Quelques observations sur le rapport du coroner sur les décès en CHSLD durant la « première vague » en 2020
Par Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/Adobe Stock
Le rapport du Coroner Géhane Kamel sur l’hécatombe dans les CHSLD lors de la « première vague » de la covid en 2020 vient de sortir. Ce rapport de plus de 190 pages contient plusieurs éléments valables pour les défenseurs de la vie.
Souvenez-vous qu’en fin de 2020 j’avais écrit une lettre ouverte à Mme Johanne Castonguay, Commissaire à la santé et au bien-être, concernant ce que je croyais être les véritables causes des décès en CHSLD. Je reproduis l’essentiel ici :
« À notre avis, les personnes vulnérables décédées au Québec ce printemps en nombre plus élevé que la normale ne sont pas uniquement, ni même pour la plupart, mortes d’un virus ayant un taux de létalité avoisinant celui d’une forte grippe saisonnière ; elles sont en majorité décédées pour d’autres raisons, parmi lesquelles :
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une grossière négligence, provoquée entre autres par un manque criant de main-d’œuvre dans les établissements de soins de longue durée, lui-même suscité en grande partie par une campagne de peur médiatique qui a semé la panique chez les employés de ces centres ;
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une situation de stress causée par l’isolement et les autres mesures sanitaires, affaiblissant le système immunitaire de personnes déjà très fragiles, et les rendant plus susceptibles de succomber à des maladies en temps normal relativement bénignes ;
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une politique de “triage” des personnes aînées, leur refusant en une période de pandémie un accès à des services hospitaliers qui leur étaient habituellement accordés ;
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une contamination des établissements pour personnes âgées par des personnes âgées malades qu’on a évacuées des hôpitaux (pour “libérer” 7000 lits, dont ceux de 1400 patients toujours malades), en anticipation d’une “vague” de malades plus “prioritaires” qui n’est jamais venue ;
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une suspension de plusieurs interventions chirurgicales et autres, toujours afin de “libérer” des lits pour faire face à la crise, temps d’arrêt dans les soins qui a pu indirectement causer plusieurs décès ce printemps ;
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la mise sur pied de protocoles à consonance euthanasiques ; »
Communiqué de Mgr Schneider : « Assez de l’industrie de l’avortement »
Mgr Athanasius Schneider.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : Diana Montagna/LifeSiteNews
Communiqué de presse de Mgr Athanasius Schneider aux participants à la Manifestation nationale pour la vie qui se tiendra à Rome le 21 mai 2022 :
« Il est temps d’unir toutes les forces fécondes pour former l’armée victorieuse de Marie contre toutes les forces du mal dans le monde et dans l’Église qui continuent de promouvoir l’AVORTEMENT et l’EUTHANASIE de masse et l’abominable INDUSTRIE FŒTALE avec leurs produits, dont certains vaccins.
Garder le silence, accepter la situation de l’utilisation déjà répandue de parties du corps d’enfants assassinés à des fins et expériences médicales et justifier cette injustice par des théories, comme vous voulez les appeler, est une grave omission dans un moment historique dramatique où les chrétiens devraient plutôt se lever et proclamer au monde entier :
Nous n’accepterons jamais cette injustice, même si elle est déjà si répandue en médecine ! Il n’est pas permis de traiter l’enfant à naître, la vie des personnes les plus faibles et les plus vulnérables du monde entier, de manière si dégradante que les plus forts, les déjà nés ou les adultes peuvent en retirer un bienfait temporaire pour la santé. De ces médicaments et de ces vaccins qui — peu importe comment — ont utilisé les restes de leur corps, le sang des bébés à naître assassinés crie vers Dieu. Nous devons réparer ces crimes accumulés. Écoutons l’avertissement du pape Jean-Paul II, qui a déclaré : “L’utilisation d’embryons ou de fœtus humains comme objet d’expérimentation constitue un crime contre leur dignité d’êtres humains, qui ont droit au même respect dû à l’enfant déjà né et à toute personne” (Encyclique Evangelium Vitæ, 63).
Nous supplions que par l’intercession du Cœur Immaculé de Marie l’humanité se convertisse et abandonne ces crimes qui crient vengeance au ciel. Que le Seigneur ait pitié de nous ! Kyrie Eleison ! » (© Traduction de F. de Villasmundo)
Francesca de Villasmundo
Un évêque portoricain destitué a demandé au pape François et au Vatican de pouvoir se défendre
Mgr Daniel Fernández Torres.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocèse d'Arecibo
2 mai 2022, Arecibo, Porto Rico (LifeSiteNews) — Mgr Daniel Fernández Torres, l’évêque d’Arecibo au Porto Rico, récemment démis de ses fonctions, a contacté le Vatican à plusieurs reprises avant sa destitution, demandant une chance de se défendre — mais il ne l’a jamais obtenue.
Une correspondance rapportée la semaine dernière par The Pillar jette un nouvel éclairage sur l’éviction controversée de l’évêque Fernández Torres. Après avoir appris la demande de démission à la fin de l’année dernière, le populaire prélat portoricain a écrit plusieurs lettres au Vatican, dont une directement au pape François, pour contester la décision, rapporte The Pillar. Et bien que le Saint-Siège ait annoncé sa révocation en mars, il n’a toujours pas reçu de décret le démettant officiellement de son poste.
Dans une lettre adressée en décembre 2021 au cardinal Marc Ouellet, préfet de la Congrégation pour les évêques, Mgr Fernández Torres s’est dit choqué par la demande de démission, qu’il a critiquée comme manquant de « toute formalité » et dont il a dit douter qu’elle vienne du pape lui-même.
« Je demande la remise par écrit de ce qui m’a été demandé verbalement et de manière générale, avec les raisons qui l’expliquent, au cas où de fausses informations seraient parvenues au Saint-Siège et conduiraient à une décision d’une telle ampleur », a déclaré l’évêque d’Arecibo. « Je suis très surpris que cette demande, effectuée sans respecter aucune formalité et qui manque de véritable justice, puisse venir directement du pape ».
Il a souligné au cardinal Ouellet que le Vatican ne lui avait pas accordé de processus formel ni permis de réfuter les allégations selon lesquelles il aurait rompu la communion avec ses confrères évêques de Porto Rico et fait preuve de « désobéissance » envers le pape François, selon The Pillar.
La position de l’évêque Fernández Torres sur la vaccination COVID-19, note-t-il, est apparemment « la pierre de touche qui déclenche toute cette controverse ».
Lire la suiteLa réalité brutale de l’origine des vaccins covid : dissection de bébés avortés vivants
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
29 mars 2022 (LifeSiteNews) — Dans cet épisode du John-Henry Westen Show, je vais dévoiler la vérité horrifiante et brutale qui se cache derrière les lignées de cellules fœtales utilisées dans la production des vaccins.
Il y a quelque temps, j’ai fait une émission avec Pamela Acker, une chercheuse dans le domaine des vaccins qui a renoncé à son doctorat en refusant — selon sa conscience — de travailler avec des lignées de cellules souches créées au détriment de bébés avortés. Elle est probablement la chercheuse la plus cultivée de la planète en matière de vaccins, et pourtant, beaucoup ont pris sur eux de salir sa réputation après notre entretien. Principalement parce qu’elle a fait remarquer que pour obtenir les lignées de cellules souches les plus couramment utilisées aujourd’hui, il a fallu non seulement sacrifier la vie de centaines de fœtus, mais surtout que ces fœtus soient vivants au moment de l’extraction des organes fœtaux dont sont issues les lignées de cellules souches. Ainsi, c’est par la vivisection de bébés à naître, et pas seulement par l’avortement, que nous avons obtenu les lignées de cellules souches humaines d’où proviennent tous les vaccins COVID aux États-Unis.
Pour la totalité des vaccins COVID-19 actuellement disponibles et dont l’utilisation est approuvée aux États-Unis, au Canada et au Royaume-Uni, on a utilisé des lignées de cellules souches fœtales, en particulier HEK-293, de la manière suivante :
- Au cours de la phase initiale de développement du vaccin, les cellules souches fœtales ont été utilisées, avec d’autres lignées cellulaires humaines, pour développer une protéine de pointe génétiquement modifiée (« spike » pour laquelle l’ARNm du vaccin code)
- Le vaccin Pfizer à ARNm et le vaccin Moderna ont été testés sur des HEK 293 avant le début des essais sur l’homme. Ces tests sont en cours pour tous les nouveaux lots.
- Pour les vaccins Johnson & Johnson et AstraZeneca de « vieille technologie » (utilisés au Canada et au Royaume-Uni seulement), on a cultivé une souche virale affaiblie dans une culture cellulaire HEK 293, qui a ensuite été tamisée et raffinée avant d’être utilisée — laissant malgré tout de minuscules composants cellulaires et des débris d’ADN du bébé avorté.
Melissa Strickler, la dénonciatrice de Pfizer, a pu partager des courriels qui ont révélé l’utilisation de HEK-293 dans les tests pour le vaccin Pfizer. Moderna et Novavax utilisent des lignées cellulaires HEK-293 pour leurs tests, tandis que les vaccins de Johnson & Johnson et d’AstraZeneca utilisent des lignées cellulaires de fœtus avortés à la fois pour la production et les tests. L’Institut Charlotte Lozier dispose d’une liste complète de vaccins avec des détails sur leur nature éthique, et je vous encourage à la consulter.
HEK-293 est une lignée cellulaire humaine créée à partir d’un rein d’une fillette à naître néerlandaise disséquée aux Pays-Bas par l’équipe de l’Université de Leiden entre 1972 et 1973. Il s’agit de la deuxième lignée cellulaire la plus courante et elle est largement utilisée dans la « recherche pharmaceutique et biomédicale ». Elle est également utilisée pour la création de vaccins et la recherche sur le cancer. HEK est l’abréviation de « Human Embryonic Kidney » (rein embryonnaire humain) et le chiffre 293 correspond au nombre d’expériences que le chercheur canadien Frank Graham a dû mener pour modifier génétiquement les cellules afin qu’elles puissent se développer indéfiniment dans un environnement artificiel.
Lire la suiteUn quatrième candidat pro-vie canadien en lice pour devenir chef du parti conservateur
Par Jack Fonseca (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
11 avril 2022 (Campaign Life Coalition) — Après une entrevue avec Joseph Bourgault, Campaign Life Coalition a qualifié l’homme d’affaires de la Saskatchewan d’excellent candidat pro-vie et pro-famille qui défendra également la liberté de religion, la liberté d’expression et qui s’opposera aux mandats autoritaires de vaccins contaminés par l’avortement.
M. Bourgault a fait preuve d’audace en plaçant son programme pro-vie et ses valeurs familiales à l’avant-plan sur son site Web de campagne, dans une section intitulée « Créer une culture pro-vie et pro-famille ».
Cette section décrit son plan pour réduire le nombre d’avortements au Canada et encourager les familles nombreuses par une politique fiscale, financière et sociale créative.
Avec l’ajout de Joseph Bourgault, il y a maintenant quatre candidats sociaux conservateurs dans la course à la direction, sur 11 candidats déclarés. Les autres sont le Dr Leslyn Lewis, le député Marc Dalton et Grant Abraham.
S’ils parviennent tous à se hisser sur le bulletin de vote final, ils devront affronter cinq candidats pro-avortement et anti-famille, ainsi que deux candidats dont le point de vue sur les questions de vie est encore en cours d’évaluation par CLC.
Le Dr Lewis a déjà payé les frais de 300 000 $ et soumis les 500 signatures d’appui requises par le PCC. Elle est donc en sécurité, et officiellement sur le bulletin de vote.
Nous remercions tous les partisans de CLC qui l’ont aidée à y parvenir en faisant un don généreux pour sa campagne !
Mais maintenant, nous sommes dans une course effrénée contre la montre pour aider à inscrire Bourgault, Dalton et Abraham sur le bulletin de vote avant la date limite du 29 avril.
Nous avons besoin de votre aide de toute urgence !
Chacun d’entre eux doit payer 300 000 $ au parti et soumettre ses 500 signatures de nomination avant le 29 avril, sinon ils seront éliminés de la course.
Même si vous avez fait un don à Leslyn Lewis, votre premier choix pour le poste de chef, veuillez également faire un don à Bourgault, Dalton et Abraham.
Le fait d’avoir plusieurs conservateurs sociaux dans la course augmente en fait les chances de victoire de l’un d’entre eux. Cela est dû au système de vote préférentiel.
Lire la suiteUn juge fédéral empêche la Marine américaine de piétiner les convictions religieuses de 4 000 marins opposés aux vaccins covid
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Image trouvée sur Wikimedia Commons, provenant de la page Flickr de l'U.S. Department of Defense Current Photos
30 mars 2022, Fort Worth, Texas (LifeSiteNews) — Un juge de la cour fédérale de district du Texas a émis une injonction préliminaire empêchant la Marine d’exiger que 4 000 membres du service reçoivent les vaccins COVID, un produit contaminé par l’avortement.
Le juge Reed O’Connor a émis lundi une injonction préliminaire contre le mandat de vaccination du Département de la Défense (DOD). Il avait déjà empêché le DOD de l’appliquer à des dizaines de Navy SEALs dans une décision rendue le 3 janvier.
Cette décision concerne les 3 320 marins en service actif et les 864 marins de réserve qui ont des objections religieuses aux vaccins COVID. La Marine n’a approuvé aucune demande d’exemption religieuse.
Le Pentagone a fait valoir qu’il procédait à un examen au cas par cas de chaque demande, mais le juge a rejeté cet argument et souligné qu’aucune exemption n’avait été accordée et qu’il avait utilisé une lettre type.
« Alors que la [procédure opérationnelle standard] vante un “examen au cas par cas”, elle utilise des lettres de refus prérédigées », écrit le juge O’Connor. « Peut-être que la Marine a réellement évalué les convictions et les circonstances de chaque demandeur. Mais le fait de n’avoir accordé aucune des 4 095 demandes d’accommodement religieux suggère le contraire. »
Le jugement accorde une « certification de groupe » à tous les membres de la Marine qui s’opposent au vaccin pour des motifs religieux, ce qui signifie que chaque marin individuel n’aura pas à intenter un procès pour un refus.
Lire la suiteLe Dr Paul Alexander dit avoir refusé une offre de 1M$ de Pfizer pour cesser de remettre en question les vaccins covid
Dr Paul Alexander.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo
23 mars 2022 (LifeSiteNews) — Le Dr Paul Alexander, chercheur canadien dans le domaine de la santé et ancien fonctionnaire de l’administration Trump au Département américain de la santé et des services sociaux pendant la pandémie de Covid-19, a publié lundi un article dans lequel il révèle que big pharma a essayé de le payer pour faire taire ses critiques publiques. « Pfizer m’a offert 1 million de dollars et 50 000 dollars de salaire mensuel ; essentiellement pour que je cesse d’écrire et de les dénoncer », a-t-il écrit. « J’ai dit NON ! »
Parlant de la manipulation et de la fraude qui deviennent maintenant publiquement connues avec la publication des documents de Pfizer, et du lourd prix qu’ont dû payer ceux qui se battent pour la transparence médicale, Alexander a déclaré : « Pour chaque personne, il y a un moment dans la vie où il faut choisir de se lever et résister. »
« L’argent n’est pas la clé de la vie », a-t-il poursuivi. « Il y a quelque chose qui s’appelle le principe d’intégrité qui ne doit pas changer en fonction de l’argent ».
Le Dr Alexander a effectué des travaux de renommée internationale dans le domaine de l’épidémiologie et de la recherche sur les maladies infectieuses au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Asie. Il a effectué des recherches pour l’Infectious Diseases Society of America en Virginie, a travaillé pour le gouvernement du Canada en tant qu’épidémiologiste pendant 12 ans et a été nommé épidémiologiste canadien sur le terrain pour un projet international sur la co-infection tuberculose/VIH et le contrôle de la tuberculose multirésistante. Ce projet impliquait l’Inde, le Pakistan, le Népal, le Sri Lanka, le Bangladesh, le Bhoutan, les Maldives, l’Afghanistan et Katmandou.
Le Dr Alexander travaille actuellement en tant que « scientifique universitaire indépendant et chercheur consultant sur le COVID-19 », selon son site internet. Le Dr Alexander a critiqué publiquement la réponse du gouvernement au Covid-19 aux États-Unis et au Canada, rejoignant ainsi ses collègues, les Docteurs Robert Malone, Peter McCullough, et d’autres. Ses nombreux articles sur le Covid-19 peuvent être consultés ici, et des articles connexes sur la recherche médicale concernant le Covid-19 et la vaccination publiés par l’Association des médecins et chirurgiens américains peuvent être consultés ici.
Un médecin de première ligne affirme que les décès fœtaux provoqués par les vaccins par rapport au nombre d'injections vaccinales ont augmenté de près de 2 000 % depuis le lancement des vaccins covid
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
Mise à jour, 8 avril 2022 : Le titre précédent de cet article était « Un médecin de première ligne affirme que les décès fœtaux ont augmenté de près de 2 000 % depuis le lancement des vaccins covid » et a été changé pour celui actuel pour apporter quelques précisions. Des rajouts ont été faits dans le texte et mis entre crochets. — A.H.
2 avril 2022 (LifeSiteNews) — L’un des médecins d’America’s Frontline Doctors (AFLDS) avertit les femmes enceintes que le lancement du vaccin COVID a coïncidé avec une augmentation de près de 2 000 % des décès fœtaux [provoqués par les vaccins et enregistrés dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS)], par rapport au taux enregistré lors des vaccinations précédentes.
Dans un segment de « Frontline Flash » intitulé « Huge Preborn Death Spike » publié lundi, le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de décès fœtal [provoqués par les vaccins] par vaccin administré aux États-Unis a, en fait, massivement augmenté depuis la mise à disposition des vaccins COVID.
Pierre a fait remarquer que, selon le CDC, depuis la mise en place des vaccins COVID, 550 millions de vaccins ont été administrés et 3 725 morts fœtales [provoquées par les vaccins] ont été enregistrées. Cela signifie, a-t-il souligné, que pour 147 651 injections, il y a eu un décès fœtal.
Il a comparé ces chiffres aux statistiques de la période comprise entre 2006 et 2019. Pendant cette période, il y aurait eu « 4 milliards de piqûres administrées » et « 1 369 morts fœtales [provoquées par les vaccins], ce qui équivaut à » une mort fœtale pour environ 3 millions de piqûres.
« Si vous faites le calcul, vous vous rendez compte que depuis que les vaccins COVID sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1 925 % des décès fœtaux » [provoqués par les vaccins], a-t-il poursuivi.
Pierre a ensuite exhorté les futures mères à tenir compte de ces chiffres, pour le bien de leurs enfants.
« Maintenant, futures mamans, peu importe ce que dit la FDA ou le CDC. Même ce que dit votre médecin n’a pas d’importance », a-t-il poursuivi. « Parce qu’en dépit de ces données, la recommandation de se faire vacciner [COVID] n’a pas changé. »
« Vous devez faire attention à vos propres enfants. Vous êtes leur protectrice. Vous devez bien réfléchir. Cette décision vous appartient, et à personne d’autre. »
Lire la suiteL’Université de Toronto abandonne son mandat de vaccination après avoir fait l’objet d’une plainte pour violation des droits de l’homme
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Boris/Adobe Stock
30 mars 2022, Toronto (LifeSiteNews) — Environ un mois après qu’un groupe de professeurs de l’Université de Toronto ait déposé une plainte officielle en matière de droits de la personne demandant la fin du mandat de vaccination de l’institution, l’université a annoncé qu’elle allait annuler ses politiques liées au COVID.
« Le 16 février 2022, le personnel, les étudiants et les professeurs de l’Université de Toronto ont présenté une lettre aux principaux administrateurs de l’Université de Toronto, préparée par les avocats Me Courtney Betty et Me Glyn Hotz et envoyée au nom des personnes affectées par les mandats de vaccination de l’université. La lettre décrit les réclamations que les parties concernées -- dont beaucoup ont déjà été placées en congé sans solde de 12 mois -- ont l’intention de faire dans une requête collective en instance auprès du Tribunal des droits de la personne de l’Ontario. Ces réclamations sont en cours de dépôt », a révélé un groupe de membres du corps enseignant dans un communiqué de presse au début du mois.
Moins de deux semaines après le dépôt de la plainte, l’Université de Toronto a mis à jour ses directives sanitaires liées au COVID, annonçant qu’elle n’appliquera plus les mandats de vaccination ou le port obligatoire de masques sur ses campus.
« L’Université de Toronto mettra en suspens les mesures suivantes à compter du 1er mai 2022 : l’obligation de passer un examen de santé via UCheck avant de se rendre dans les locaux de l’université, l’obligation d’être entièrement vacciné pour les activités en personne dans les locaux de l’université, [et] l’obligation de porter un masque dans les espaces intérieurs de l’université, sauf exigence contraire », a déclaré l’université dans une déclaration officielle cette semaine.
Avant le dépôt de la plainte et l’annulation des mandats, un article publié sur le site Web de la faculté de droit de l’Université de Toronto s’en prenait aux mandats de vaccination, suggérant que ces politiques pourraient causer plus de tort que de bien.
Lire la suiteUne religieuse, ancien médecin de l’armée, poursuit Washington DC au sujet du vaccin COVID obligatoire pour le personnel de santé
Sœur Deirdre Byrne.
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d'écran vidéo
10 mars 2022 (Société Thomas More) — Une religieuse catholique romaine bien-aimée, également médecin-chirurgien et colonel à la retraite de l’armée américaine, poursuit Washington, DC, au sujet de son mandat de vaccination COVID-19 imposé aux travailleurs de la santé.
Le 9 mars 2022, les avocats de la Société Thomas More ont intenté une action en justice devant la Cour fédérale du District de Columbia au nom de Sœur Deirdre Byrne contre la mairesse du district, Muriel Bowser, ainsi que LaQuandra Nesbitt — directrice du département de la santé du district — et le District de Columbia lui-même pour leur refus conjoint d’accorder à Byrne une exemption religieuse de vaccination.
Le conseiller spécial de la Société Thomas More, Christopher Ferrara, a expliqué que Byrne est une religieuse catholique romaine des Petites Travailleuses du Sacré-Cœur ainsi qu’un chirurgien général et un médecin de famille certifié, et elle fournit des services médicaux gratuits aux pauvres et aux sans-papiers.
« Sœur Deirdre a demandé — et s’est vu refuser — une exemption religieuse au mandat de vaccination COVID-19 des travailleurs de la santé de DC », a expliqué Ferrara. « Les trois vaccins COVID-19 approuvés aux États-Unis ont été testés, développés ou produits avec des lignées cellulaires provenant d’avortements, ce à quoi Sœur Deirdre est profondément et sincèrement opposée sur le plan religieux. »
L’action en justice note que Mme Bowser a déjà été réprimandée à deux reprises par le tribunal pour avoir imposé un fardeau à la religion par son abus des « pouvoirs d’urgence ».
« Une intervention judiciaire est nécessaire une fois de plus », a observé M. Ferrara, « cette fois pour empêcher une interdiction insensée de la pratique de la médecine par une religieuse qui a consacré sa carrière dans le District de Columbia à soigner les malades qui ne peuvent pas se permettre des soins médicaux de qualité ».
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