAmazingGrace.net
14 février 2022, Appleton, Wisconsin (LifeSiteNews) — Un couple du Wisconsin veut des réponses après qu’un hôpital catholique à but non lucratif eût inscrit et traité leur fille trisomique non vaccinée en tant que cas de non-réanimation sans leur consentement, avant sa mort.
Selon The Epoch Times, Grace Schara, 19 ans, a été admise à l’hôpital St. Elizabeth d’Appleton le 6 octobre 2021, cinq jours après avoir été testée positive au COVID-19. Schara était atteinte de Trisomie 21 et son père, Scott, l’a décrite comme une personne très active. L’hôpital St. Elizabeth fait partie du groupe Ascension, qui se veut « confessionnel ».
Les parents Scott et Cindy Schara affirment que, dès le début, le personnel de l’hôpital a critiqué le rejet par la famille des vaccins COVID-19 et son acceptation des protocoles de traitement précoce recommandés par le groupe America’s Frontline Doctors. Ils se sont également opposés aux efforts finalement couronnés de succès de Scott et Jessica (la sœur de Grace) pour rester auprès de Grace en tant que défenseurs des droits des patients via l’American Disabilities Act, ainsi qu’à ceux de Scott qui a dû désactiver lui-même les alarmes dans la chambre de sa fille pour l’aider à dormir après que le personnel ait ignoré à plusieurs reprises ses demandes pour que les alarmes ne se déclenchent qu’au poste de l’infirmière.
Scott allègue que le niveau d’oxygène dans le sang de Grace a été enregistré à plusieurs reprises comme étant plus bas qu’il ne l’était en réalité, afin de tenter de justifier son placement sous respirateur. Cependant, étant donné qu’il était présent, il dit avoir pu enquêter et déterminer qu’un équipement défectueux était responsable de ces faibles valeurs.
« Ils voulaient donc que nous prenions une décision anticipée pour pouvoir mettre Grace sous respirateur quand ils le voudraient », a déclaré Scott à The Epoch Times. « Cela est significatif car c’est ce qu’ils font : ils veulent avoir cette décision de la famille dans leur poche arrière. »
Lire la suitePourquoi parler ainsi des vaccins du covid ?
Réponse de Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie, à la lettre d’une lectrice — Photo : pavasaris/Adobe Stock
Lettre de Mme Gabrielle-Lise G. :
Bonjour M. Buscemi !
Je dois d’abord vous dire que les articles de votre bulletin de février sont, à mon avis, tout à fait appropriés ce qui n’était pas le cas dans certains bulletins précédents au cours de la pandémie. Les prières pour que cessent la pandémie et les restrictions sont une bonne chose et auraient dû se faire dès les débuts de cette crise. Personnellement, pendant les premières semaines, j’avais placé un cadre du Sacré-Cœur dans ma fenêtre donnant sur la rue.
Cependant, j’ai beaucoup de restrictions et de questionnements par rapport à la lettre qui accompagne votre envoi [qui peut être lue ici, sous le titre « Que penser du “passeport vaccinal” ? »]. Bien sûr, la liberté de culte n’a pas été respectée (soit dit en passant, aussi pour les juifs, les musulmans et les autres religions). En ce domaine, il aurait fallu rencontrer nos évêques pour leur expliquer nos doléances peut-être, auraient-ils réclamé davantage cette liberté (de culte) auprès de nos gouvernements (du moins ceux des provinces).
Pour ce qui est de l’utilisation de produits de fœtus avortés pour les vaccins, certains en contenaient (Astra Zeneca, par exemple) mais pas Pfizer et Moderna. D’ailleurs pourquoi notre Pape aurait-il dit de se faire vacciner pour protéger notre entourage et que lui-même et le Pape émérite Benoît XVI se seraient-ils fait vacciner ?
Quant aux liens que vous faites avec le baptême, ne charriez-vous pas un peu ? Et ce complexe de persécution ? Il ne faut pas inventer des persécutions où il n’y en a pas. Certains excès de langage et certaines formes d’implication dans des manifestations ne sont pas les meilleurs moyens de faire respecter nos droits, d’autant plus qu’ils divisent la population et provoquent la persécution. Serait-ce l’attitude de notre Divin Sauveur ? N’a-t-Il pas dit du haut de la croix : « Père, pardonnez-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ». En tant que chrétiens, ne devons-nous pas chercher à être vrais plutôt qu’à avoir raison ?
En fille de l’Église, j’attends votre réponse,
Gabrielle-Lise G.
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