Un juge fédéral empêche la Marine américaine de piétiner les convictions religieuses de 4 000 marins opposés aux vaccins covid
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Image trouvée sur Wikimedia Commons, provenant de la page Flickr de l'U.S. Department of Defense Current Photos
30 mars 2022, Fort Worth, Texas (LifeSiteNews) — Un juge de la cour fédérale de district du Texas a émis une injonction préliminaire empêchant la Marine d’exiger que 4 000 membres du service reçoivent les vaccins COVID, un produit contaminé par l’avortement.
Le juge Reed O’Connor a émis lundi une injonction préliminaire contre le mandat de vaccination du Département de la Défense (DOD). Il avait déjà empêché le DOD de l’appliquer à des dizaines de Navy SEALs dans une décision rendue le 3 janvier.
Cette décision concerne les 3 320 marins en service actif et les 864 marins de réserve qui ont des objections religieuses aux vaccins COVID. La Marine n’a approuvé aucune demande d’exemption religieuse.
Le Pentagone a fait valoir qu’il procédait à un examen au cas par cas de chaque demande, mais le juge a rejeté cet argument et souligné qu’aucune exemption n’avait été accordée et qu’il avait utilisé une lettre type.
« Alors que la [procédure opérationnelle standard] vante un “examen au cas par cas”, elle utilise des lettres de refus prérédigées », écrit le juge O’Connor. « Peut-être que la Marine a réellement évalué les convictions et les circonstances de chaque demandeur. Mais le fait de n’avoir accordé aucune des 4 095 demandes d’accommodement religieux suggère le contraire. »
Le jugement accorde une « certification de groupe » à tous les membres de la Marine qui s’opposent au vaccin pour des motifs religieux, ce qui signifie que chaque marin individuel n’aura pas à intenter un procès pour un refus.
Lire la suiteLe Dr Paul Alexander dit avoir refusé une offre de 1M$ de Pfizer pour cesser de remettre en question les vaccins covid
Dr Paul Alexander.
Par Louis Knuffke — Traduit par Campagne Québec-Vie
23 mars 2022 (LifeSiteNews) — Le Dr Paul Alexander, chercheur canadien dans le domaine de la santé et ancien fonctionnaire de l’administration Trump au Département américain de la santé et des services sociaux pendant la pandémie de Covid-19, a publié lundi un article dans lequel il révèle que big pharma a essayé de le payer pour faire taire ses critiques publiques. « Pfizer m’a offert 1 million de dollars et 50 000 dollars de salaire mensuel ; essentiellement pour que je cesse d’écrire et de les dénoncer », a-t-il écrit. « J’ai dit NON ! »
Parlant de la manipulation et de la fraude qui deviennent maintenant publiquement connues avec la publication des documents de Pfizer, et du lourd prix qu’ont dû payer ceux qui se battent pour la transparence médicale, Alexander a déclaré : « Pour chaque personne, il y a un moment dans la vie où il faut choisir de se lever et résister. »
« L’argent n’est pas la clé de la vie », a-t-il poursuivi. « Il y a quelque chose qui s’appelle le principe d’intégrité qui ne doit pas changer en fonction de l’argent ».
Le Dr Alexander a effectué des travaux de renommée internationale dans le domaine de l’épidémiologie et de la recherche sur les maladies infectieuses au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Asie. Il a effectué des recherches pour l’Infectious Diseases Society of America en Virginie, a travaillé pour le gouvernement du Canada en tant qu’épidémiologiste pendant 12 ans et a été nommé épidémiologiste canadien sur le terrain pour un projet international sur la co-infection tuberculose/VIH et le contrôle de la tuberculose multirésistante. Ce projet impliquait l’Inde, le Pakistan, le Népal, le Sri Lanka, le Bangladesh, le Bhoutan, les Maldives, l’Afghanistan et Katmandou.
Le Dr Alexander travaille actuellement en tant que « scientifique universitaire indépendant et chercheur consultant sur le COVID-19 », selon son site internet. Le Dr Alexander a critiqué publiquement la réponse du gouvernement au Covid-19 aux États-Unis et au Canada, rejoignant ainsi ses collègues, les Docteurs Robert Malone, Peter McCullough, et d’autres. Ses nombreux articles sur le Covid-19 peuvent être consultés ici, et des articles connexes sur la recherche médicale concernant le Covid-19 et la vaccination publiés par l’Association des médecins et chirurgiens américains peuvent être consultés ici.
Un médecin de première ligne affirme que les décès fœtaux provoqués par les vaccins par rapport au nombre d'injections vaccinales ont augmenté de près de 2 000 % depuis le lancement des vaccins covid
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
Mise à jour, 8 avril 2022 : Le titre précédent de cet article était « Un médecin de première ligne affirme que les décès fœtaux ont augmenté de près de 2 000 % depuis le lancement des vaccins covid » et a été changé pour celui actuel pour apporter quelques précisions. Des rajouts ont été faits dans le texte et mis entre crochets. — A.H.
2 avril 2022 (LifeSiteNews) — L’un des médecins d’America’s Frontline Doctors (AFLDS) avertit les femmes enceintes que le lancement du vaccin COVID a coïncidé avec une augmentation de près de 2 000 % des décès fœtaux [provoqués par les vaccins et enregistrés dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS)], par rapport au taux enregistré lors des vaccinations précédentes.
Dans un segment de « Frontline Flash » intitulé « Huge Preborn Death Spike » publié lundi, le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de décès fœtal [provoqués par les vaccins] par vaccin administré aux États-Unis a, en fait, massivement augmenté depuis la mise à disposition des vaccins COVID.
Pierre a fait remarquer que, selon le CDC, depuis la mise en place des vaccins COVID, 550 millions de vaccins ont été administrés et 3 725 morts fœtales [provoquées par les vaccins] ont été enregistrées. Cela signifie, a-t-il souligné, que pour 147 651 injections, il y a eu un décès fœtal.
Il a comparé ces chiffres aux statistiques de la période comprise entre 2006 et 2019. Pendant cette période, il y aurait eu « 4 milliards de piqûres administrées » et « 1 369 morts fœtales [provoquées par les vaccins], ce qui équivaut à » une mort fœtale pour environ 3 millions de piqûres.
« Si vous faites le calcul, vous vous rendez compte que depuis que les vaccins COVID sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1 925 % des décès fœtaux » [provoqués par les vaccins], a-t-il poursuivi.
Pierre a ensuite exhorté les futures mères à tenir compte de ces chiffres, pour le bien de leurs enfants.
« Maintenant, futures mamans, peu importe ce que dit la FDA ou le CDC. Même ce que dit votre médecin n’a pas d’importance », a-t-il poursuivi. « Parce qu’en dépit de ces données, la recommandation de se faire vacciner [COVID] n’a pas changé. »
« Vous devez faire attention à vos propres enfants. Vous êtes leur protectrice. Vous devez bien réfléchir. Cette décision vous appartient, et à personne d’autre. »
Lire la suiteL’Université de Toronto abandonne son mandat de vaccination après avoir fait l’objet d’une plainte pour violation des droits de l’homme
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Boris/Adobe Stock
30 mars 2022, Toronto (LifeSiteNews) — Environ un mois après qu’un groupe de professeurs de l’Université de Toronto ait déposé une plainte officielle en matière de droits de la personne demandant la fin du mandat de vaccination de l’institution, l’université a annoncé qu’elle allait annuler ses politiques liées au COVID.
« Le 16 février 2022, le personnel, les étudiants et les professeurs de l’Université de Toronto ont présenté une lettre aux principaux administrateurs de l’Université de Toronto, préparée par les avocats Me Courtney Betty et Me Glyn Hotz et envoyée au nom des personnes affectées par les mandats de vaccination de l’université. La lettre décrit les réclamations que les parties concernées -- dont beaucoup ont déjà été placées en congé sans solde de 12 mois -- ont l’intention de faire dans une requête collective en instance auprès du Tribunal des droits de la personne de l’Ontario. Ces réclamations sont en cours de dépôt », a révélé un groupe de membres du corps enseignant dans un communiqué de presse au début du mois.
Moins de deux semaines après le dépôt de la plainte, l’Université de Toronto a mis à jour ses directives sanitaires liées au COVID, annonçant qu’elle n’appliquera plus les mandats de vaccination ou le port obligatoire de masques sur ses campus.
« L’Université de Toronto mettra en suspens les mesures suivantes à compter du 1er mai 2022 : l’obligation de passer un examen de santé via UCheck avant de se rendre dans les locaux de l’université, l’obligation d’être entièrement vacciné pour les activités en personne dans les locaux de l’université, [et] l’obligation de porter un masque dans les espaces intérieurs de l’université, sauf exigence contraire », a déclaré l’université dans une déclaration officielle cette semaine.
Avant le dépôt de la plainte et l’annulation des mandats, un article publié sur le site Web de la faculté de droit de l’Université de Toronto s’en prenait aux mandats de vaccination, suggérant que ces politiques pourraient causer plus de tort que de bien.
Lire la suiteUne religieuse, ancien médecin de l’armée, poursuit Washington DC au sujet du vaccin COVID obligatoire pour le personnel de santé
Sœur Deirdre Byrne.
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
10 mars 2022 (Société Thomas More) — Une religieuse catholique romaine bien-aimée, également médecin-chirurgien et colonel à la retraite de l’armée américaine, poursuit Washington, DC, au sujet de son mandat de vaccination COVID-19 imposé aux travailleurs de la santé.
Le 9 mars 2022, les avocats de la Société Thomas More ont intenté une action en justice devant la Cour fédérale du District de Columbia au nom de Sœur Deirdre Byrne contre la mairesse du district, Muriel Bowser, ainsi que LaQuandra Nesbitt — directrice du département de la santé du district — et le District de Columbia lui-même pour leur refus conjoint d’accorder à Byrne une exemption religieuse de vaccination.
Le conseiller spécial de la Société Thomas More, Christopher Ferrara, a expliqué que Byrne est une religieuse catholique romaine des Petites Travailleuses du Sacré-Cœur ainsi qu’un chirurgien général et un médecin de famille certifié, et elle fournit des services médicaux gratuits aux pauvres et aux sans-papiers.
« Sœur Deirdre a demandé — et s’est vu refuser — une exemption religieuse au mandat de vaccination COVID-19 des travailleurs de la santé de DC », a expliqué Ferrara. « Les trois vaccins COVID-19 approuvés aux États-Unis ont été testés, développés ou produits avec des lignées cellulaires provenant d’avortements, ce à quoi Sœur Deirdre est profondément et sincèrement opposée sur le plan religieux. »
L’action en justice note que Mme Bowser a déjà été réprimandée à deux reprises par le tribunal pour avoir imposé un fardeau à la religion par son abus des « pouvoirs d’urgence ».
« Une intervention judiciaire est nécessaire une fois de plus », a observé M. Ferrara, « cette fois pour empêcher une interdiction insensée de la pratique de la médecine par une religieuse qui a consacré sa carrière dans le District de Columbia à soigner les malades qui ne peuvent pas se permettre des soins médicaux de qualité ».
Lire la suiteLe pape François révoque brusquement un évêque fidèle qui s’opposait à l’obligation des vaccins covid
Mgr Daniel Fernández Torres, évêque d'Arecibo au Porto Rico.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocèse d'Arecibo
9 mars 2022, Arecibo, Porto Rico (LifeSiteNews) — Le pape François a destitué sans procédure formelle Mgr Daniel Fernández Torres, évêque conservateur du diocèse d’Arecibo à Porto Rico, en raison d’allégations de désobéissance et de manque de collégialité avec ses confrères portoricains.
Le Saint-Siège a annoncé que le pape François avait « relevé » l’évêque d’Arecibo de la charge pastorale de son diocèse dans un note publié le 9 mars 2022.
Mgr Fernández Torres, 57 ans, ardent défenseur de la vie et de la famille et s’opposant aux mandats de vaccination COVID, a protesté contre sa destitution qu’il juge « totalement injuste » dans une déclaration mercredi.
L’évêque, qui a dirigé le diocèse d’Arecibo pendant près de 12 ans, a noté que le délégué apostolique du pape François à Porto Rico lui a demandé verbalement de démissionner, mais il dit qu’il a refusé de le faire, car il « ne voulait pas devenir complice d’une action totalement injuste ».
« Aucun processus n’a été engagé contre moi », écrit Mgr Fernández Torres, « je n’ai pas été formellement accusé de quoi que ce soit, et simplement un jour, le délégué apostolique m’a communiqué verbalement que Rome me demandait de démissionner ».
« Un successeur des apôtres est maintenant remplacé sans même entreprendre ce qui serait une procédure canonique régulière pour destituer un curé », ajoute l’évêque.
« On m’a informé que je n’avais commis aucun crime, mais que j’avais soi-disant “manqué d’obéissance au pape et n’avais pas été suffisamment en communion avec mes frères évêques de Porto Rico” », a-t-il ajouté. « On m’a suggéré que si je démissionnais du diocèse, je resterais au service de l’Église au cas où, à un moment donné, on aurait besoin de moi à un autre poste ; une offre qui prouve en fait mon innocence. »
« Cependant, je n’ai pas démissionné parce que je ne voulais pas devenir complice d’une action totalement injuste et que, même maintenant, je suis réticent à l’idée que cela puisse arriver dans notre Église ».
« Je regrette profondément que dans l’Église où l’on prêche tant la miséricorde, en pratique, certains manquent d’un minimum de sens de la justice », a-t-il poursuivi. « J’exprime ma communion dans la foi catholique, avec le pape et mes frères dans l’épiscopat, malgré ma perplexité face à un arbitraire incompréhensible ».
Lire la suiteUne université canadienne publie des études sur des « souris humanisées » à l’aide de tissus de bébés avortés
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie
28 février 2022, Saskatoon, Saskatchewan (LifeSiteNews) — De nouveaux documents de recherche ont été publiés à la suite d’expériences sur des « souris humanisées » financées par le gouvernement à l’Université de la Saskatchewan, les contribuables canadiens devant payer pour une recherche médicale controversée utilisant les organes de bébés avortés.
Dr Kerry Lavender est professeur adjoint de biochimie, de microbiologie et d’immunologie à la faculté de médecine de l’université de la Saskatchewan, où sa biographie officielle mentionne les souris humanisées comme l’un de ses domaines de prédilection, lui attribuant le « développement du modèle de souris humanisée TKO-BLT en vue de la découverte et de l’évaluation de thérapies et de stratégies de guérison du VIH-1 » en collaboration avec le National Institute of Allergy & Infectious Diseases (NIAID) des National Institutes of Health (NIH) des États-Unis.
Ces expériences, qui font l’objet d’une controverse depuis des années aux États-Unis, consistent à implanter des tissus fœtaux humains et des cellules souches fœtales humaines dans des souris afin de doter les animaux d’un système immunitaire plus proche de celui des humains dans le but de tester des médicaments.
Vote Family rapporte qu’en 2020, Mme Lavender a reçu une subvention de 317 258 $ des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) pour d’autres études sur les souris humanisées, qui consistent cette fois à
des plaques de poumon fœtal humain par voie sous-cutanée sur l’épaule de souris immunodéficientes. Lavender, qui a qualifié ses créations de « mignonnes », disposerait de plus de 150 souris de ce type.
Lire la suiteLes autopsies montrent que des personnes meurent à cause des vaccins covid
Par Joel S. Hirschhorn (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Yuttana Studio/Adobe Stock
Campagne Québec-Vie aborde le sujet des vaccins du covid-19, dont l’imposition est le sujet ici, car il a un impact sur nos sujets habituels comme l’avortement. En effet, les vaccins du covid-19 actuellement disponibles sont liés à l’avortement par les lignées cellulaires issues de bébés avortés, comme HEK 293, dans leur développement, leur production ou leur testage. Voici un texte plus détaillé sur la question de notre implication dans ce débat. — A.H.
25 février 2022 (TrialSiteNews) — Imaginez des parents trouvant leurs fils adolescent mort dans son lit le matin, sans aucune indication préalable qu’ils étaient sérieusement malades. Imaginez le chagrin des parents qui se sont laissés convaincre par la coercition et la propagande pour faire vacciner leurs enfants, malgré toutes les données du CDC montrant que le COVID présente peu de risques d’effets graves sur la santé des enfants. Aujourd’hui, leurs enfants sont morts dans leur sommeil peu après avoir été vaccinés.
Notez qu’un excellent article paru en juin 2021 était intitulé : « Si les vaccins Covid-19 peuvent provoquer une inflammation cardiaque, la prudence s’impose chez les personnes à risque ». Il disait ceci : « Bien que la plupart des cas rapportés à ce jour soient légers et se résolvent sans conséquence, la myocardite peut être une affection grave. Elle peut entraîner un déclin important de la fonction cardiaque, nécessiter une hospitalisation, une pompe cardiaque artificielle, voire une transplantation cardiaque, et peut même être fatale ». Les médecins auteurs ont noté : « Pourtant, en tant que prestataires de soins de santé, nous ne devons pas donner l’impression de minimiser les complications graves comme la myocardite chez les personnes potentiellement à risque ». Mais qui est à risque ? Il semble maintenant clair que les jeunes hommes sont à risque. Ce qui est moins clair, c’est de savoir quels adultes sont à risque, sauf que nous savons que ce sont les hommes qui sont le plus à risque.
Un article médical récent a présenté des données sur la fréquence de la myocardite ; voici ses conclusions : « Dans cette étude descriptive de 1626 cas de myocardite dans un système national de déclaration passive, les taux bruts de déclaration dans les 7 jours suivant la vaccination ont dépassé les taux attendus dans de multiples strates d’âge et de sexe. Les taux de myocardite étaient les plus élevés après la deuxième dose de vaccination chez les adolescents de sexe masculin âgés de 12 à 15 ans (70,7 par million de doses du vaccin [Pfizer]), chez les adolescents de sexe masculin âgés de 16 à 17 ans (105,9 par million de doses du vaccin [Pfizer]) et chez les jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans (52,4 et 56,3 par million de doses du vaccin [Pfizer] et du vaccin [Moderna], respectivement)… Ce risque doit être considéré dans le contexte des avantages de la vaccination par le COVID-19. » Mais les avantages sont minimes pour les jeunes gens en bonne santé.
Lire la suiteVaccination covid et grossesse
Par le Swiss Policy Research — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : uni/Adobe Stock
Selon une analyse préliminaire des données britanniques, la vaccination contre le covid pendant la grossesse pourrait être associée à un risque accru de 33 % de mortinatalité.
Remarque : cet article ne constitue pas un avis médical ; les lecteurs sont priés de consulter leur médecin.
Une analyse bayésienne préliminaire des données britanniques sur la mortinatalité, ajustée en fonction de l’âge et du trimestre, réalisée par un analyste de données indépendant, a révélé que la vaccination contre le covid pendant la grossesse était associée à une augmentation de 33 % du risque de mortinatalité par rapport aux [grossesses des] femmes non vaccinées (estimation min./max. : 11 % et 57 %).
Il convient de noter que le risque absolu de mortinatalité (après la 20e semaine) est plutôt faible (généralement environ 0,5 %) et que les données britanniques ne font pas de distinction entre la première et la deuxième vaccination. En outre, les données couvrent la période de janvier à août 2021, au cours de laquelle seules 25 000 des 355 000 femmes enceintes ont été vaccinées, et la plupart d’entre elles (71 %) n’ont reçu le premier vaccin covid qu’au troisième trimestre de leur grossesse. Enfin, la Grande-Bretagne a surtout utilisé le vaccin ADN d’AstraZeneca.
Néanmoins, si les 355 000 femmes enceintes avaient toutes été vaccinées, et si l’estimation du risque supplémentaire de 33 % est correcte et liée à la cause, cela aurait représenté environ 600 bébés mort-nés supplémentaires en Grande-Bretagne et environ 6 000 aux États-Unis et en Europe combinés.
Il convient de noter que le CDC américain a constaté qu’un « diagnostic de covid » peut également augmenter le risque de mortinatalité, mais toutes les femmes enceintes ne contractent pas le covid et la vaccination ne prévient pas forcément le covid.
Lire la suiteUn prêtre propose trois étapes pour libérer la société de l’emprise du covidisme
Le Père James Mawdsley.
Par Joseph Summers — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : The Remnant TV
Campagne Québec-Vie aborde le sujet des vaccins du covid-19, dont l’imposition est le sujet ici, car il a un impact sur nos sujets habituels comme l’avortement. En effet, les vaccins du covid-19 actuellement disponibles sont liés à l’avortement par les lignées cellulaires issues de bébés avortés, comme HEK 293, dans leur développement, leur production ou leur testage. Voici un texte plus détaillé sur la question de notre implication dans ce débat. — A.H.
17 février 2022 (LifeSiteNews) — Un prêtre a publié mercredi une vidéo qui utilise des principes catholiques pour surmonter les mesures tyranniques du COVID.
La vidéo du Père James Mawdsley à The Remnant TV, qui a été retirée de YouTube le 10 février, expliquait trois étapes pour surmonter les mesures mises en place pour combattre le COVID-19.
La première étape proposée est qu’il ne faut rien faire qui soit en contradiction avec la conscience. Concernant la piqûre, le Père Mawdsley a déclaré : « Si prendre une thérapie génique dérivée d’embryons est contraire à votre conscience, ne vous en approchez pas. » Le P. Mawdsley a également conseillé de ne pas agir de manière irrationnelle, affirmant que le diable cherche à cacher l’image de Dieu par un comportement irrationnel.
À propos de l’utilisation de masques, le P. Mawdsley a déclaré : « Si vous comprenez qu’il est irrationnel de porter un masque dans votre voiture, ou n’importe où à l’extérieur, ou même à l’intérieur, alors vous ne pouvez pas le faire. Si quelqu’un a peur et pense qu’un masque fait partie de la solution, alors personne ne va lui faire la vie dure pour l’avoir porté. Mais ce n’est pas de la charité que de nourrir une maladie mentale », a déclaré le P. Mawdsley. « Porter un masque n’est pas sans coût. Il renforce un récit de peur, de désespoir, et pire, c’est un signe d’assujettissement. Rien de tout cela n’est de la charité. »
La deuxième étape décrite par le P. Mawdsley consiste à ne pas contraindre les autres à se conformer aux mandats. « Les tyrans dépendent absolument des couches de la population qui exercent un contrôle sur les couches inférieures », explique le P. Mawdsley, ajoutant que tout ce dont un tyran a besoin pour être obéi, c’est de la conformité de quelques-uns, qui à leur tour amèneront les autres à se conformer à eux.
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