Tucker Carlson interroge un exorciste catholique sur la réalité des démons et la puissance de Dieu
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie
11 juin 2022 (LifeSiteNews) — Dans un récent épisode de « Tucker Carlson Today », l’animateur de Fox News, Tucker Carlson, a interrogé un exorciste de l’archidiocèse d’Indianapolis, le père Vincent Lampert, sur le ministère de l’Église catholique auprès des personnes souffrant de possession démoniaque.
Dans cette entrevue, le père Lampert, exorciste depuis plus de 15 ans, a expliqué comment les gens ouvrent leur vie au démon, les différents niveaux et intensités de possession, le rite de l’exorcisme de l’Église et le pouvoir de Dieu sur les mauvais esprits.
Exorcisms aren't just in movies. Levitating, hissing, flying chairs– @FrVinceLampert has seen it all. As an appointed exorcist, he's spent years expelling demons. The full interview streams exclusively on @foxnation–plus: unlock free sign-up offers only at https://t.co/voL1Yti7Mo pic.twitter.com/qN0imugJLM
— Tucker Carlson Today (@TuckerToday) May 31, 2022
Les exorcismes ne sont pas seulement dans les films. Des chaises qui lévitent, qui sifflent, qui volent — le Père Vince Lampert a tout vu. En tant qu’exorciste, il a passé des années à expulser des démons. L’intrevue complète est diffusée en exclusivité sur @foxnation — plus : déverrouillez les offres d’inscription gratuites uniquement TuckerCarlson.com.
— Tucker Carlson Today (@TuckerToday) 31 mai 2022
Nommé en 2005 par Mgr Daniel Buechlein, archevêque d’Indianapolis, le père Lampert a suivi une formation d’exorciste à Rome, où il a assisté à 40 exorcismes. Les personnes possédées se rassemblaient souvent dans la cour de l’église italienne où il recevait sa formation et « se manifestaient », dit-il.
Le premier exorcisme auquel le père Lampert a assisté est encore « gravé dans mon esprit », a déclaré le prêtre de l’Indiana à Carlson.
« Donc, je suis dans cette petite pièce en train de parler à cette vieille dame italienne et à son mari. Elle m’explique pourquoi elle est possédée », se souvient-il. Et je lui parle en me disant : « Ça n’a pas l’air si grave ».
Mais c’est alors que le prêtre formateur bénit la femme avec de l’eau bénite.
« Dès que les gouttes d’eau ont touché son front, elle a commencé à réagir », a déclaré le père Lampert. « Ses yeux se sont retournés à l’arrière de sa tête. Elle a commencé à gronder et à grogner et à lancer des blasphèmes. Elle avait de l’écume à la bouche, et le prêtre s’est approché, a arraché une serviette en papier, a essuyé sa bouche, l’a jetée dans le sac en plastique, et a continué la prière de l’Église. »
« Et je me suis dit : “Dans quel pétrin mon évêque m’a-t-il mis ?” »
Lorsqu’il a été nommé, le père Lampert était l’un des 12 exorcistes des États-Unis, bien que ce nombre soit passé depuis à environ 125, dans un contexte de montée en flèche des requêtes concernant l’activité démoniaque.
« Je reçois actuellement environ 3 500 courriels, appels téléphoniques et lettres par an de personnes de tous les États-Unis et du monde entier », a déclaré le père Lampert. La moitié des personnes qu’il voit ne sont pas catholiques.
En tant que protestant, M. Carlson s’est dit choqué d’apprendre que les exorcismes sont toujours considérés comme réels et pratiqués par l’Église catholique.
L’animateur conservateur a toutefois souligné que Jésus lui-même a parlé directement de la possession démoniaque dans les Évangiles et a exorcisé des personnes, tout comme les apôtres. « Pour un chrétien croyant, il n’y a donc aucun doute que cela est réel », a déclaré M. Carlson, déplorant que l’Église épiscopale, dont il est membre, ne forme pas d’exorcistes.
« Je pense que beaucoup de gens, même des protestants comme moi, arrivent à la conclusion que nous n’avons pas toutes les réponses », a déclaré M. Carlson.
Lire la suiteTucker Carlson : La violence pro-avortement est motivée par la volonté « d’évincer Dieu » et de « miner le christianisme »
Tucker Carlson.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie – Photo :
10 mai 2022 (LifeSiteNews) — Tucker Carlson estime que la récente vague de violence contre les pro-vie a pour but ultime « d’évincer Dieu et d’attaquer le christianisme ».
Le populaire présentateur de Fox News a exprimé cette opinion dans son monologue d’ouverture le soir du 9 mai après qu’une vague de vandalisme et de violence ait été lancée contre les pro-vie par les partisans de l’avortement en raison de la fuite d’un projet d’avis de la Cour suprême qui semble vouloir renverser Roe v. Wade.
Carlson a commencé par faire référence à un tweet du groupe radical pro-avortement « Ruth Sent Us », dans lequel ils ont annoncé un plan pour « brûler l’Eucharistie afin de montrer notre dégoût pour les abus que les églises catholiques ont tolérés pendant des siècles ».
I'm offering my Rosaries this weekend for the protection of the clergy and Mass-goers, the police/security, and for the safety and change-of-heart of the pro-abortion protestors.❤️🔥❤️🔥❤️🔥
— Barbara Martin (@trustanddare) May 6, 2022
« Joe Biden prétend être catholique », a déclaré Carlson, « mais non, l’administration Biden n’a pas essayé d’empêcher cela ».
Joe Biden n’a pas non plus empêché qu’un cocktail Molotov soit jeté dans les bureaux d’un groupe pro-vie dans le Wisconsin dimanche, a noté Carlson. Les pro-vie « ne faisaient rien d’agressif du tout, mais parce que leurs opinions sont répugnantes pour la gauche, leur bâtiment a été incendié ».
Le présentateur de l’émission a critiqué tout aussi sévèrement l’absence de réaction de Biden concernant une manifestation pro-avortement devant la cathédrale Saint-Patrick de New York, le 7 mai dernier, alors qu’une partisane de l’avortement a crié qu’elle « tuait les bébés » et a poursuivi en simulant l’avortement de façon choquante à l’aide de bébés poupées.
« Pourriez-vous vous en tirer comme ça devant n’importe quel autre centre religieux ? N’importe quel autre groupe de croyants ? », a demandé Carlson. « Probablement pas. Ce serait intolérable ».
Lire la suiteEntretien de Tucker Carlson avec Viktor Orbán sur Fox News, le 6 août 2021
Viktor Orbán accordant une entrevue à Tucker Carlson pour Fox News, le 6 août 2021.
Par le Visegrád Post
Hongrie – Le présentateur, journaliste et éditorialiste star de la chaîne états-unienne Fox News a passé une semaine en Hongrie. Il a réalisé un entretien de vingt minutes avec le Premier ministre conservateur hongrois Viktor Orbán, dont voici la retranscription et la traduction en français :
Tucker Carlson : Monsieur le Premier Ministre, merci beaucoup de nous recevoir. Revenons en 2015 : des centaines de milliers de migrants apparaissent à la frontière sud de votre pays, comme dans tout le reste de l’Europe : ils confluent vers l’Allemagne, et les autres pays de l’UE leur disent « Soyez les bienvenus, veuillez entrer, nous pouvons y arriver, nous sommes assez forts pour cela ». Seule contre tous, la Hongrie dit non. Pourquoi ? Pourquoi avez-vous adopté sur l’immigration une position différente de celle d’autres pays européens ?
Viktor Orbán : C’était la seule attitude raisonnable. Quand quelqu’un franchit nos frontières sans avoir obtenu pour cela aucune autorisation de l’État hongrois, nous devons défendre notre pays et leur dire « Eh les gars, arrêtez-vous ! Si vous voulez franchir cette frontière ou vous installer chez nous, il y a une procédure réglementaire, elle doit être respectée. Mais vous ne pouvez pas, juste comme ça, entrer sans aucune sorte de restrictions, sans obtenir le moindre permis, sans demander son avis à l’État hongrois, sans aucun contrôle. » C’est dangereux. Nous devons défendre notre peuple de tous les dangers, quels qu’ils soient.
Tucker Carlson : Et vous pensez en avoir le droit ?
Viktor Orbán : Bien entendu. C’est un droit qui nous est conféré par Dieu, par la nature, [nous avons] tous les arguments de notre côté. Parce qu’ici, c’est notre pays. C’est notre population, notre histoire, notre langue. Et nous avons donc le devoir de le faire. Bien entendu, quand vous êtes en difficulté, et qu’aux alentours personne n’est plus près de vous que les Hongrois, il faut bien s’entraider. Mais vous ne pouvez pas dire, juste comme ça : « Ah tiens, c’est un beau pays, j’aimerais bien venir m’y installer, comme ça j’aurai une vie meilleure ». Venir en Hongrie n’est pas un droit de l’homme. Pas possible. C’est notre pays. C’est une nation, c’est une communauté, des familles, une histoire, des traditions, une langue.
Tucker Carlson : Dire ce que vous venez de dire — même si je pense que cela paraît être une évidence pour beaucoup de nos téléspectateurs — a profondément offensé divers pays d’Europe de l’Ouest — ou du moins, leurs dirigeants.
Viktor Orbán : C’est parce que beaucoup de pays européens ont décidé d’ouvrir un nouveau chapitre dans leur histoire nationale. Ils appellent cela la nouvelle société : c’est une société post-chrétienne et post-nationale. Ils croient dur comme fer qu’un mélange entre des communautés différentes — entre des autochtones (disons, par exemple : des chrétiens) et des nouveaux venus, même en grand nombre (disons, par exemple : des musulmans) — produira de bons résultats. Le résultat sera-t-il bon ou mauvais ? Nous n’avons pas la réponse, mais je pense que c’est très risqué, et il est évident qu’il n’est pas impossible, non seulement que ça ne tourne pas bien, mais même que ça tourne très mal. Et chaque pays a le droit d’accepter ce risque ou de le refuser. Nous autres, Hongrois, avons décidé de ne pas prendre ce risque du mélange. Voilà pourquoi la Hongrie subit des attaques si dures, et voilà pourquoi on m’a forgé une si mauvaise réputation. Vous savez, on me traite personnellement comme la brebis galeuse de l’Union européenne, et malheureusement, ce traitement est parfois étendu à la Hongrie tout entière.
Lire la suiteLes libéraux et autres gauchistes ne supportent pas le succès du conservatisme ou de la tradition — qui réussit mieux qu’eux
Joe Biden.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Gage Skidmore/Flickr
Il semble, bien que cela ne soit qu’un aspect de leurs motivations, que les libéraux, gauchistes et autres socialistes ne réussissent pas à digérer le succès des nations adoptant une approche conservatrice, traditionnelle et chrétienne dans leur politique — une des raisons pour lesquelles ils n’ont de cesse de critiquer, mépriser, dénigrer, vilipender, contrarier, contrecarrer, obstruer enfin autant qu’ils le peuvent les nations et mouvements conservateurs. C’est le constat que pose Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie, quand il commente les propos de Joe Biden qui l’avait traité de « voyou » en faisant référence aux chefs d’État dont Donald Trump faisait cas. Selon l’entrevue de Tucker Carlson avec Viktor Orbán sur Fox News :
M. Orbán évoque une question politique plus large, en ce sens que des politiciens de gauche comme M. Biden ne peuvent imaginer une idéologie différente nationaliste ou conservatrice, qualifiant la Hongrie d’« histoire de succès ».
« Les libéraux occidentaux ne peuvent pas accepter qu’à l’intérieur de la civilisation occidentale, il existe une alternative nationale conservatrice qui a plus de succès dans la vie quotidienne, à leur niveau — les libéraux », déclare-t-il. « C’est la raison pour laquelle ils nous critiquent. Ils se battent pour eux-mêmes, pas contre nous. Mais nous sommes l’exemple qu’un pays qui est basé sur des valeurs traditionnelles, sur l’identité nationale, sur la tradition du christianisme peut réussir — parfois plus qu’un gouvernement de gauche-libéral. »
M. Orbán a déclaré que M. Biden et le Parti démocrate ne peuvent pas accepter le succès que la Hongrie a connu dans la protection de ses frontières serbes et croates.
Comment ne pas faire le parallèle — sans pour autant poser de diagnostic définitif — entre le comportement des politiciens libéraux et le motu proprio cyniquement intitulé « Traditionis custodes » du pape François, qui vise à limiter la liturgie tridentine dans le but de la faire disparaître ?
Similairement, on peut voir le succès de la liturgie traditionnelle au sein de l’Église catholique, attirant toujours plus de fidèles, ramenant les catholiques non-pratiquant à la foi, suscitant de nouveaux membres à l’Église et se caractérisant par l’intérêt qu’elle engendre (oh, ironie de la « vieille » liturgie !) parmi les jeunes générations. Tandis que le « Novus ordo », nouvelle liturgie qui devait vivifier l’Église et que je qualifierais, comment dire, disons, d’étrange, se dirige lentement dans une longue agonie vers une probable extinction. Ce n’est pas seulement une question liturgique qui distingue les deux rites, c’est le genre de théologie auquel adhèrent les tenants de l’antique rite qui manifeste une profonde différence. En effet, c’est rarement parmi les prêtres célébrant la liturgie tridentine que vous en trouverez prêts à « bénir » les « “unions” homosexuelles ». Bien sûr, j’espère qu’une certaine idée n’aura pas eu le temps de germer dans votre esprit sur ce que je suis en train de dire, il existe des milliers de prêtres qui célèbrent le novus ordo et qui ne se livrent pas à de pareilles extrémités. Force est de constater cependant que nombre de prêtres et de prélats font rimer théologie nouvelle avec liturgie nouvelle et qu’il doit leur être difficile de voir l’essor juvénile de ce qui devait appartenir à un passé vétuste : une liturgie traditionnelle qui semble favoriser une théologie traditionnelle (et inversement).
Comment expliquer autrement le geste du pape François qui tente de réduire à néant un mouvement florissant et si orthodoxe ?
Mgr Charles J. Chaput déclare à Tucker Carlson que le « transgenrisme » est « la révolte suprême contre Dieu »
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Patrick Craine/LifeSiteNews
4 juin 2021 (LifeSiteNews) — L’archevêque émérite de Philadelphie, Mgr Charles J. Chaput, s’est prononcé contre l’immoralité sexuelle et le mouvement transgenre dans l’émission Tucker Carlson Today de Fox News la semaine dernière, qualifiant le transgenrisme de « révolte suprême contre Dieu ».
Dans une entrevue avec Tucker Carlson, l’archevêque, récemment retraité de l’archidiocèse de Philadelphie où il avait été nommé en 2011 par le pape Benoît XVI, a lié les tentatives de « changement de sexe » au « péché fondamental » de l’idolâtrie. « Vous savez que les catholiques parlent du péché originel, d’autres communautés chrétiennes parlent du péché d’Adam et Ève : leur péché a consisté à vouloir être comme Dieu. Ils ne voulaient pas que Dieu leur dise quoi faire. Ils voulaient faire les choses à leur manière », a-t-il déclaré.
« Au lieu de donner à Dieu ce qui Lui est dû, vous donnez à quelqu’un d’autre ou à quelque chose d’autre ce qui appartient à Dieu », a-t-il poursuivi. « Cela s’appelle l’idolâtrie. C’est un péché fondamental. C’est le péché le plus dangereux et il nous a conduits sur cette voie qui consiste à faire de nous-mêmes le centre de la création. »
Interrogé sur le désir des gens de prendre le rôle de Dieu, l’archevêque a déclaré : « Je pense que les questions de genre aujourd’hui en sont le meilleur exemple, lorsque nous ne sommes même pas satisfaits du corps avec lequel nous sommes nés, que nous pensons avoir le pouvoir de devenir quelque chose d’autre que ce que nous avons été créés, que je peux devenir une femme ou qu’une femme peut devenir un homme. »
« C’est quelque chose que Dieu fait, pas quelque chose que nous faisons ; alors, d’une certaine manière, c’est la révolte suprême contre Dieu », a ajouté Mgr Chaput.
Lire la suiteTucker Carlson corrobore Mgr Viganò au sujet du Great Reset : Trudeau voit une opportunité dans le confinement
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (rognée) : Presidentia de la República Mexicana/Attribution 2.0 Generique (CC BY 2.0)-Wikimedia Commons
Tucker Carslon, dans son émission Tucker Carlson tonight sur Fox News le 16 novembre, soulignant le manque de fondements scientifiques pour la mise en place d’une nouvelle phase de confinement dur aux États-Unis, attire l’attention de ses auditeurs sur l’opinion que Mgr Carlo Maria Viganò exprimait dans une lettre adressée à Donald Trump, président des États-Unis : le confinement, instauré sous prétexte de « pandémie », est destiné à établir une dictature universelle. Tucker Carlson, citant Mgr Viganò, dit :
« Personne, jusqu’en février de cette année », écrit Viganò, « n’aurait jamais pu imaginer que dans toutes nos villes, les citoyens pourraient être arrêtés simplement parce qu’ils avaient envie de se promener, de respirer, de garder leur commerce ouvert, d’aller à la Messe le dimanche. Et pourtant, c’est ce qui se passe actuellement partout dans le monde… les droits fondamentaux des citoyens et des fidèles sont bafoués au nom d’une urgence sanitaire qui s’avère de plus en plus instrumentalisée dans le but d’ériger une tyrannie inhumaine et sans visage. »
L’un des moments cruciaux de l’établissement de cette tyrannie serait, d’après Mgr Viganò, le Great Reset promu par le Forum économique mondial, qui se tient chaque année à Davos en Suisse, réunissant les plus grosses légumes de la finance, des politiciens et des idéologues divers. Le Great Reset, dois-je expliquer, est un plan pour l’avenir du monde dans la perspective d’un effondrement économique sur fond de l’inévitable coronavirus. Entre autres, il s’agit de mettre en place un fonds mondial — ce qui répond aux souhait d’Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU et ancien président de l’International socialiste, qui voudrait qu’un tel fonds s’élevât à 10 % du PIB planétaire — ainsi que la mise en place d’un revenu de base universel, utopie à saveur communiste.
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