Voici comment les francs-maçons ont utilisé un livre mensonger pour mener la guerre à l’humanité
Par Steven Mosher — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Pxfuel
14 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Il n’est pas exagéré de dire que les élites mondialistes encore responsables de la plupart des gouvernements occidentaux ont longtemps été déterminées à exterminer la majeure partie de l’humanité. Et elles le sont toujours.
Sous le couvert du mantra du « choix », ils soutiennent tout, de l’avortement et de l’euthanasie à la stérilisation de masse et à l’idéologie du genre. Mais le « choix » n’est qu’une couverture commode pour générer un soutien populaire à leur objectif sous-jacent : stériliser, avorter, euthanasier ou transsexualiser la majorité de l’humanité pour la faire disparaître.
Comment expliquer autrement leur pression continue en faveur du contrôle de la population à une époque où les taux de natalité mondiaux sont déjà inférieurs au taux de remplacement ? Les mondialistes ne se contentent pas de penser que les « mauvaises » personnes ont des bébés ; pour eux, le problème est que les gens aient des bébés.
Prenons l’exemple d’Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et femme politique la plus puissante d’Europe. Elle a récemment prononcé un discours dans lequel elle a suggéré que les êtres humains étaient une sorte de peste pour la planète :
Lire la suite« En 1972, le Club de Rome et un groupe de chercheurs du MIT ont publié un rapport intitulé “The Limits to Growth” (Les limites de la croissance) », a déclaré Ursula. « Ce rapport décrit l’interaction entre la croissance démographique, l’économie et l’environnement. Il y a 50 ans, il est parvenu à une conclusion radicale : Arrêtez la croissance économique et démographique, sinon notre planète ne pourra pas s’en sortir ».
Viktor Orbán est un héros parce qu’il ne sacrifie pas sa nation pour l’argent de l’UE
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alan Santos/PR/Palácio do Planalto/Flickr
22 janvier 2024 (LifeSiteNews) — Si vous voulez savoir pourquoi le premier ministre hongrois Viktor Orbán est un héros pour de nombreux conservateurs, prenez une minute pour regarder cette brillante vidéo :
#Hungary cannot be blackmailed! There is not enough money in the world to force us to accept mass #migration and to put our children in the hands of LGBTQ activists. This is impossible! pic.twitter.com/RXobNStYMy
— Orbán Viktor (@PM_ViktorOrban) January 19, 2024
« Il n’y a pas assez d’argent dans le monde pour nous forcer à laisser entrer les migrants », déclare M. Orbán. « Et il n’y a pas assez d’argent dans le monde pour lequel nous mettrions nos enfants ou nos petits-enfants entre les mains d’activistes LGBTQ. C’est impossible. »
Pourquoi, demande M. Orbán, le commissaire européen retient-il des fonds auxquels la Hongrie a droit ? Pour deux raisons. Premièrement, leur position sur l’immigration. Deuxièmement, » [les Hongrois] ne permettent pas aux militants LGBTQ d’être parmi leurs enfants. Et c’est une erreur d’un point de vue européen, selon leur idée de l’Europe, et ils veulent changer ces lois par tous les moyens, y compris la pression financière. La seule chose que nous pouvons dire — très calmement — en guise de réponse, c’est qu’il n’y a pas assez d’argent dans le monde ».
Depuis des mois, la Commission européenne à Bruxelles, qui fait partie de l’exécutif de l’Union européenne, bloque environ 20 milliards d’euros de fonds européens destinés à Budapest en raison de sa position sur les questions de migration et d’idéologie LGBT. M. Orbán s’est attiré les foudres de l’Union européenne après avoir interdit la propagande LGBT destinée aux jeunes, ce qui a valu à la Hongrie d’être traduite devant la Cour de justice de l’Union européenne. En 2010, le parti d’Orbán a également adopté une loi consacrant la définition du mariage comme étant l’union d’un homme et d’une femme.
Lire la suiteDéclaration de Mgr Carlo Maria Viganò, archevêque et ancien Nonce apostolique aux États-Unis d’Amérique, sur la crise russo-ukrainienne
Publié en français par Fabien Laurent sur Médias-Presse Info
Appel à la création d’une Alliance Anti-Mondialiste pour unir
les peuples en opposition à la tyrannie du Nouvel Ordre Mondial
« Rien n’est perdu avec la paix. Tout peut l’être avec la guerre. Que les hommes recommencent à se comprendre. Qu’ils recommencent à négocier. En faisant ces pourparlers avec bonne volonté et dans le respect des droits réciproques, ils s’apercevront qu’un succès honorable n’est jamais exclu des négociations loyales et actives. Ils se sentiront grands — de la véritable grandeur — si, faisant taire les voix de la passion, aussi bien collective que privée, et faisant droit à la raison, ils épargnent le sang de leurs frères et soustraient leur Patrie a la ruine. »
Ainsi Pie XII s’adressa, le 24 août 1939, aux gouvernants et aux peuples dans l’imminence de la guerre. Ce n’étaient pas des paroles de pacifisme vide, ni de silence complice sur les nombreuses violations de la justice qui avaient lieu en de nombreux endroits. Dans ce message radio, qu’encore certains se souviennent d’avoir entendu, l’appel du Pontife romain invoquait le « respect des droits réciproques » comme prémisse à des négociations de paix fructueuses.
La narration médiatique
Si l’on observe ce qui se passe en Ukraine, sans se laisser abuser par les falsifications macroscopiques des grands médias, on se rend compte que le « respect des droits mutuels » a été complètement ignoré ; au contraire, on a l’impression que l’Administration Biden, l’OTAN et l’Union européenne veulent délibérément maintenir une situation de déséquilibre flagrant, précisément pour rendre impossible toute tentative de règlement pacifique de la crise ukrainienne, provoquant la Fédération de Russie pour déchaîner un conflit. Là réside la gravité du problème. C’est le piège tendu à la fois à la Russie et à l’Ukraine, les deux étant utilisées pour permettre à l’élite mondialiste de mener à bien son plan criminel.
Que l’on ne soit pas étonné si le pluralisme et la liberté d’expression, tant vantés dans les pays qui se prétendent démocratiques, soient quotidiennement désavoués par la censure et l’intolérance à l’égard des opinions qui ne sont pas conformes au récit officiel : les manipulations de ce type sont devenues la norme pendant la soi-disant pandémie, au détriment des médecins, des scientifiques et des journalistes dissidents, qui ont été discrédités et ostracisés simplement parce qu’ils ont osé remettre en question l’efficacité des sérums expérimentaux. Deux ans plus tard, la vérité sur les effets indésirables et la gestion peu judicieuse de l’urgence sanitaire leur donne raison, mais elle est obstinément ignorée parce qu’elle ne correspond pas à ce que le système voulait et veut encore aujourd’hui.
Si les médias du monde entier ont pu jusqu’à présent mentir sans aucune honte sur une question de stricte pertinence scientifique, en répandant des mensonges et en dissimulant la réalité, nous devrions nous demander pourquoi, dans la situation actuelle, ils devraient soudainement retrouver l’honnêteté intellectuelle et le respect du code de déontologie qu’ils ont largement répudiés avec la Covid.
Lire la suiteLa Russie reproche à la Cour européenne d’insister à ce qu’elle reconnaisse le « mariage » homosexuel
Dmitry Peskov, porte-parole du Kremlin.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : BBC News/YouTube
Moscou, 16 juillet 2021 (LifeSiteNews) — La Russie a rejeté cette semaine un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui poussait le pays à reconnaître le « mariage » homosexuel.
L’ordonnance de la CEDH, rendue mardi, a estimé que le refus de la Russie d’enregistrer les homosexuels comme « mariés » violait l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, qui comprend un « droit à la vie familiale », et l’article 14, qui interdit la discrimination. Ces dernières années, la Cour de Strasbourg a interprété ces articles comme s’appliquant aux unions entre personnes de même sexe, malgré des décisions antérieures contraires et l’absence de toute mention de l’homosexualité dans le texte de la Convention européenne.
L’affaire, Fedotova et Autres c. Russie, a été portée par plusieurs homosexuels russes dont les demandes d’enregistrement d’un avis de mariage ont été rejetées, selon la CEDH.
« La Cour a estimé que la Russie avait l’obligation d’assurer le respect de la vie privée et familiale des requérants en leur fournissant un cadre juridique leur permettant de faire reconnaître et protéger leurs relations en droit interne », a déclaré la CEDH.
La Cour a affirmé que les mesures qui assimileraient effectivement les unions homosexuelles aux mariages hétérosexuels « ne seraient pas en conflit avec la “conception traditionnelle du mariage” prévalant en Russie. » La CEDH a ajouté que « la forme la plus appropriée d’enregistrement des unions entre personnes de même sexe restait à la discrétion de l’État défendeur. »
La Russie a critiqué la décision de la CEDH, réaffirmant mardi que le mariage dans le pays reste strictement entre hommes et femmes. Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a souligné que les « mariages » homosexuels ne sont « pas autorisés » par la Constitution russe, qui a été modifiée cette année pour stipuler que « l’institution du mariage est une union entre un homme et une femme. »
Lire la suiteLa Hongrie applique sa nouvelle loi et pénalise un libraire pour un livre promouvant l’homosexualité auprès des enfants
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gpointstudio/AdobeStock
Budapest, Hongrie, 8 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Les autorités hongroises ont infligé une amende à un distributeur de livres pour avoir vendu un livre sans avertir les clients qu’il encourage l’homosexualité chez les enfants.
Invoquant les règles relatives aux pratiques commerciales déloyales, les responsables locaux ont infligé une amende à un distributeur anonyme pour un livre publié par la Fondation pour les familles arc-en-ciel. Le livre, intitulé « What a Family » [Quelle famille !], est la traduction d’un livre d’un activiste LGBT américain qui met en scène des couples de même sexe avec enfants, afin de normaliser la parentalité homosexuelle.
Le bureau du gouvernement du Comté de Pest, un comté entourant Budapest (qui n’en fait pas partie), a infligé une amende de 250 000 forints, soit environ 830 dollars, selon Reuters.
« Ce livre a été placé parmi d’autres livres de contes de fées et de cette façon ils ont enfreint la loi », a déclaré Richard Tarnai, commissaire du comté de Pest, à la chaîne de télévision hongroise HirTV. « Il n’y a aucun moyen de savoir que ce livre parle d’une famille différente de la famille normale. »
La Hongrie a insisté pour que des avertissements soient inclus dans les livres décrits comme de la « propagande homosexuelle ».
Le mois dernier, le gouvernement conservateur au pouvoir, dirigé par le Premier ministre Viktor Orbán, a également approuvé une loi contre la pédophilie, qui interdit notamment la promotion de l’homosexualité ou du transgenrisme auprès des mineurs.
Cette loi de grande envergure, qui entre en vigueur jeudi, interdit spécifiquement « les contenus qui dépeignent la sexualité pour elle-même, ou qui promeuvent ou montrent des déviations de l’identité par rapport au sexe de naissance, le changement de sexe ou l’homosexualité ». De même, l’éducation sexuelle « ne doit pas viser à changer de sexe ou à promouvoir l’homosexualité ».
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé peu après l’adoption de la législation anti-pédophilie hongroise que l’Union européenne utiliserait « tous les pouvoirs de la Commission » contre cette loi. Elle a de nouveau menacé la Hongrie mercredi, déclarant que « la Commission utilisera ses pouvoirs en tant que gardienne des traités », rapporte EuroNews.
Viktor Orbán a répondu jeudi en déclarant que « nous ne laisserons pas les militants LGBTQ parmi nos enfants », quelles que soient les représailles. « Le Parlement européen et la Commission européenne veulent que nous laissions les militants et les organisations LGBTQ entrer dans les jardins d’enfants et les écoles. La Hongrie ne veut pas de cela », a déclaré M. Orbán. « Les bureaucrates de Bruxelles n’ont rien à faire ici, et quoi qu’ils fassent, nous ne laisserons pas les militants LGBTQ parmi nos enfants. »
L’UE s’enflamme contre Orbán et la loi hongroise protégeant les mineurs de la propagande LGBT
Viktor Orbán, premier ministre de Hongrie.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
« Dis-moi qui tu aimes, je te dirai qui tu hais. » Les paroles de Victor Hugo s’appliquent à merveille à l’Union européenne, à ses amours et à ses haines.
L’Union européenne aime le monde Lgbtqi+ et hait tout ce qui s’y oppose. Elle hait cette Hongrie attachée aux valeurs familiales traditionnelles et à l’innocence de l’enfance.
L’aversion des stipendiés bruxellois pour la Hongrie est patente ces derniers jours : Viktor Orbán et sa récente loi protégeant les enfants de la propagande homosexuelle et réprimant la pédophilie lui reste en travers de la gorge et l’a fait s’enflammer de rage. L’Union européenne veut faire plier la Hongrie afin qu’elle renonce à sa loi. De tout son poids technocratique le mastodonte européen, qui est incapable par ailleurs de mettre un terme à l’invasion clandestine, pèse sur le petit pays des Magyars.
La Commission européenne présidée par l’Allemande Ursula von der Leyen menace Viktor Orbán de lancer une procédure d’infraction, par l’envoi d’une première lettre de mise en demeure, contre la Hongrie si la loi est maintenue. Pourtant le premier ministre Orbán avait souligné que les préceptes de la loi « ne concernent pas l’homosexualité », mais « la défense des droits des enfants et des parents. Les lois concernent la manière dont les parents veulent éduquer leurs enfants ». Explications jugées insatisfaisantes par ce bras armé des lobbies lgbt et de la révolution arc-en-ciel qu’est l’UE.
La procédure d’infraction peut conduire à divers types de sanctions ou à la demande explicite de retrait d’une règle, d’une disposition, d’un règlement édicté par l’État auquel la violation est imputée ou par des entités qui lui sont liées. Une fois la lettre envoyée, le pays visé par l’enquête dispose d’un délai de deux mois pour présenter ses observations mais, s’il ne répond pas à la lettre de mise en demeure dans le délai imparti ou fournit à la Commission des réponses jugées insatisfaisantes, ce dernier peut se réserver le droit d’autres actions. La Commission a la possibilité d’émettre l’avis motivé avec lequel il constate comme un fait et avec l’aval de la loi le manquement contesté de l’Etat mis en examen, appelé à remédier au problème.
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