Le plus grand groupe pro-vie du Canada demande aux évêques d’annuler l’obligation des injections covid liées à l’avortement
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie
Hamilton, Ontario, 26 janvier 2022 (Campaign Life Coalition) — Campaign Life Coalition a envoyé une lettre à tous les évêques, archevêques et cardinaux catholiques du Canada pour leur demander de respecter les prêtres et les fidèles laïcs qui ont décidé en toute conscience de refuser les vaccins COVID-19 parce qu’ils sont contaminés par l’avortement.
« Veuillez respecter et prendre en compte leur conscience ainsi que leur décision libre et éclairée. Veuillez faire en sorte que les églises restent ouvertes à tous, quel que soit leur statut vaccinal », indique la lettre du 14 janvier du président de CLC, Jeff Gunnarson (lire la lettre complète ci-dessous, version PDF imprimable ici).
La lettre, envoyée à 77 prélats dans plus de 70 diocèses du pays, dont les cardinaux Thomas Collins de Toronto et Gérald Lacroix de Québec, ainsi que le nonce apostolique du pape au Canada, Mgr Ivan Jurkovič, attire l’attention sur les bébés qui ont été assassinés et dont les parties du corps ont été prélevées pour fabriquer les lignées cellulaires HEK-293 et PER. C6 qui sont utilisées dans la production ou les tests de tous les vaccins COVID dont l’utilisation est actuellement approuvée au Canada (Moderna, Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson).
« La lignée de cellules fœtales HEK-293 [Human Embryonic Kidney ou HEK, c’est-à-dire rein embryonnaire humain], utilisée dans la recherche et le développement des vaccins Moderna, Pfizer et AstraZeneca, provient d’une fille en bonne santé, avortée de manière volontaire à un minimum de 12 semaines de gestation aux Pays-Bas au début des années 1970. Elle a été ciblée pour ses organes. Ses reins ont d’abord été prélevés, puis “hachés avec des ciseaux” par le Dr Alex van der Eb, biologiste moléculaire néerlandais, et le Dr Frank Graham, biologiste canadien, dans le but de produire une lignée cellulaire “immortalisée” », indique la lettre.
M. Gunnarson poursuit en présentant le bébé aux évêques.
« Le mouvement pro-vie lui a donné le nom de Johanna, qui signifie “Dieu est miséricordieux”. Cette précieuse enfant a été créée à l’image de Dieu pour être aimée et pour aimer. Johanna avait son propre ADN, ses propres empreintes digitales, son propre beau sourire. Nous ne saurons jamais la couleur de ses yeux. Si on lui avait donné une chance de vivre, elle aurait aujourd’hui une cinquantaine d’années, avec peut-être des enfants et des petits-enfants. Alors que Johanna a été tuée pour les parties de son corps il y a tant d’années, ses cellules vivantes ont été utilisées pour créer une lignée cellulaire qui est encore utilisée aujourd’hui ─ et tout cela, sans son consentement. »
Lire la suiteUn prêtre qui lutte contre les règles de son évêque sur les vaccins et les masques explique pourquoi il a refusé le vaccin COVID lié à l’avortement
Le Père Peter Williams.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Holy Family Parish Springfield/YouTube
24 janvier 2022, Springfield, Vermont (LifeSiteNews) — Un prêtre du Vermont qui lutte contre une suspension pour avoir refusé de se faire vacciner ou d’obéir à des exigences strictes en matière de masque et de tests a expliqué pourquoi il a refusé les vaccins COVID, qui sont liés à l’avortement, et a pris position contre les mandats de son diocèse dans une récente entrevue avec LifeSiteNews.
Le Père Peter Williams, pasteur de longue date de la paroisse Holy Family dans le diocèse de Burlington, au Vermont, a annoncé dans une vidéo ce mois-ci que son évêque essaie de le retirer de sa paroisse, parce qu’il ne s’est pas conformé à un ordre exigeant que le clergé se fasse vacciner ou encore soit testé régulièrement et porte un masque à tout moment pendant le ministère pastoral.
Le Père Williams a déclaré à LifeSite qu’il a résisté à la directive de l’évêque de Burlington, Mgr Christopher Coyne, pour défendre ses paroissiens non vaccinés qui pourraient éventuellement être confrontés à des exigences similaires, et a souligné ses objections de conscience quant aux vaccins en raison de leurs liens avec des expériences « effroyables » sur les enfants à naître.
« Je dis simplement qu’avant de nous précipiter pour accepter toutes ces choses, nous devrions nous demander, individuellement, si elles sont morales. Et passent-elles le test pour moi, individuellement ? » a-t-il déclaré. « Et ainsi, lorsque je me tiendrai devant Dieu, je n’aurai pas violé ma conscience, j’aurai été informé de ce qui est entré dans la production, les tests, le développement, tout ce genre de choses. »
À un moment donné de leur développement, tous les vaccins COVID-19 disponibles reposaient sur des lignées cellulaires dérivées de bébés avortés, qui étaient très probablement encore vivants lorsque leurs tissus ont été extraits.
Lire la suiteCanada : le convoi des camionneurs pour la liberté
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Note : je rectifie le passage où j'écris que les camionneurs ne semblent pas avoir de chefs officiels, du moins ils semblent extrêmement bien organisés. — Mise à jour : 1er février 2021.
Depuis le 23 janvier 2022, un colossal convoi de camions parti de Colombie-Britannique se dirige lentement (comparativement à la circulation ordinaire) vers la capitale canadienne. Ayant franchi la frontière ontarienne le 26 janvier, les camionneurs de l’ouest convergent vers Ottawa avec le convoi de l’est, qui traverse actuellement la Nouvelle-Écosse, ainsi que d’autres convois de partout au Canada.
Le Freedom Convoy 2022 compte, dans son contingent occidental seulement, plus de 50 000 camions et 500 000 participants, dont des partisans enthousiastes qui suivent en voitures, formant une file de plus de 70 km. Partout où les camionneurs passent, la population les acclame, montrant son soutien à ce formidable mouvement qui a pour but de forcer, en bloquant la capitale, le gouvernement fédéral à lever toutes les mesures « sanitaires » qu’il impose depuis près de deux ans aux Canadiens.
While @JustinTrudeau dismisses history in the making, the world is watching Canadian truckers lead the charge against vaccine mandates. #FreedomConvoyCanada #FreedomConvoy2022 #freedomconvoy22 pic.twitter.com/Q9UYsrxzHH
— Bright Light News (@BLNewsMedia) January 27, 2022
L’élément déclencheur de cette manifestation pacifique et légale a été l’imposition de la vaccination obligatoire aux camionneurs pour la traversée de la frontière canado-américaine, d’abord le 15 janvier par le gouvernement canadien, puis le 22 janvier par celui américain ; jusqu’à maintenant, les camionneurs bénéficiaient d’une exception en vertu de leur service essentiel leur permettant de voyager à l’étranger. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Ce dernier coup menace directement l’approvisionnement en denrées essentielles des Canadiens, depuis l’imposition de la vaccination aux camionneurs des pénuries se font déjà sentir dans les commerces, aussi bien à l’ouest en Alberta qu’à l’est au Québec ; le premier ministre de l’Alberta affirme sur Twitter avoir reçu des rapports de pénuries dans sa province :
Je reçois des photos comme celle-ci des épiceries de l’Alberta ce matin.
C’est en train de devenir une crise. Elle exige une action immédiate de la part des gouvernements canadien et américain.
Lire la suiteI’m getting pictures like this from grocery stores across Alberta this morning.
— Jason Kenney (@jkenney) January 24, 2022
This is turning into a crisis. It requires immediate action by the Canadian & US governments. pic.twitter.com/nEmbSgX2BU
Le pape François parle encore d'« obligation morale » de prendre les vaccins covid — liés à l'avortement
Le pape François.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Vatican News/YouTube
10 janvier 2022, Citée du Vatican (LifeSiteNews) — Le pape François a une fois de plus fortement poussé les gens à accepter les injections COVID-19, un produit contaminé par l’avortement, qualifiant les soins de santé et la vaccination « d’obligation morale », à la fois pour la santé personnelle de chacun et celle des autres, tout en continuant à ignorer les préoccupations morales.
Dans son discours annuel au corps diplomatique, le pape François a abordé un large éventail de sujets, dont la promotion des injections COVID liées à l’avortement, prononçant à ce sujet « certains de ses mots les plus forts à ce jour »
Le pontife de 85 ans a appelé à des réponses « personnelles, politiques et internationales » quant à la santé mondiale, affirmant qu’il est « donc important de poursuivre l’effort de vaccination de la population générale autant que possible ».
« Chacun de nous a la responsabilité de prendre soin de soi et de sa santé, ce qui se traduit par le respect de la santé de ceux qui nous entourent », a déclaré François. « Les soins de santé sont une obligation morale ».
Décriant le « monde des forts clivages idéologiques », le pape s’est attaqué à ce qu’il a décrit comme des « informations sans fondement ou des faits mal documentés » concernant le COVID-19.
« Toute déclaration idéologique rompt le lien de la raison humaine avec la réalité objective des choses », a-t-il poursuivi, affirmant que le COVID-19 a indiqué la nécessité d’une « thérapie de la réalité » qui combattrait ces « informations sans fondement ».
Lire la suiteUn juge québécois suspend les droits de visite d’un père auprès de ses enfants parce qu’il n’est pas vacciné
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : kostia/Adobe Stock
13 janvier 2022, Montréal (LifeSiteNews) — Un père québécois a vu ses droits de visite temporairement suspendus après que la mère eût dit à un juge qu’il est « anti-vaccin » et qu’il affiche des théories du « complot » sur les médias sociaux.
Le juge Jean-Sébastien Vaillancourt de la Cour supérieure du district de Montréal a rendu un jugement le 23 décembre 2021 qui a interdit « temporairement » à un père québécois de visiter ses trois enfants, âgés de 12 ans, 4 ans et 7 mois, parce qu’il n’est « pas vacciné » et qu’il publie des messages sur les médias sociaux qui expriment son opposition aux tyranniques et prétendues mesures de santé publique du Québec.
« Il serait normalement dans le meilleur intérêt d’un enfant d’avoir des contacts avec son père, mais il n’est pas dans son meilleur intérêt d’avoir des contacts avec lui s’il n’est pas vacciné et s’il s’oppose aux mesures de santé dans le contexte épidémiologique actuel », a écrit M. Vaillancourt dans sa décision.
Selon le National Post, le père avait demandé au juge un jour de visite supplémentaire pendant les vacances de Noël auprès de son enfant de 12 ans. La mère a alors déclaré au juge que la demande devait être rejetée car elle avait « récemment » appris que l’homme n’était pas vacciné et, selon le jugement, qu’il était un « théoricien du complot » et un « anti-vaccin ».
Le père a déclaré que son statut vaccinal ne devrait pas entrer en ligne de compte dans cette affaire, puisque l’enfant de 12 ans a reçu le vaccin et que les deux autres enfants sont trop jeunes pour recevoir les vaccins expérimentaux.
Apparemment aveugle à l’ironie de la situation, le juge a noté que, puisque le variant dit omicron infecte les personnes vaccinées, le vaccin de l’enfant de 12 ans n’offre pas une protection suffisante pour qu’elle soit en contact avec son père, en dépit du fait que les essais sur les vaccins covid n'eussent jamais produit de preuves que les non-vaccinés transmettaient davantage omicron que les vaccinés.
En fait, il existe même des preuves solides que les « vaccinés » sont tout aussi susceptibles de porter et de transmettre le virus que les personnes non vaccinées, ce qui signifie que le père ne présente pas plus de risque pour ses enfants que la mère « entièrement vaccinée ».
Pour démonter encore davantage le discours dominant du covid, le Dr Robert Malone, l’inventeur même de la technologie du vaccin à ARNm, a déclaré que non seulement les non-vaccinés ne sont pas à blâmer pour la propagation du virus, mais que ce sont en fait les vaccinés qui sont les « super-propagateurs » de la maladie.
La pression en faveur de la vaccination ou de la protection des jeunes enfants s’exerce en dépit du fait que les enfants courent un risque extrêmement faible face au covid-19. En fait, l’été dernier, des chercheurs de l’école de médecine Johns Hopkins ont constaté un « taux de mortalité de zéro chez les enfants sans condition médicale préexistante telle que la leucémie » lorsqu’ils ont « analysé environ 48 000 enfants de moins de 18 ans diagnostiqués avec le covid dans les données de l’assurance maladie entre avril et août 2020 ».
En guise de consolation, le juge Vaillancourt a précisé que les restrictions « doivent être de courte durée puisque la situation liée à la pandémie évolue rapidement, encore plus en ce qui concerne le variant omicron, et qu’il pourrait être nécessaire de réévaluer la situation à court terme », tout en ajoutant que le père devrait tout de même recevoir les vaccins et donner son assentiment aux mesures de santé publique de la province.
Le guide soigneusement planifié, étape par étape, que les élites mondiales utilisent pour mettre en œuvre la Grande Réinitialisation
Par le P. Frank Unterhalt — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : wlodi/Flickr
6 janvier 2022 (LifeSiteNews) — La prétendue pandémie COVID-19 fait partie du plan maçonnique du Nouvel ordre mondial et est utilisée comme instrument de la « Grande Réinitialisation » [1]. Dans cette optique, l’envoyé spécial des Nations Unies pour l’éducation mondiale, Gordon Brown, a appelé à la création d’un gouvernement mondial pour faire face au coronavirus [2].
L’auteur catholique Laurence England a donné la réponse appropriée : « Le gouvernement mondial unique a pour but le pouvoir pur et simple sur les populations, pas d’aider les gens. Ils veulent un monde d’esclaves. Il [Gordon Brown] était un participant-clé du Bilderberg » [3].
En fait, tout a été planifié longtemps à l’avance. Ainsi, en mai 2010, la Fondation Rockefeller a imaginé un scénario appelé « Lock Step » qui figurait dans un document intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international », dans lequel le monde serait gouverné au moyen d’un « contrôle gouvernemental de haut en bas plus strict et d’un commandement plus autoritaire » [4] lors d’une réponse pandémique fictive pendant laquelle diverses nations imiteraient les mesures extrêmes adoptées par le gouvernement chinois [5].
Les membres du Centre pour la sécurité sanitaire de Johns Hopkins, qui fait partie [6] de l’École d’hygiène et de santé publique Johns Hopkins [7] et qui a été créé grâce à un financement de la Fondation Rockefeller, ont rédigé en octobre 2017 un livre de 77 pages intitulé « The Spars Pandemic 2025-2028. A Futuristic Scenario for Public Health Risk Communicators » [8]. Il s’agit d’un « scénario de temps de guerre sur la façon dont la population devrait être contrôlée et surveillée dans une telle crise » [9].
Le Johns Hopkins Center for Health Security a organisé l’exercice de pandémie « Clade X » à Washington le 15 mai 2018 [10]. La recommandation principale était de produire de nouveaux « vaccins » et médicaments en quelques mois ─ et non pas au moins dix ans, comme cela a été le cas dans le passé. Une référence particulière a été faite aux récents développements en biologie synthétique et aux « vaccins » à ARNm auto-amplifiés. [11]
Une réunion remarquable appelée « Event 201 » s’est tenue à New York le 18 octobre 2019 [12]. L’objectif déclaré était de simuler une pandémie — causée par un nouveau coronavirus (!) [13]. Cet exercice a été organisé conjointement par le Johns Hopkins Center for Health Security, le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Bill & Melinda Gates [14].
Lire la suite« Aucun mot ne peut décrire ma douleur » : une mère a perdu son bébé à naître cinq jours après la 2e dose de Pfizer
Stephanie Whitmore.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Une mère australienne a raconté ce mois-ci que cinq jours après qu’elle ait reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer, sa petite fille à terme est morte in utero d’une hémorragie cérébrale.
Stephanie Whitmore a déclaré qu’elle partage son histoire parce qu’elle « était tout à fait favorable » à l’injection COVID, mais elle pense que l’injection de Pfizer est la cause du décès de sa fille Isabella.
Stephanie Whitmore a raconté par écrit comment elle a suivi le conseil de ses médecins de se faire vacciner contre le COVID afin de « protéger sa famille et son bébé », et a reçu sa première dose du vaccin Pfizer le 13 septembre 2021. À ce moment-là, elle « n’a eu aucune réaction ».
Le 4 octobre 2021, elle a reçu sa deuxième injection Pfizer. « Mon bébé était en bonne santé et parfait tout au long de ma grossesse », a-t-elle écrit. « Elle devait naître n’importe quand maintenant, deux jours après ma deuxième dose de vaccin Pfizer ».
Whitmore a partagé une vidéo racontant ce qui s’est passé : « J’ai eu mon rendez-vous à 36 semaines, une semaine avant sa mort. Elle avait la “tête en bas, donc elle était prête à venir” ».
Peu de temps après, Whitmore a remarqué qu’Isabella avait cessé de bouger, et elle est allée à l’hôpital pour voir si quelque chose n’allait pas. Ils ont d’abord vérifié les battements de son cœur et ont constaté qu’il « battait bien », et Whitmore a « ressenti un sentiment de soulagement ».
Lire la suiteLe nouveau gouverneur pro-vie de Virginie, Glenn Youngkin, soutien les droits des parents en éducation
Glenn Yougkin, gouverneur de Virginie.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Glenn Youngkin/Flickr
Le nouveau gouverneur de Virginie, le pro-vie Glenn Youngkin, qui a arraché ce bastion démocrate grâce notamment à l’appui des parents indignés par l’ingérence de l’État dans leurs prérogatives en éducation et par son incurie face au problème d’abuseurs transgenres dans les écoles, est entré en fonction le lundi 17 janvier, signant, pour son premier geste, onze décrets. Quelques-uns d’entre eux nous intéressent particulièrement.
L’interdiction de la « théorie critique de la race » dans les écoles, une idéologie qui dresse plus qu’autre chose les races les unes contre les autres ; la levée du port obligatoire du masque dans les écoles, laissant aux parents le soin de décider si leur enfant porte ou non le masque ; l’ordonnance d’une enquête sur la possible dissimulation de viols d’élèves commis par un transgenre ; et l’abrogation des mesures covid imposées aux commerces et de la vaccination obligatoire pour tous les employés de l’État ! Selon LifeSiteNews :
Parmi les points saillants, citons l’interdiction de la promotion de la théorie critique de la race — doctrine selon laquelle la race est une « catégorie socialement construite (culturellement inventée) qui est utilisée pour opprimer et exploiter les personnes de couleur » par le biais des institutions américaines — dans les écoles publiques ; la clarification du fait que les parents ont le droit exclusif de décider si leurs enfants portent le masque dans les écoles publiques ; la demande d’une enquête sur le district scolaire du comté de Loudoun à la suite d’allégations selon lesquelles il aurait couvert des viols d’étudiants ; la suppression des réglementations commerciales covid et l’annulation des mandats de vaccination covid pour tous les employés de l’État.
Plusieurs écoles ont d’ores et déjà annoncé qu’elles continueraient à imposer le masque aux enfants dans leurs murs, l’école d’Alexandrie surenchérissant avec de nouvelles directives qui obligent les élèves à porter le masque KN95 ou deux masques ! (Comment peut-on encore en redemander ?…) Le gouverneur a riposté qu’il utiliserait tous les moyens à sa disposition afin de contraindre ces écoles à se conformer à ses décrets.
Ceci dit, comme je l’ai souligné plus haut, c’est notamment grâce à l’appui des parents, indignés à juste titre, que Glenn Youngkin occupe pour le bien de tous le poste de gouverneur, tant il est vrai que lorsque les parents prennent leurs responsabilités au sérieux, il en sort un grand bien, tant pour leurs enfants que pour la nation.
Selon les analystes, un petit pourcentage de lots de vaccins est responsable d’un grand nombre d’effets indésirables
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : show999/Adobe Stock
14 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Une analyse récente des données publiques gouvernementales révèle que des pourcentages très élevés d’effets indésirables signalés à la suite des injections du « vaccin » expérimental COVID-19, dont plus de 21 000 décès, se sont produits en fait avec une petite minorité de lots de produits mis en circulation par les fabricants pharmaceutiques.
De plus, selon les analystes, la large dispersion de ces lots hautement toxiques dans de nombreux États américains, ainsi que leur étiquetage séquentiel apparent en fonction des niveaux de toxicité, est la preuve d’une intention d’altération du contenu des injections et constitue donc probablement une violation grave des réglementations fédérales qui exigent que ces produits soient uniformes.
À la mi-novembre, le chercheur Craig Paardekooper, basé à Londres, a produit une courte vidéo à partir des données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des États-Unis, où il a découvert que « 1 lot sur 200 du [vaccin COVID-19] est hautement toxique », alors que la grande majorité d’entre eux ne le sont pas, du moins selon les résultats à court terme.
« En fait », poursuit-il, « 70 % des lots de vaccins ne produisent qu’un seul rapport d’effet indésirable au total » et « 80 % des lots de vaccins ne produisent qu’un ou deux rapports d’effet indésirable ».
Cependant, Paardekooper a commencé à trouver des anomalies [dans certains lots] qui, se démarquant de la grande majorité des lots, « produisaient des milliers de fois le nombre de réactions indésirables », y compris des exemples de 1 394, 1 012, et finalement jusqu’à 4 911 réactions indésirables.
En outre, ces lots ont produit ces lésions de manière constante dans les nombreux États où ils ont été distribués, ce qui confirme que la cause était la composition des vaccins de ces lots plutôt que les circonstances, les applications ou les données démographiques locales.
Par exemple, dans le cas de Pfizer, seuls 4 % de ses lots étaient à l’origine de tous les rapports de décès associés à ces injections et, dans le cas de Moderna, il en allait de même pour seulement 5 % de ses lots.
Lire la suiteEst-il moralement licite de devenir un consommateur systématique et permanent de produits liés à l’avortement ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Studio Romantic/Adobe Stock
Comme dirait Hamlet « That is the question ». Nombre de personnes (dont des prélats), ayant connaissance que les vaccins covid actuellement disponibles sont liés à l’avortement, assurent les catholiques, pour ceux qui s’en soucient, qu’ils peuvent prendre lesdits vaccins sans arrière-pensée, et même que c’est un « devoir de charité » de se les faire injecter.
Les défenseurs ou les promoteurs des vaccins covid liés à l’avortement — dans leur développement, leur testage ou leur production — se réfèrent en général au document que la Congrégation pour la Doctrine la Foi a publié en décembre 2020 au sujet de la question de licéité desdits vaccins. Ledit document affirme dans ses principes moraux que l’on peut, pour des raisons graves, se faire injecter un vaccin dont le processus de fabrication comprend une lignée cellulaire issue d’un bébé avorté, parce le lien entre l’avortement dans lequel le bébé a été tué et la consommation des vaccins n’impliquerait qu’une participation matérielle lointaine. Cependant, il est bien compris que les raisons menant à se faire injecter un tel vaccin doivent être graves, que l’on ne doit pas approuver l’avortement d’origine, ni utiliser même les lignées employées pour le vaccin (autrement dit : les scientifiques ne devraient pas utiliser ces lignées cellulaires, mais si des vaccins impliquant ces lignées cellulaires existent, on pourrait les prendre sous certaines conditions), et que l’on doit utiliser les alternatives existantes à ces vaccins.
La GDF a bien témérairement affirmé dans ce document que le covid représentait une raison suffisamment grave pour employer les vaccins teintés d’avortement, mais cela ne relève pas de ses compétences, selon les principes mêmes qu’elle a énoncés (et qu’elle semble avoir oubliés un court instant), à savoir que la question empirique relative aux vaccins ne relevait pas de sa compétence, bien qu’il fût nécessaire de l’étudier pour poser un jugement concret selon ses principes. En théorie donc on peut prendre les vaccins en question, mais dans la réalité…
On nous a seriné ad nauseam depuis que la campagne de vaccination a commencé que la situation « exceptionnelle », où nous serions censés nous trouver, justifierait l’emploi occasionnel des vaccins teintés d’avortement. Mais là où ce ne devait être qu’une injection « exceptionnelle », nous en sommes rendus à trois piqûres et même quatre dans certains pays ; il est même question que ces vaccins teintés d’avortement reviennent chaque année.
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