Démystifier 5 mythes sur le mouvement pro-vie répandus par les pro-avortement
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Doug Mainwaring/LifeSiteNews
11 août 2022 (LifeSiteNews) — La Jane’s Army — un groupe qui se consacre à l’élection de politiciens pro-avortement dans l’Illinois — a produit un document indiquant « Les 10 pires choses à propos du mouvement anti-choix ». Il a été porté à mon attention que l’American Life League était spécifiquement mentionnée, alors bien sûr j’ai dû le lire pour voir ce que ce groupe avait à dire.
Ce que j’ai trouvé, c’est un document truffé de déclarations trompeuses, d’informations erronées et d’arguments bizarres qui n’ont même pas de sens.
Comme l’un des objectifs importants de l’American Life League (ALL) est d’aider à enseigner la vérité tout en construisant une culture de vie, je pense qu’il est extrêmement important d’aborder chacune des 10 « pires choses » énumérées par Jane’s Army. Dans cet article en deux parties, nous allons décortiquer certaines des affirmations de Jane’s Army (en gras) et ensuite expliquer la vérité en termes simples.
1. Le mouvement anti-choix [dont ALL] ne veut pas seulement interdire l’avortement, il veut aussi interdire le contrôle des naissances ».
ALL et d’autres organisations qui s’opposent au contrôle des naissances s’y opposent pour de nombreuses raisons. Elle [la pilule] peut agir comme un abortif et tuer un très jeune bébé à naître.
En outre, nous connaissons les effets néfastes du contrôle des naissances sur le corps de la femme. Parce que nous aimons les mères et les bébés, nous voulons que les femmes sachent la vérité sur les effets de la pilule sur leur santé, d’autant plus que le Centre international de recherche sur le cancer a classé la pilule dans le groupe n°1 des agents cancérigènes.
Enfin, nous nous opposons au contrôle des naissances parce qu’il est contraire à l’enseignement de l’Église catholique, car il contrecarre l’un des deux objectifs du mariage. Un mariage est censé être à la fois unitif et procréatif. L’utilisation du contrôle des naissances contrecarre l’aspect procréatif. Mais malgré toutes les preuves que la pilule nuit aux femmes, il semble peu probable que le contrôle des naissances soit un jour interdit. Les législateurs ne votent même pas sur cette question à l’heure actuelle et ne prévoient pas de le faire dans un avenir proche. Parler d’hypothèses ne fait donc qu’alimenter la colère et le ressentiment, ce qui semble être l’intention du groupe.
Lire la suiteUn service de soins de santé de Chicago est poursuivi avec succès pour 10 millions de dollars en raison de sa politique « pas de vaccin, pas de travail »
Par le Liberty Counsel (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Blue Planet Studio/Adobe Stock
3 août 2022 — Le premier règlement d’un recours collectif au niveau national concernant l’obligation de se faire vacciner contre le COVID devrait servir d’avertissement à tous les employeurs qui n’ont pas accommodé ou exempté les employés qui s’opposaient aux vaccins COVID pour des raisons religieuses.
NorthShore University HealthSystem paiera plus de 10,3 millions de dollars pour avoir exercé une discrimination illégale à l’encontre de plus de 500 travailleurs de la santé, actuels et anciens, et pour avoir refusé des exemptions religieuses concernant le mandat de vaccination COVID.
Il n’y a pas de bouton de pause dans la loi fédérale sur l’emploi en vertu du Titre VII. Les employés ne perdent pas leur droit à des aménagements raisonnables en raison de leurs croyances religieuses simplement parce qu’un employeur ou même le gouvernement fédéral impose un mandat de vaccination sous le couvert d’une pandémie. Il est grand temps que les avocats spécialisés dans le droit du travail cessent de rester sur la touche. Ils doivent aider les gens à obtenir justice.
Liberty Counsel a travaillé avec des milliers d’employés qui font face à ces mandats abusifs et illégaux, en réglant, pour les travailleurs de la santé, le premier procès collectif de la nation concernant un mandat de vaccination COVID. NorthShore paiera 10 337 500 dollars pour indemniser ces employés victimes de discrimination religieuse, et qui ont été punis en raison de leurs croyances religieuses car ils refusaient une injection associée à des cellules de fœtus avortés.
Dans le cadre de l’accord de règlement, NorthShore modifiera également sa politique illégale de « non-accommodement religieux » afin de la rendre conforme à la loi et de fournir des accommodements religieux pour chaque poste dans ses nombreux établissements. Aucun poste dans l’un des établissements de NorthShore ne sera considéré comme interdit aux employés non vaccinés bénéficiant d’exemptions religieuses approuvées. En outre, les employés qui ont été licenciés en raison de leur refus religieux des vaccins COVID pourront être réembauchés s’ils en font la demande dans les 90 jours suivant l’approbation du règlement final par le tribunal, et ils conserveront leur niveau d’ancienneté antérieur.
Il s’agit d’un règlement historique, le premier du genre dans le cadre d’un recours collectif contre un employeur privé qui a illégalement refusé des centaines de demandes d’exemption religieuse concernant les injections COVID-19. Le règlement convenu a été déposé auprès du tribunal fédéral du district nord de l’Illinois et doit être approuvé par le tribunal. Les employés de NorthShore à qui des exemptions religieuses ont été refusées recevront une notification de l’accord et auront la possibilité de faire des commentaires, de s’opposer, de demander à être exclus ou de soumettre un formulaire de demande de paiement à partir du fonds de règlement, le tout dans le respect des délais qui seront fixés par le tribunal.
Lire la suiteSelon Dr McCullough, l’altération de l’ADN par les vaccins covid pourrait s’étendre aux cellules reproductrices et affecter les bébés
Par Emily Mangiaracina (Campagne Québec-Vie) — Photo : unai/Adobe Stock
26 juillet 2022 (LifeSiteNews) — L’un des médecins les plus accomplis et les plus renommés des États-Unis prévient que l’altération de l’ADN humain par le vaccin COVID, démontrée par une récente étude suédoise, pourrait affecter les cellules reproductrices et ainsi modifier génétiquement les enfants.
Le Dr Peter McCullough, interniste, cardiologue et principal médecin américain du COVID, a discuté de la découverte, partagée plus tôt cette année, selon laquelle « le vaccin Pfizer, en fait, [peut être] rétrotranscrit et installer de l’ADN dans le génome humain », selon les mots de McCullough, lors d’un débat télévisé animé par la présentatrice chrétienne Joni Lamb.
Le responsable de l’étude suédoise, Markus Aldén, de l’université de Lund, a observé qu’un fragment de l’ARN messager du vaccin Pfizer entraînait des « changements » dans l’expression du [rétrotransposon] LINE-1, qui fait partie du génome. Le LINE-1 est lui-même rétrotranscrit, ce qui produit des copies d’ADN qui peuvent être insérées dans le génome à différents endroits.
Les conclusions de l’étude contredisent les affirmations des Centers for Diseases Control selon lesquelles « les vaccins COVID-19 ne modifient pas votre ADN et n’interagissent avec lui en aucune façon ».
À la question de savoir si le vaccin COVID peut « affecter votre bébé », Dr McCullough a répondu : « Oui, c’est la conclusion alarmante. »
Dr McCullough ne s’est pas prononcé définitivement sur la question de savoir si le vaccin affecterait effectivement les bébés sur le plan génétique, mais il estime que c’est une possibilité. Il a appelé à d’autres études pour confirmer que « l’ensemble du code est installé, et ensuite pour confirmer réellement que... la protéine de spicule (spike) est maintenant continuellement exprimée par les cellules humaines parce que les nanoparticules lipidiques sont absorbées partout ».
« Cela signifie », poursuit McCullough, que « les cellules somatiques de vos organes », mais aussi les cellules gamètes, « les cellules qui sont en fait le sperme et l’ovule, si elles portent le code, cela signifie en effet qu’il pourrait être transmis aux cellules filles… [l’embryon] ».
Lire la suiteL’OMS est compromise dans le développement et l’utilisation de vaccins stérilisants depuis des décennies
Par le Dr Joseph Mercola (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Zach Vessels/Unsplash
11 juillet 2022
L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL
- L’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin anti-fertilité dans les années 1970, en réponse à un danger perçu de surpopulation. Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
- En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». Le vaccin anti-fécondité utilise de l’hCG conjuguée (chimiquement liée) à l’anatoxine tétanique utilisée dans le vaccin contre le tétanos. En conséquence, la femme développera des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
- L’hCG est le premier signal qui indique à l’organisme de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors de la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’au terme. En combinant l’hCG avec l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par le système immunitaire de la femme qui a reçu ce vaccin.
- En 1995, la Catholic Women’s League of the Philippines a obtenu une décision de justice mettant fin à un programme de l’UNICEF contre le tétanos qui utilisait un vaccin contre le tétanos contenant de l’hCG. À cette époque, trois millions de femmes âgées de 12 à 45 ans avaient déjà été vaccinées. Des vaccins contenant de l’hCG ont également été découverts dans au moins quatre autres pays.
- Toujours en 1995, le gouvernement kenyan a lancé une campagne de l’OMS contre le tétanos, sous couvert d’éradiquer le tétanos néonatal. Une enquête a révélé que le vaccin administré aux jeunes filles et aux femmes âgées de 15 à 49 ans contenait de l’hCG, et divers éléments suggèrent qu’il s’agissait d’un programme intentionnel de contrôle de la population.
(Mercola) — « Infertilité : A Diabolical Agenda » [L’infertilité : Un programme diabolique] est le quatrième documentaire du Dr Andrew Wakefield sur les vaccins. Il raconte l’histoire d’un programme intentionnel de vaccination destiné à causer l’infertilité mené sur des femmes africaines, à leur insu et sans leur consentement.
Bien que cette histoire ait été balayée pendant des années comme une théorie de conspiration farfelue, des preuves irréfutables montrent qu’elle a bel et bien eu lieu et que cela pourrait recommencer.
L’histoire du passé
Comme l’explique le film, l’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin stérilisant, sous la direction du Dr G.P. Talwar à New Delhi, en Inde, dans les années 1970, « en réponse à la surpopulation perçue ». Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». La trace écrite révèle qu’en 1976, les chercheurs de l’OMS avaient réussi à conjuguer, c’est-à-dire à combiner ou à attacher, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) à l’anatoxine tétanique, utilisée dans le vaccin contre le tétanos. Par conséquent, lorsque celui-ci est administré à une femme, celle-ci développe des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
L’hCG est une hormone produite par les cellules entourant l’embryon en croissance. Ces cellules productrices d’hormones protègent et soutiennent la croissance de l’embryon et finissent par former le placenta.
Comme expliqué dans le film, l’hCG est le premier signal qui indique au corps de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors une deuxième hormone, la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’à son terme.
En associant l’hCG à l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par votre système immunitaire, car elle est désormais perçue à tort comme un agent pathogène envahissant. L’hCG étant détruite, la progestérone n’est jamais produite et, par conséquent, la grossesse ne peut être maintenue.
Ainsi, si vous êtes déjà enceinte au moment où vous prenez cette infusion de sorcières, vous risquez d’avorter spontanément, et si vous n’êtes pas encore enceinte, vous ne pourrez pas le devenir, car cette hormone de grossesse cruciale est constamment attaquée par votre système immunitaire. Des doses répétées prolongent ces effets, vous rendant effectivement stérile.
Lire la suiteDr Zelenko : vrai médecin
Le Dr Vladimir Zelenko.
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rumble
Le Dr Zelenko était un vrai médecin, il respectait la vie humaine pour son être et non pour ses capacités, parce que crée à l’image de Dieu : « Les principaux concepts de la “vie centrée sur Dieu” comprennent que “nous sommes faits à l’image de Dieu, et c’est la base de la loi naturelle, ce qui signifie que puisque nous sommes faits à l’image de Dieu nos vies sont sacrées, simplement parce qu’elles le sont, et non pour une autre raison” », rapportait de lui LifeSiteNews le 8 décembre 2021. C’est ce que je qualifierais de convictions pro-vie — A.H.
30 juin 2022 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, pionnier du traitement précoce covid, est décédé d’un cancer à l’âge de 48 ans.
Le Dr Vladimir Zelenko, médecin nommé au prix Nobel et militant des droits médicaux, est décédé à l’âge de 48 ans après un long combat contre le cancer.
Zelenko, qui a exercé la médecine pendant 20 ans, est devenu un nom mondialement connu pendant la prétendue pandémie de covid-19 lorsqu’il a été le premier à mettre au point le protocole de traitement précoce qui a permis de sauver des vies, aujourd’hui appelé « protocole Zelenko ».
Annonçant son décès, America’s Frontline Doctors a écrit tôt le matin du 30 juin :
C’est avec une immense tristesse que nous annonçons le décès de notre fondateur, le Dr Vladimir « Zev » Zelenko. Le Dr Zelenko était médecin, scientifique et militant des droits médicaux qui a touché la vie de millions de personnes. Certaines ont été sauvées grâce à son rôle de médecin, et d’autres encore ont été inspirées par ses paroles. Son « protocole Zelenko » a sauvé des millions de personnes, lui a valu une nomination au prix Nobel et l’admiration d’un président américain et d’autres dirigeants mondiaux de premier plan.
Zelenko, juif orthodoxe né en Union soviétique, a été largement couvert par LifeSiteNews, à la fois pour son protocole Zelenko loué par Donald Trump, qui lui a valu une nomination au prix Nobel, et pour son franc-parler concernant les graves méfaits des injections expérimentales d’ARNm covid.
Dans une vidéo, datée du 21 septembre 2021, le Dr Vladimir Zelenko prenait un grand risque en racontant tout !, le Dr Zelenko témoigna devant un tribunal rabbinique des horreurs causées par les injections expérimentales à modification génétique, et en quoi leur application à des enfants — qui ne courent aucun risque avec le covid — n’est rien d’autre qu’un sacrifice d’enfant.
Dans un entretien accordé à LifeSiteNews en juillet dernier, Zelenko a expliqué ce qui a fait le succès de son protocole à base d’hydroxychloroquine (HCQ) et de zinc pour traiter le covid, tout en évoquant le « groupe de sociopathes » qui a ignoré et censuré son traitement efficace et qui a préféré imposer un « liquide expérimental » (le vaccin à ARNm) à l’ensemble de la population mondiale.
Lire la suiteTout le monde devrait être heureux que la guerre contre les non-vaccinés soit perdue
Citoyens saluant le passage du Convoi pour la Liberté, 29 janvier 2022.
LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie
Campagne Québec-Vie aborde le sujet des vaccins covid-19, dont l’imposition est le sujet ici, car il a un impact sur nos sujets habituels comme l’avortement. En effet, les vaccins du covid-19 alors disponibles (et actuellement) sont liés par leur processus de développement à l'avortement. — A.H.
Note de l’éditeur : l’auteur de cet article est un écrivain vacciné anonyme.
Si le Covid était un champ de bataille, il serait encore chaud et jonché des corps des personnes non vaccinées. Heureusement, les mandats se relâchent, et les deux camps de la guerre se retrouvent dans la nouvelle normalité.
Les non-vaccinés sont les héros de ces deux dernières années, car ils nous ont permis d’avoir un groupe de contrôle dans la grande expérience et de mettre en évidence les lacunes des vaccins Covid.
Les non-vaccinés portent de nombreuses cicatrices et blessures, car ce sont les personnes que nous avons essayé de briser mentalement, mais personne ne veut parler de ce que nous leur avons fait et de ce qu’ils ont forcé « La Science » à dévoiler.
Nous savions que l’immunité déclinante des personnes entièrement vaccinées présentait le même profil de risque que les autres membres de la société ─ comme la minorité des non-vaccinés ─ et pourtant nous les avons marqués afin de les persécuter spécialement.
Vous voyez, nous avons dit qu’ils n’avaient pas « fait ce qu’il fallait pour le bien de tous » en [refusant] de remettre leur corps et leur autonomie médicale à l’État.
De nombreux soi-disant experts de la santé et dirigeants politiques australiens ont admis que l’objectif était de rendre la vie presque invivable pour les non-vaccinés, ce qui a été multiplié par la vindicte populaire, la lutte s’étant étendue aux lieux de travail, aux amitiés et aux réunions de famille.
Aujourd’hui, la dure vérité est que rien de tout cela n’était justifié. Nous sommes passés rapidement de la droiture à la cruauté absolue. Nous pouvons rejeter la faute sur nos dirigeants et nos experts en santé, mais chaque individu au sein de la société doit être tenu responsable d’être tombé dans ce piège bien préparé.
Lire la suiteUne nouvelle étude conclut que la fertilité masculine est réduite pendant plusieurs mois après le vaccin covid de Pfizer
Par Michael Haynes (LifeSiteNews) — Traduit par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse Info) — Photo : Studio Romantic/Adobe Stock
Une étude israélienne coécrite par sept médecins et qui a fait l’objet d’un examen complet par des pairs a prélevé des échantillons de donneurs de sperme pour constater que 75 à 120 jours après l’injection, la concentration de sperme masculin a diminué de 15,4 %, tandis que la motilité des spermatozoïdes a diminué de 22,1 %.
L’étude a écrit que si « aucun changement significatif » dans la concentration ou la motilité des spermatozoïdes n’a été trouvé à T1 (15 à 45 jours après l’injection), la concentration de spermatozoïdes était « significativement inférieure » dans les échantillons prélevés à la période de test T2.
Les échantillons T2 de concentration de spermatozoïdes se sont révélés « significativement plus faibles en raison d’une diminution de -15,4 % » que ceux avant la vaccination, ont écrit les auteurs.
Cela s’est traduit par une réduction moyenne de 12 millions/ml de concentration de spermatozoïdes pendant les échantillons T2, par rapport aux échantillons de pré-vaccination. Une réduction moyenne de 31,2 millions de spermatozoïdes mobiles a également été notée au cours de la même période.
Les auteurs n’ont pas précisé quelle était la concentration de spermatozoïdes avant la vaccination, mais ont cherché à apaiser les craintes en ajoutant qu’une « récupération » avait été constatée dans des échantillons prélevés plus tard au stade du test T3, bien qu’aucun détail n’ait été donné à ce stade de l’étude sur ce en quoi consistait la « récupération ».
Une réduction moyenne de 12 millions/ml de la concentration de spermatozoïdes chez les 37 hommes observés est significative, étant donné que l’Organisation mondiale de la santé suggère actuellement que la fertilité masculine est considérée comme normale s’il y a plus de 15 millions de spermatozoïdes par millilitre. Tout ce qui est inférieur est considéré comme malsain.
Plus bas dans l’étude, plus de détails ont été donnés sur la « récupération » rapportée trouvée dans les échantillons prélevés au cours de l’étape T3, qui ont été effectués à « 174,8 ± 26,8 jours » ou entre près de cinq à sept mois après la vaccination.
Contrairement à la suggestion selon laquelle la réduction de la concentration de spermatozoïdes a été inversée, la concentration de spermatozoïdes s’est en fait aggravée avec le temps, les échantillons de test T3 étant en moyenne de 15,9 % pires que les tests pré-vaccinaux. Le nombre total de motiles dans ces tests était encore inférieur de 19,4 % aux tests pré-vaccinaux, une très légère amélioration par rapport aux tests T2.
Lire la suitePlus de 4000 rapports de fausses couches de femmes vaccinées au covid dans le VAERS
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pormezz/Adobe Stock
Tamara Ugolini, journaliste du Rebel News, rapporte la teneur d’un entretien qu’elle a eu avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste où cette dernière parle de ses analyses des données du VAERS, notamment les quelque 4000 rapports volontaires de fausses couches chez les femmes vaccinées au covid, un nombre qui serait à multiplier par 31 à cause de la sous-déclaration. Selon le Rebel News :
Dans cet entretien, nous discutons de cette tendance avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste. Mme Rose m’a déjà rejoint pour discuter des analyses qu’elle a réalisées et qu’elle continue d’effectuer sur les données du système VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) des Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis.
Mme Rose note que certains rapports d’événements indésirables dans la base de données VAERS sont devenus si nombreux qu’ils sont trop lourds à analyser sur le plan informatique.
Dans la base de données VAERS, selon le décompte de Mme Rose, il y a eu à ce jour 4 474 rapports d’avortements spontanés (c’est-à-dire de fausses couches) soumis après l’injection d’un vaccin covid. Mme Rose suppose qu’il existe un facteur de sous-déclaration de l’ordre de 31, de sorte que la multiplication de ces événements signalés par le facteur de 31 est susceptible de donner une représentation plus fidèle du profil des événements indésirables.
Ces résultats ne sont en fait pas étonnants si l’on considère, comme le souligne le Dr Rose, que les protéines de pointe (spike proteins) ne restent pas dans le lieu d’injection, mais circulent dans tout le corps, pour se concentrer dans les organes tels que le foie, la rate… ou les ovaires.
On peut certainement mettre en lien avec ces faits le nombre important de signalements de troubles menstruels de femmes vaccinées au covid auprès du Réseau français des centres de pharmacovigilance.
Les médecins sont « déconcertés » par un nouveau « syndrome de mort subite » mystérieux qui tue des jeunes en bonne santé
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : 9nong/Adobe Stock
14 juin 2022 (LifeSiteNews) — Ils l’appellent le syndrome de mort subite de l’adulte, ou SADS en abrégé. Tout comme le SIDS — syndrome de mort subite du nourrisson — lorsque des bébés en bonne santé meurent soudainement (et le plus souvent le jour même d’une visite de routine chez le pédiatre). Sauf qu’il se produit chez les adultes. Et aussi chez les enfants et les adolescents, bien que le nom ne le reflète pas. Pourtant…
Des jeunes gens en bonne santé meurent soudainement dans le monde entier, a rapporté le Daily Mail la semaine dernière, affirmant que la recrudescence de ce « syndrome mystérieux » déconcerte les médecins.
L’article décrit le cas de Catherine Keane, une femme de 31 ans de Dublin qui faisait 10 000 pas par jour et était une habituée de la salle de sport, et qui ne s’est tout simplement pas réveillée lors d’un séjour chez des amis.
« Ils travaillaient tous à la maison, donc personne n’a vraiment fait attention quand Catherine n’est pas descendue pour le petit-déjeuner », a raconté Margherita, la mère de Catherine, au Irish Times. « Ils lui ont envoyé un SMS à 11 h 20 et comme elle n’a pas répondu, ils ont vérifié sa chambre et ont découvert qu’elle était décédée ».
« Son amie a entendu un bruit dans sa chambre à 3 h 56 du matin et pense maintenant que c’est à ce moment-là qu’elle est morte. »
La « pointe de l’iceberg »
En Australie, les médecins ont lancé un registre pour recenser ces cas. Ils sont l’un des rares pays au monde qui va suivre les données des ambulances pour les décès que les médecins ne voient habituellement pas.
« La majorité de ces événements SADS, 90 %, se produisent en dehors de l’hôpital — la personne n’y arrive pas vivante — donc c’est en fait le personnel ambulancier et les médecins légistes qui s’occupent de la majeure partie de ces patients », a déclaré la cardiologue Elizabeth Paratz de l’Institut du cœur et du diabète Baker.
« Je pense que même les médecins le sous-estiment. Nous ne voyons que les 10 % qui arrivent vivants à l’hôpital. Nous ne voyons nous-mêmes que la partie émergée de l’iceberg ».
Ce qui manquait manifestement dans l’article, qui aurait dû intéresser tout journaliste médical de l’ère covid et certainement tout médecin, c’était la mention du statut vaccinal covid — vaccin expérimental — de ces personnes qui, comme Catherine, sont tombées raides mortes en nombre supérieur à la moyenne.
Ne veulent-ils pas savoir s’il y a un lien ? Ou ne veulent-ils pas que nous le sachions ?
C’est comme si un vaccin développé à la vitesse de l’éclair, jamais utilisé sur des humains, une puissante injection immunitaire et génique qui détourne la machinerie cellulaire pour produire des protéines de pointe (maintenant reconnue comme la partie la plus mortelle du coronavirus COVID-19), toujours en cours d’essais cliniques, et lié à des maladies cardiaques inflammatoires mortelles comme la myocardite et les troubles de la coagulation sanguine, ne pouvait avoir aucun rapport avec des décès inexpliqués.
Lire la suiteUn nouveau cardinal choisi par le Pape François a un horrible dossier sur l’homosexualité et l’avortement
Mgr Robert McElroy.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie
3 juin 2022 (LifeSiteNews) — Le pape François a choqué l’Église dimanche en annonçant la nomination de 21 nouveaux cardinaux, dont 16 cardinaux électeurs, qui seront installés lors d’un consistoire le 27 août.
Les nominations comprennent, sans surprise, plusieurs libéraux déclarés, comme l’archevêque brésilien pro-LGBT Mgr Leonardo Ulrich Steiner et le chef de la liturgie du Vatican, Mgr Arthur Roche, opposé à la messe latine.
Mais le choix le plus radical du pape est celui de Mgr Robert McElroy de San Diego, connu des catholiques fidèles comme étant sans doute le prélat de gauche le plus favorable des États-Unis aux homosexuels.
Ces dernières années, Mgr McElroy a suscité l’indignation en célébrant des « messes LGBT », en rejetant la position de l’Église sur les actes homosexuels, en préconisant des rites funéraires catholiques pour les homosexuels actifs et en soutenant le père James Martin, jésuite dissident, tout en dénonçant les attitudes « destructrices » des conservateurs sur la sexualité.
Son bilan sur les questions de vie n’est guère meilleur. Aucun évêque n’a défendu aussi vigoureusement que Mgr McElroy le fait de donner la communion à des politiciens favorables à l’avortement ; il met aussi en équation l’avortement et le « changement climatique », et rejette l’idée que l’avortement est le problème moral unique et « prééminent » auquel l’Église américaine est confrontée.
Après que le pape François ait publié de nouvelles restrictions sur la messe en latin l’année dernière, McElroy a rapidement éliminé deux des trois églises où était célébrée la messe traditionnelle dans son diocèse. Pendant le déploiement de la piqûre COVID, il a prôné la vaccination comme la « seule voie » vers le retour à la normale. Et en ce qui concerne les abus sexuels commis par des membres du clergé, même les militants libéraux tirent la sonnette d’alarme sur son passé.
Mgr McElroy est depuis longtemps un favori du pape François, qui l’a nommé au diocèse de San Diego en 2015, lui a confié la fonction de père synodal du synode panaméricain de 2019 et l’a choisi l’année dernière pour rejoindre le Dicastère du Vatican pour la promotion du développement humain intégral. L’évêque de San Diego est également un proche allié des autres cardinaux américains de gauche et pro-LGBT du pape, notamment le cardinal Joseph Tobin et le cardinal Blase Cupich.
Les positions ultra-libérales de Mgr McElroy et son ascension rapide sont d’autant plus significatives qu’il a une vision révolutionnaire de l’Église catholique. Dans un long article pour America Magazine, deux jours après sa nomination au cardinalat, Mgr McElroy a détaillé son objectif de « transformation » de l’Église par le biais du Synode sur la synodalité et d’une « synodalité soutenue ».
Le « processus synodal » vise « rien de moins qu’une refonte de la culture de l’Église qui perdurera pendant des générations », a déclaré Mgr McElroy. « Le dépôt de la foi n’est pas un corps d’enseignement inerte et abstrait », a-t-il insisté, suggérant des changements à la « doctrine réformable de l’Église ».
« La doctrine réformable de l’Église », a répondu le père Gerald Murray, juriste canonique et collaborateur d’EWTN, « est une catégorie qui ne m’est pas très familière, car la doctrine est enseignée comme une vérité venant du Christ, enseignée par les apôtres ».
La nomination de Mgr McElroy envoie un signal sans équivoque sur la direction que le pape François entend donner à l’Église au cours de son pontificat déclinant ─ un signal confirmé par une série d’autres nominations de haut niveau au Vatican annoncées cette semaine.
Vous trouverez ci-dessous un examen approfondi des antécédents horribles de l’évêque de San Diego, depuis sa promotion incessante des LGBT et ses liens troublants avec les abus sexuels commis par des clercs, jusqu’à son habitude de longue date de minimiser l’importance de l’avortement et ses prises de position politiques.
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