Les Kenyans s'opposent à l'avortement et à l'homosexualisme
Sur le site de french.cri.cn du 3 juillet 2014 :
(Photo : USAID_IMAGES sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Selon ce sondage réalisé du 28 avril au 7 mai sur un échantillon d'environ 2059 adultes kenyans, 87 % des Kenyans ne soutiennent pas l'avortement et 64 % sont contre l'homosexualité.
Les Kenyans n'ont pas renoncé aux idées conservatrices malgré le matraquage médiatique en faveur des idées modernes. (...)
Belgique : fantastique maison de retraite avec des soins de fin de vie qualité pour éviter l'euthanasie à ces vieux... animaux!
Sur le site de sudinfo.be du 21 mars 2014 :
(Lionne prenant un homme à la gorge : le choix de la mort létale pour les humains aux services des bons soins pour les animaux, jusqu'au bout...)
(Photo : prioryman sur wikimedia.org, licence creative commons)
(...)Ici, on les recueille et on en prend soin jusqu’à leur dernier souffle, quels que soient leurs problèmes. « Nous acceptons tous les âges et tous les handicaps. Le seul critère, c’est que l’animal doit être sociable avec les autres animaux, parce qu’ils vivent une grande partie de la journée ensemble. » (...)
Ce sont les personnes âgées et malades belges qui doivent être jalouses... On prend soin des animaux comme si c'étaient des personnes, et on traite les personnes comme si elles étaient des bêtes : par injections létales...
Magnifique témoignage de David Bereit, fondateur des 40 Jours pour la Vie
Sur le site de l'Homme Nouveau du 26 février 2014 (via le salon beige) :
(David Bereit : photo : American Life League sur flickr.com, licence creative commons)
(...)Mon meilleur souvenir des 40 Days for Life, c’est quand j’ai pu rencontrer pour la première fois un enfant qui avait été sauvé grâce à l’une de nos campagnes. Nous menions nos campagnes depuis deux ans et demi, et l’on m’avait raconté beaucoup d’histoires d’enfants sauvés et de mères qui avaient échappé à l’avortement. Mais je n’avais encore jamais vu l’un de ces enfants. À cette époque j’avais déjà visité plus de 150 villes et je continuais à espérer rencontrer un jour un de ces enfants tout en admettant, comme Mère Teresa l’a dit, qu’on ne nous demande pas de réussir, on nous demande d’être fidèles.
Au 38e jour d’une campagne de printemps des 40 Days for Life, je me trouvais en déplacement dans le nord-est des États-Unis et je m’arrêtai à Harrisburg en Pennsylvanie. Alors que je prononçais une allocution dans un centre d’aide aux femmes enceintes, j’ai eu la chance de rencontrer une mère qui avait eu un rendez-vous pour avorter de son enfant mais qui avait changé d’idée en voyant des gens prier devant la clinique d’avortement où elle se rendait. Elle me remercia pour les campagnes des 40 Days for Life et me présenta son petit garçon prénommé Jakai. Prendre ce petit garçon dans mes bras fut un des moments les plus exceptionnels de toute ma vie. Cet évènement me fit prendre conscience combien nos efforts, nos combats et nos difficultés en valaient la peine. Je souhaite de tout mon cœur que tous ceux qui participent à ces 40 Days for Life puissent eux aussi un jour rencontrer un petit garçon ou une petite fille, créés à l’image et à la ressemblance de Dieu, sauvés de l’avortement grâce à leurs efforts fidèles. (...)
À lire en entier sur le site de l'Homme Nouveau.
N'hésitez pas à nous appeler pour participer aux 40 Jours pour la Vie, une expérience qui sauve des vies!
Très beau texte d'Isabelle Maréchal sur le suicide qui s'applique tout autant à l'euthanasie
Sur le site du Journal de Montréal du 3 février 2014 :
(Cet intervenant est-il en train de lui parler de son grand respect pour le suicide?)
(Photo : Dieselgeek sur wikimedia.org, licence creative commons)
Quand, chaque jour, trois Québécois se tuent, on est en droit de se demander pourquoi rien ni personne n’a pu les en empêcher.
(...)
Notre société très tolérante respecte le territoire de l’autre sans égard à la détresse qui l’habite. Nous avons dépassé les bornes en acceptant le suicide comme un geste réfléchi, oubliant qu’il puise d’abord sa source dans la détresse, la souffrance et l’impulsivité.
Nous n’osons pas contredire le choix des suicidaires parce qu’il nous est trop pénible d’être le témoin démuni de leur désir d’en finir. On baisse les bras. On culpabilise à distance. C’est difficile de vivre avec quelqu’un qui jongle sur un fil.
(...)
Il faut dire au suicidaire qu’on s’inquiète, que son geste est inacceptable et que la pire chose qui pourrait nous arriver dans la vie, c’est sa mort.
Il y a une terrible fausse compassion qui consiste à dire que l'on respecte le choix de la personne. Cette fausse compassion est un mélange de lâcheté, d'indifférence et de haïne envers cette personne qui nous dérange avec sa souffrance psychologique.
La réponse la plus immonde que l'on peut faire à quelqu'un souffrant psychologiquement et demandant de l'aide pour mourir, c'est d'acquiéscer à sa demande avec le sourire jaune de celui qui se cache derrière une apparente comédie où l'on prétend aimer la personne. On ajoute au geste de se débarasser du patient, l'hypocrisie de prétendre que c'est pour son bien et parce qu'on l'aime qu'on accepte de le tuer. Les lobbyistes de l'euthanasie sont fondamentalement malhonnêtes.
Isabelle Maréchal donne dans son texte l'exemple horrible d'un conseil de famille où l'on « respectait » le « choix » d'un des membres manifestant son désir de se suicider... Ce qu'il a fait avec l'accord de sa famille, comme ce sera le cas dans les euthanasies. Et la journaliste de poser cette question : « Quel est le plus terrible? Le geste de l’homme aveuglé par son mal de vivre ou le fait que personne de sa famille n’ait cru bon de lui dire qu’il ne pouvait se tuer? »
Très bonne question...
Dans les deux cas, (aide à mourir dans la dignité) euthanasie et suicide, il y aura une souffrance psychologique que l'on aura pas secouru. Et cette absence de secours, il faudra bien lui trouver une justification. « Autonomie du patient, mourir dans la dignité» autant de paroles creuses pour s'illusionner parce que se désolidariser du patient est un fait qui ne doit pas être compris.
Tuer n'est pas un soin, une injection létale n'est pas un médicament. Le reste est de la poudre aux yeux...
Les groupes pro-avortements contestent le choix des médecins choisis pour enquêter sur la mort de la jeune indienne
Sur leblog de Jeanne Smits du 20 novembre 2012, un excellent résumé de la situation dont voici un extrait:
(Praveen Halappanavar, mari de Savita)
(...)Aujourd'hui, Praveen a protesté avec vigueur contre la présence au sein de la commission d'enquête mise en place par le HSE (Health Service Executive, instance exécutive du service de la Santé) de trois médecins travaillant à l'hôpital universitaire de Galway où Savita est morte, fin octobre, des suites d'une septicémie massive alors qu'elle était en train de faire une fausse couche. Il a menacé de boycotter l'enquête, déclarant qu'il n'autoriserait pas la commission d'enquête à avoir accès au dossier médical de sa femme si les trois médecins en faisaient partie. L'Irish Council for Civil Liberties a abondé en son sens, réclamant une « enquête indépendante ». L'ICCL a été fondé par Mary Robinson en 1976, et se glorifie d'avoir fait légaliser le divorce, dépénalisé l'homosexualité, et promu l'« égalité » (et notamment les droits des transgenres) ; il milite par ailleurs pour une forme de légalisation de l'avortement.
Les autorités se sont aplaties, acceptant de gommer les noms des trois médecins contestés.
Elles avaient pourtant déjà tout fait pour donner une certaine coloration à la commission d'enquête. Hilary White, de LifeSiteNews, souligne aujourd'hui que la personne désignée pour diriger l'enquête, le professeur Sir Sabaratnam Arulkumaran qui dirige le service de gynécologie-obstétrique à l'hôpital Saint-George de Londres, est personnellement partisan de l'avortement légal et pour un meilleur accès à l'avortement là où il est légal. Il est le président-élu de la Fédération internationale de gynécologie qui elle-même prône la légalisation de l'avortement.Lors d'un colloque international dont on trouve la teneur ici, Sir Sabaratnam recommandait que pour la prévention des morts maternelles, on ait recours à diverses stratégies dont celle-ci : « Traitement des fausses couches incomplètes ou septiques promptement et efficacement, sans stigmatisation, par l'utilisation de l'aspiration par vacuum ou par des méthodes médicales. » Autrement dit, cet expert indépendant a un avis préconçu sur la procédure qu'auraient dû utiliser les médecins qui se sont occupés de Savita et lui ont refusé l'avortement (selon les dires de son mari) parce que l'Irlande « est un pays catholique ».Bref, tout converge pour que les conclusions de l'enquête aillent dans le sens désiré par le mari de Savita… tandis que les gros médias du monde entier, sans que personne ne connaisse le dossier et se fondant uniquement sur ce que dit Praveen, dénoncent le caractère arriéré de la législation irlandaise et accusent le respect de la morale catholique de la mort de Savita.Les évêques d'Irlande ont publié un communiqué rappelant que la morale catholique ne place pas la vie de l'enfant au-dessus de celle de la mère, ni celle de la mère au-dessus de celle de son enfant, mais qu'en cas de danger pour la vie de la mère il est « permis d'entreprendre tout traitement nécessaire à condition que tout ait été mis en œuvre pour sauver la mère et son enfant », sans que l'on puisse attenter directement à la vie de l'enfant, même le traitement risque de causer indirectement et non intentionnellement la mort de l'enfant. (...)Je vous propose encore le commentaire d'un gynécologue-obstétricien qui a réagi aux premiers messages sur l'affaire Savita en ces termes :
Nous sommes en présence d'une menace de fausse couche tardive qui va en quelques jours devenir inéluctable. L'ouverture de l'oeuf en est un temps essentiel car l'infection devient alors très fréquente et potentiellement très grave.
On connaît (j'ai connu) de tels cas où le refus de l'avortement proposé a pu (rarement) arriver à la naissance d'un enfant sans trop de handicap et je vois régulièrement une femme qui a vécu cette situation et ne manque pas de me sortir à chaque fois la photo de son fils ; je l'avais laissée choisir en lui disant que je refusais cet avortement médical mais que d'autres confrères consultés l'acceptaient : à notre époque procédurière anti-médecins la loi nous impose cette attitude.
Il faut savoir aussi que des cas de ce type exposent à des complications gravissimes (déformation extrème des membres, absence de dévelopement pulmonaire, destruction de cerveau etc). Quant à la mère, sa vie peut être menacée : infections, hémorragie, embolie amniotique, le risque augmentant avec la durée d'ouverture de l'oeuf.
Les antibiotiques doivent être systématiques sitôt l'oeuf ouvert, mais pas forcément avant : tant qu'il n'y a pas d'infection, l'antibiothérapie très précoce est discutable : question de résistances.
Ce cas manque beaucoup de détails scientifiques précis et il est évident que les partisans de la culture de mort ont sauté sur l'occasion. Avant de condamner éventuellement un retard à l'antibiothérapie il faudrait avoir accès à l'ensemble du dossier et ne pas se contenter du peu que l'on sait à cette heure. Il s'agit certainement d'un des cas les plus difficiles de l'obstétrique.
La mort de Savita se révélera peut-être avoir été inévitable. Ou alors évitable par des soins qui n'ont pas été correctement donnés. Ou alors, seulement en vidant le contenu de son utérus dès que l'infection eut été constatée et bien que le fœtus fût encore en vie, chose qui aurait consisté en une manœuvre ayant pour effet direct la mort de l'enfant qui n'était pas viable puisqu'elle n'était enceinte que de 17 semaines. Mais même ainsi, ce n'est pas alors la mise à mort de l'enfant qui aurait éventuellement sauvé Savita : l'avortement n'est pas un médicament ou une thérapeutique. L'évacuation de l'utérus (l'avortement) aurait simplement facilité (on ne sait dans quelle mesure) le traitement de l'infection.
Le monde entier hurle qu'il fallait tuer l'enfant pour sauver la mère. Dit en ces termes, c'est pourtant difficile à accepter, non ?
Janis Clarke: une grande militante pro-vie de Montréal
Visitez le site de Madame Janis Clarke, une grande militante pro-vie de Montréal:
JanisClarke.com
Campagne Québec-Vie
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“Janis has used her musical talent to proclaim the gospel and has developed a ministry of evangelization that has been well received everywhere she has gone.”
Most Rev. Anthony Mancini, V.G.,
Auxiliary Bishop of Montréal
L'Ordre du Canada et Mgr Jean-Claude Turcotte
Campagne Québec-Vie tient à féliciter le cardinal Jean-Claude Turcotte pour son geste.
Campagne Québec-Vie
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Gov. Gen. accepts 3 resignations from Order of Canada
Montreal archbishop renounces award to protest Morgentaler getting one
Gov. Gen. Michaëlle Jean has formally accepted the resignations of three Montrealers from the Order of Canada, her office said in a brief news release Monday from Ottawa.
No reasons were given for the three — René Racine, Jacqueline Richard and Cardinal Jean-Claude Turcotte — returning the awards.
However, Turcotte, 72, who is Montreal's archbishop, told CBC's French-language service last September that he was renouncing his honour to protest Dr. Henry Morgentaler's appointment to the order.
"I'm worried about how we treat life, from conception to death," he said. "I decided to take a stance that clearly reflects my convictions."
Turcotte, who has worked extensively with the poor while fulfilling his religious duties, was named an officer of the Order of Canada in 1996 by then governor general Roméo Leblanc.
Jean named Morgentaler, who fought to legalize abortion in Canada, as a member of the order last July for his services to women and for leadership in the fields of humanism and civil liberties. The controversial appointment was made on the advice of the independent Order of Canada selection committee.
Montreal astronomer Racine was made a member of the Order of Canada in 1999, while pianist and conductor Richard received the award in 2004.
Source: CBC
Commentaires de citoyens concernant l'invitation de M. Henry Morgentaler à l'émission Tout le monde en parle
Vous avez été "honoré" par la présence de cet homme grâce auquel 30,000 êtres humains sont assassinés tous les ans au Québec. Vous avez un drôle de sens de l'honneur. Par contre, il faut admettre que vous lui avez posé de bonnes questions, mais comme tout le monde lui était acquis dans le studio, ses réponses sont passées comme du beurre dans la poêle. Si vous êtes honnête, vous allez inviter quelqu'un d'opposé à l'avortement à votre émission.
Nom : Henri-B. Boivin
Sujet du message : Moi et Morgentaler
Je n'arrive pas à croire que dans une même émission, celle du 30 novembre, on s'apitoie sur le sort des chiens victimes de cruauté ( je m'inclus dans le ''on'') et qu'on ovationne un homme dont le métier a été guidé par le principe qu'une femme a plus de droits que le foetus qu'elle porte.
Nom : Irène Yakonowsky
L'avortement au privé
Le président-directeur général de l'Agence de la santé et des services sociaux (ASSS) de Montréal, David Levine, déclarait lors d'un congrès le 23 septembre dernier que tous les 15 000 avortements annuels dans la région de Montréal devraient être faits dans des cliniques privées: «On veut éventuellement transférer toutes les interruptions de grossesse au privé, dans des centres médicaux spécialisés.» M. Levine, hélas, se rétractait le lendemain dans un communiqué de presse.
Son intuition de base était pourtant bonne, car l'avortement n'est pas un acte médical normal: il ne vise pas à guérir une maladie, mais il met fin à une vie humaine. La grossesse n'est pas une maladie qu'il faut soigner, c'est un merveilleux processus de vie essentiel à la poursuite de l'aventure humaine.
L'interruption volontaire de grossesse est un acte tragique et privé, que certains Québécois rejettent comme un meurtre et un acte abominable. Cet acte devrait relever uniquement de la responsabilité individuelle de ceux qui le commettent et ne devrait aucunement être financé ni administré par un service gouvernemental. Maintenant que l'avortement est clairement devenu au Québec un moyen de contraception d'urgence, je ne vois pas pourquoi l'État rembourserait cette forme de contraception radicale plutôt qu'une autre. À l'heure où le gouvernement québécois ne cesse de pleurnicher sur les dépenses incontrôlables en santé, il faudrait cesser ce gaspillage en responsabilisant financièrement ceux qui prennent cette décision individuelle qui ne relève en rien du bien commun de la société.
M. Luc Gagnon, Président de Campagne Québec-Vie